2014fwc_tsg_report_15082014_neutral

Refereeing report 113
apporté aux arbitres. Chaque membre y était
responsable des questions d’arbitrage entre
le jour de l’arrivée des arbitres et celui de leur
départ. Un instructeur technique a travaillé
comme analyste de match.
Les membres de la Commission des Arbitres et
les instructeurs ont supervisé minutieusement
les performances des arbitres et leurs
évaluations ont été généralement très
positives. L’arbitrage a donc été très bon dans
cette compétition.
Le haut niveau de sportivité et de fair-play
était notable sur le terrain car un nombre
relativement bas de fautes a été sifflé en
comparaison avec d’autres compétitions, et il
en a été de même pour les cartons jaunes et
les cartons rouges.
C’est là une conséquence réjouissante de
l’approche préventive et du dialogue en
amont qui ont été menés à la fois lors du
séminaire des équipes et lors des réunions
à l’arrivée des équipes. Avoir une relation
de travail forte entre les joueurs et les
sélectionneurs sur le terrain comme en dehors
est essentiel pour créer un respect mutuel.
La technologie sur la ligne de but a été
mise en œuvre avec succès lors de cette
compétition puisqu’elle a permis aux arbitres
de valider des buts sur des situations qu’il
aurait été difficile de juger correctement sans
cette aide. C’est ainsi que, pour la première
fois de l’histoire de la Coupe du Monde de
la FIFA, lors du match entre la France et le
Honduras, un arbitre a pu accorder un but
– le second de la France – qu’il lui aurait été
impossible de valider à l’œil nu. Les arbitres
ont aussi pu bénéficier du spray temporaire,
outil des plus précieux pour faire respecter
la distance réglementaire de 9m15 lors de
l’exécution de coups francs.