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rond ; le bras droit était complètement nu jusqu'à l'aisselle : la
main tenait la hampe d'une espèce de bannière, composée d'un
morceau d'étoffe taillé en carré long, sans broderies ni figures,
mais orné d'une frange par en bas. Cet appareil, qui a beau
coup de ressemblance avec un vexillum, élait surmonté d'un gros
anneau, Sans doute en métal. Enfin,
une corne (cornu copix) d'abondance,
définir le contenu,
cette figure allégorique,
comme dernier symbole,
dont il serait difficile de
semblait verser l'opulence aux pieds de
évidemment destinée elle-même à
représenter la province qu'administrait le Consulaire. L'en
semble de ce dessin paraissait également encadré dans les
ornements d'un portique aux angles enrichis de draperies (1).
Nous avons dit que, des six (huit)
diocèse d'Afrique, une était proconsulaire,
consulaires et. trois prêmlialcs.
La Notice place :
provinces composant le
que deux étaient
I. Sub disposition Viri Clarissimi Consularis Byzacu :
Provincia Byzacenae ;
II. Sub disposition e Viri Clarissimi Consularis Numidiae :
Provincia Numidiae.
Chacun de ces Consulaires avait un offieium constitué comme
il sui l :
il) Princeps de Officio Praefecti Praetorio Haliae,
(?) Cornicularius.
(3) Tabularii duo.
(4; Pronuinerarii.
(5) Adjutor,
(6) Commenlarietisis,
(7)
Ab Aclis ou A Libellis,
(8) Subadjuva,
t*9) Exceplores,
(t) On trouvera dans Bocking, t. II, pp 11(57-08,
une curieuse peinture
de celte ligure allégorique, qui cependant devait présenter quelque diffé
rence selon les provinces auxquelles elle s'appliquait ; mais l'index de lu
Notice, n'en reproduit qu'une seule, à tilre de spécimen, par chaque Em
pire. — On fera bien, également, de compulser tout ce chapitre |XLi) du
commentaire, en raison des renseignements qu'il fournit sur les Consulaires.