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cident, —
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pour passer sous celui de Constantinople
pensant
qu'en fait de maîtres, les meilleurs sont les plus éloignés, —
lorsque, surtout, il empêcha l'exportation des blés africains en
Italie, le peuple romain, qui se vit sur le point d'être affamé,
perdit subitement l'indifférence politique qui avait accueilli les
précédentes usurpations du prince Berber.
« Le poêle Claudien résume les sentiments de l'époque sur
ces graves événements, dans un passage (du poème de bello
Gildoniaco) que, pour ce motif,
Rome en scène et lui prête ce discours :
nous allons reproduire. Il met
« Après tant de services, j'obtins la Libye et
« l'Egypte : chaque été, de ces deux rivages, le blé arrivait
« en abondance dans le grenier du Peuple-Roi et du Sénat,
« arbitre de la guerre. Ma subsistance était assurée : si, par