ceders quels amenagements pour les croisieres internationales
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La croisière apportera changement de mentalité, aménagement de nouveaux sites portuaires et<br />
bien sûr emplois, mais aussi reconnaissance et nouvelle image <strong>pour</strong> une ville, une région, un<br />
pays.<br />
Cette image sera perçue par <strong>les</strong> croisiéristes lors de leurs esca<strong>les</strong>, qui auront peut être<br />
envie de revenir dans le pays une autre fois et un peu plus longtemps. La croisière est un<br />
moyen de donner un avant goût au passager <strong>pour</strong> qu’il revienne, elle est donc un enjeux<br />
important <strong>pour</strong> l’économie locale lors des esca<strong>les</strong>.<br />
« C’est un moyen énorme de faire connaître toute la région dans un secteur qui est en plein<br />
développement et qui s’appelle le tourisme, (…) une image positive d’une grande région<br />
touristique axée sur la croisière ; ça ne se mesure pas mais c une image positive d’une grande<br />
région touristique axée sur la croisière ; ça ne se mesure pas mais c’est un plus considérable »<br />
souligne T. VERDON de la direction Tourisme et congrès de la ville de Marseille.<br />
L’ensemble des experts de la croisière considèrent que : « la ville est la principale<br />
bénéficiaire des retombées économiques qui y sont liées, notamment en terme d’image,<br />
d’attrait touristique de possibilité au niveau des commerces et de l’éventualité de se vendre en<br />
tant que destination de pré ou de post séjours voire de vacances ultérieure ». Cependant, tous<br />
semblent s’accorder sur le fait que s’il existe des retombées (sur <strong>les</strong>quel<strong>les</strong> la presse régionale<br />
insiste de façon périodique, sans toutefois parvenir à <strong>les</strong> évaluer avec certitude), el<strong>les</strong><br />
demeurent très difficile à identifier.<br />
La France, qui se situe au 3e rang européen, derrière l'Angleterre et l'Allemagne, n'est pas le<br />
seul pays touché par l'envie de visiter <strong>les</strong> mers du globe, et au vu du nombre de paquebots mis<br />
en chantier, on peut prévoir 40 000 emplois nouveaux sur la planète dans ce seul secteur, soit<br />
quelques milliers en France.<br />
Le ministère du tourisme du rapport économique de la croisière et l’AFIT avait confié<br />
en 1998 à Jean Paul PAGES un rapport sur « l’intérêt économique de la croisière <strong>pour</strong> <strong>les</strong><br />
ports français ». Suite à une enquête approfondie ce dernier a estimé des retombées<br />
économiques annuel<strong>les</strong> à 5OO MF <strong>pour</strong> <strong>les</strong> ports métropolitains dont :<br />
- recettes portuaires allant de 80 à 100 MF,<br />
- Dépenses à terre de 350 MF,<br />
- Avitaillement de 100 MF.<br />
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