X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

LIVRK II. — COSTUMK l'Sl'KL lil
négativement. Mais elle ajouta quo si les chanoines voiilnieul assister
aux funérailles, ils ne pouvaient pas h» faire on corps avec la croix du
diapitrc, mais qu'ils «levaient marcher derrière le cercueil avec leurs
vêhmienls ordinaires.
> la ussociamlis cadaverihus processioiudiler. mm nisi vocal os inhTvenire
drherc. cl ideo capilulmn collcgintnc eeelesinc. iu ciisu
proposilo, non vocal um ahslinerc dehere. Quod si canon ici. sponle
el hune zelo impulsi. fiiiius associa re velint. non iu hahilu ennomVali
neque collégialité?- cum propria eruce. sed in eorum hahilu
n-dinario. uli singuli posl ferelrum sequi debere. Kl ila déclara vil
die M Xovcmhris l(»4l.» Or.s'il est permis aux chanoines d'une collégiale
de suivre comme particuliers le corps d'un défunt, cela est
également permis à Ions les prêtres.
Cependant la Congrégation des Hiles n'approuve pas (pie les
ecclésiastiques qui font partie d'une confrérie, n l'enterrement
d'un confrère, suivent le cercueil, nvec le manteau : dnns ce eus.
il> prennent rang dnns le clergé et sonl velus du surplis.
NEAMI.ITA.XA. Au hchdomndarii calhedralis Noapolilanae. ha heu les
ihiim cappae el rorhclli cum manicis. mm iucedenles collégial iler.
vil uli cou fra Ires in associalione cadaverum alioraai cou frai ru m
S. Marine llmnililatis. teueauliir déferre cotlam et hirelmn. proul
•dii cou fra Ires, vel potins inrederc dchennl cum pallio post ferelrum
Mi S. 1t. C. ccnsuil respoiideiiduin : Quoad primant ]»nrlcui. affirmative,
(d (pioad secumlam negalive. Die 21 .Martii 170.'».
î). Les ecclésinsliques ne doivenl pus se conformer à une modo
réveille, (pii consiste h enendror de noir les lettres, les enveloppes
el les caries de vîsile. pondant loule In durée du deuil. O serait,
au!renient, pure mondanité.