33. 1969 Mon retour au Tibet - Gnose de Samael Aun Weor
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<strong>Mon</strong> Retour <strong>au</strong> <strong>Tibet</strong> Samaël <strong>Aun</strong> <strong>Weor</strong><br />
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Je veux m'en référer instamment à <strong>de</strong>ux sortes <strong>de</strong> gens : d'abord, les fameux troglodytes<br />
atlantes, en état décidément involutif, plongés évi<strong>de</strong>mment dans la barbarie la plus<br />
épouvantable dont la science occi<strong>de</strong>ntale a surpris les restes caractéristiques dans les<br />
profon<strong>de</strong>s cavernes <strong>de</strong> la terre.<br />
Les seconds sont les Atlantes en état évolutif. Les Pélasges historiques, <strong>de</strong>s gens très<br />
cultivés qui, <strong>de</strong>puis les premières manifestations ignées <strong>de</strong> la <strong>de</strong>uxième catastrophe<br />
transalpine, commencèrent leur <strong>retour</strong> vers les régions orientales dont ils étaient<br />
originaires.<br />
C'est <strong>de</strong> là, ostensiblement, que vint la tradition universelle <strong>de</strong> l'exo<strong>de</strong> <strong>de</strong> IO, du Jardin<br />
<strong>de</strong>s Hespéri<strong>de</strong>s (Poséidon), à travers toute l'Europe méridionale et par le Bosphore,<br />
jusqu'à la Colchi<strong>de</strong> et l'Arménie, où, dit la tradition, s'arrêta l'Arche <strong>de</strong> Noé, soit le saint<br />
culte initiatique <strong>de</strong> l'Ararat et <strong>de</strong>s montagnes aryennes où naissent, avec d'<strong>au</strong>tres<br />
fleuves, le Tigre et l'Euphrate.<br />
Un savant ésotériste dit : "Ces Pélasges, ou Aryens-Atlantes d'Occi<strong>de</strong>nt, reçurent un<br />
nom différent dans chacune <strong>de</strong>s régions du mon<strong>de</strong> où ils se sont répandus. Comme leur<br />
oeil <strong>de</strong> l'intuition était encore ouvert, en tant que dépositaires dans une certaine mesure<br />
<strong>de</strong>s vérités initiatiques, on les appela "cyclopes" et on nomme "édifices cyclopéens" les<br />
gigantesques constructions qu'ils érigèrent. On voit encore en Pennsylvanie nordaméricaine,<br />
jusqu'à l'Oxus et l'Aral, à travers l'Europe et l'Afrique, <strong>de</strong>s restes stupéfiants<br />
<strong>de</strong> ces constructions.<br />
On les appelait :<br />
- Tyriens et Titans, du Dieu It ou Ti, l'Hercule qui les commandait et sur lequel il y a<br />
be<strong>au</strong>coup plus <strong>de</strong> données qu'on ne le croit ;<br />
- Calchas ou Chaldéens ou Calci<strong>de</strong>s, tant pour leur origine pré-atlante du pays <strong>de</strong>s<br />
Calchas <strong>au</strong>quel ils <strong>retour</strong>naient, comme pour connaître le cuivre (Calcas) et se<br />
développer dans un âge <strong>de</strong> franche déca<strong>de</strong>nce ;<br />
- Arcadiens parce qu'ils connaissaient la navigation et qu'ils avaient passé la mer avec<br />
leurs capitaines ré<strong>de</strong>mpteurs. Arcadiens est une corruption du mot "Accadiens", c'est-àdire<br />
<strong>de</strong> l'Arche, ou vaisse<strong>au</strong> symbolique qui les rappelle ;<br />
- Colchi<strong>de</strong>s est une corruption du mot "Calcis" (connaissance <strong>de</strong> la numérotation, <strong>de</strong><br />
l'écriture hiéroglypho-hiératique et symbolique, kabbale, etc.) ;<br />
- Araméens ou hommes aryens ;<br />
- Drui<strong>de</strong>s en raison <strong>de</strong> leurs prêtres initiés et <strong>de</strong> leur culte du feu, c'est-à-dire du Soleil,<br />
<strong>de</strong> la pureté, <strong>de</strong> la vérité enterrée dans la catastrophe ;<br />
- Janus, en raison <strong>de</strong> son Inca conducteur ou prêtre-roi (Iao, Tao, Ianus, etc.) ;<br />
- Bretons ou Britanniques, <strong>de</strong> Brig, la race radicale aryenne <strong>de</strong> ce qui brille, qui luit,<br />
donc toujours, et pour toujours, le soleil ;<br />
- Menphires ou Menhirs, connus pour être <strong>de</strong>s hommes occi<strong>de</strong>nt<strong>au</strong>x ou mieux, pour leur<br />
culte du feu, les pierres <strong>de</strong> leurs sépulcres s'appelant toujours menhirs ;<br />
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