Briefwechsel zwischen Franz Liszt und Carl ... - Walter Cosand

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trop peii; et d'autre part, en allant ä un personnage qui re-
prösente des opinions et des sympathies que vous ne sanriez
partager toutes, eile serait de trop.
Quoi que vous decidiez, j'ose vous prier d"y mettre toute
reflexion — et demeure
Voti'B tres humble et ob^issant serviteur
27 Ddcembre 59. F. Liszt.
Je prie Monseigneur de me renvoyer la 7^ strophe origi-
naire ci-jointe.
70.
Ce 12 de Janvier 60.
La nouvelle que vous partez pour Berlin coincide avec l'in-
tention que j'avais de vous appeler^ mon eher, pour vous revoir
et continuer nos travaux preparatoires pour la Fondation-Goethe.
II me faiidra donc remettre notre conversation ä voti'e retour
que je vous prie d'effectuer le plus tot possible, parce que
notre entreprise ne saurait marcher sans vous, et eile ne le
doit pas. Or, les circonstances nous pressent, car on me
mande sous main de Berlin que l'on va y formuler la demande
que les deux comite's (celui de Berlin et celui de Weimar)
soient fusionnes et que je devienne protecteur. Je compte ac-
cepter, mais je voudrais prouver en meme temps que je suis
pret avec ce qui depend de nous deux, c.-ä-d. de vous et
de moi.
Etant ä Berlin, ne pourriez-vous pas voir Eggers? N'y
a-t-il pas moyen de renouer avec lui, ne peut-il pas du moins
donner conseil? Kalckreuth me met la Feuille d'art sur la
conscience.
Pardon de ce tracas en faveur de ce qu'il vient de la part de
Votre tres aflectionne C. A.
MonseigDCur,
71.
Vous m'avez cite ä plusieurs reprises uue letti'e que j'ai
eu Thonneur de vous ecrire contre mon dcsir et sur votre ordre