BICENTENAIRE AMBROISE THOMAS - cercle lyrique de metz
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FRANCESCA, PAOLO, GUIDO : (Allegro Mo<strong>de</strong>rato) « Italie, Italie ! noble terre<br />
qu'on livre à l'étranger ! » (bis)<br />
F : « Tes fils, le fer en main ; oui tes fils, le fer en main, sauront te protéger. "<br />
(bis)<br />
Italie, Italie, etc… »<br />
TROISIÈME TABLEAU : Les Remparts <strong>de</strong> Rimini<br />
A/ CHŒURS<br />
Introduction orchestrale (Allegro)<br />
PREMIER CHŒUR : « C'est fait <strong>de</strong> nous, c'est fait, c'est fait <strong>de</strong> nous. » (bis)<br />
SOPRANOS, TENORS, BASSES : « Enten<strong>de</strong>z-vous, la cloche sonne ; mon cœur<br />
frissonne ; c'est fait <strong>de</strong> nous… » (bis)<br />
DEUXIEME CHŒUR : « Enten<strong>de</strong>z-vous ? Ils sont aux portes <strong>de</strong> la ville ! »<br />
1 er CHŒUR : « Combien ? Les maudits ! »<br />
2 ème CHŒUR : « Dix mille ! Les bandits ! Malatesta qui les comman<strong>de</strong>… A<br />
moins qu'on se ren<strong>de</strong>… Jure <strong>de</strong> tout brûler ! ... »<br />
1 er CHŒUR : « Ce n'est pas un serment frivole ; il est homme à tenir parole… »<br />
ASCANIO : « Quoi ? »<br />
DOUBLE CHŒUR/ASCANIO/TENORS (en alternance) : « Il faut capituler »<br />
(bis)<br />
« Sans combattre, un contre quatre. » « Les chefs ont quitté leurs palais au<br />
premier cri d'alarme. » « Et les soldats ? » « L'or les désarme ; ô ciel ! » « Ils<br />
sont à qui les paie. »<br />
1 er et 2 ème CHŒUR (bourgeois) : « Ecoutez-les. »<br />
CHŒUR DE SOLDATS (ténors et basses) : « Servons l'Empereur ! »<br />
(Les soldats envahissent la scène)<br />
« Guelfes ou gibelins, qu'importe ! A tout seigneur tout honneur ! Courons au<br />
drapeau qui l'emporte ! Et si l'Italie est morte ! Servons l'Empereur ! »<br />
B/ STROPHES D'ASCANIO<br />
(Mo<strong>de</strong>rato)<br />
ASCANIO : « Par ma foi, quel courage, quel amour du pays ! L'étranger nous<br />
outrage. Vos champs sont envahis. Et toi, pru<strong>de</strong>nt et sage, tu fuis <strong>de</strong>vant l'orage,<br />
toi, soldat, tu trahis !» (reprise)<br />
SOLDATS : « Morbleu, l'insolence est forte. A l'ennemi, qu'on l'escorte, fers<br />
aux mains et la cor<strong>de</strong> au cou ! »<br />
ASCANIO : « Allons, allons, ferme mes braves ! Je ne suis qu'un enfant. Pour<br />
me charger d'entraves, prenez l'air triomphant. Cachez-vous dans vos caves.<br />
Et vous, soyez esclaves ! Moi seul, je me défends. » (bis)<br />
LES DEUX CHŒURS : « C'est un enfant, c'est un fou ! » « Ecoutez ! »<br />
(trompettes dans les coulisses)<br />
TENORS ET BASSES : « Ecoutez les clairons. Chaque moment qui passe<br />
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