jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
Rationaliste, même si c<strong>et</strong>te explication sollicite outrancièrement <strong>le</strong>s<br />
faits puisqu’il n’y avait pas plus de toros que de so<strong>le</strong>il ou de ferme<br />
dans <strong>le</strong> bosqu<strong>et</strong> <strong>et</strong> qu’il p<strong>le</strong>uvait à verse! Nos amis Espagnols ont un<br />
savoureux proverbe qui pourrait définir ce genre de facéties: Cuando<br />
el diablo no tiene nada que hacer, con el coda (on dit aussi, plus<br />
familièrement: culo) ma<strong>ta</strong> moscas. Savoir, en français: Quand <strong>le</strong> diab<strong>le</strong><br />
n’a rien a faire, avec sa queue (ou, plus imagé: culo = cul), il tue<br />
<strong>le</strong>s mouches! Un mystère de plus à ajouter à ceux, déjà nombreux, de <strong>la</strong><br />
forêt d’Orient... A celui-ci par exemp<strong>le</strong>, survenu en 1987 ou 1988.<br />
Une amie <strong>et</strong> moi avions convenu d’un rendez-vous vers 21 h 3O avec<br />
A<strong>la</strong>in Le Kern, Marcel <strong>et</strong> Tania Anziani (Tania é<strong>ta</strong>nt une voyante - <strong>et</strong><br />
excel<strong>le</strong>nt peintre - demeurant aujourd’hui à Mol<strong>la</strong>ns-sur-Ouvèze,<br />
Drome), rendez-vous fixé en un lieu que nous connaissions bien. Les<br />
circons<strong>ta</strong>nces firent que chacun de son côté prit <strong>le</strong> chemin du lieu X,<br />
savoir A<strong>la</strong>in Le Kern, tout seul, Tania <strong>et</strong> Marcel ensemb<strong>le</strong>, enfin, une<br />
amie <strong>et</strong> moi-même... sans qu’aucun ne parvienne à trouver <strong>le</strong>s autres!<br />
Las de rayonner autour du Point X où nous passions régulièrement,<br />
(comme l’avaient fait <strong>le</strong>s autres, nous l’apprîmes plus <strong>ta</strong>rd), nous<br />
abandonnâmes l’idée de ce rendez-vous fantôme <strong>et</strong> chacun rentra en<br />
pes<strong>ta</strong>nt contre <strong>le</strong>s « forces mystérieuses » qui nous avaient privés de<br />
<strong>la</strong> captivante expérience proj<strong>et</strong>ée c<strong>et</strong>te nuit-là en forêt d’Orient!<br />
Forêt « magique » par excel<strong>le</strong>nce où cer<strong>ta</strong>ins chemins semb<strong>le</strong>nt mener<br />
à... un autre monde! (Cliché N°18).<br />
Sans pouvoir entrer dans <strong>le</strong>s dé<strong>ta</strong>ils, disons que c<strong>et</strong>te expérience<br />
avait quelques rapports avec l’essentiel du chapitre 7 de mon roman<br />
Les sentiers invisib<strong>le</strong>s (série « Les Chevaliers de Lumière »); roman<br />
où il est question des « fées », de cer<strong>ta</strong>ins services secr<strong>et</strong>s<br />
américains <strong>et</strong> français, d’un maquisard que j’ai bien connu <strong>et</strong> de<br />
Sarah, une « honorab<strong>le</strong> correspondante » de l’ex-O.S.S que je n’ai pas<br />
directement connue à l’époque, mais qui accomplit un travail admirab<strong>le</strong><br />
sur... <strong>le</strong>s sentiers invisib<strong>le</strong>s <strong>et</strong> <strong>le</strong>s étranges « habitués » qui<br />
parfois <strong>le</strong>s empruntent! Les éléments de recherche qu’el<strong>le</strong> m’a fait<br />
parvenir, lors d’un de mes séjours aux U.S.A, m’ont été des plus<br />
précieux <strong>et</strong> je ne l’en remercierai jamais assez.<br />
A <strong>la</strong> Saint-Jean d’été 1989, lors d’un rassemb<strong>le</strong>ment en forêt<br />
d’Orient auquel j’avais convié <strong>le</strong>s <strong>le</strong>cteurs de L’Empire des Ténèbres,<br />
(Op. Cit) <strong>et</strong> en présence de mon vieil ami Michel Avenol, maire de<br />
Do<strong>la</strong>ncourt <strong>et</strong> de Jeannine, sa charmante épouse, [sans om<strong>et</strong>tre d’autres<br />
fidè<strong>le</strong>s amis de l’IMSA parmi <strong>le</strong>squels l’hypnotiseur Daniel Hugu<strong>et</strong><br />
(Cliché N°19), l’illustrateur Silvio Usaï, l’ésotériste Richard Chal<strong>et</strong><br />
<strong>et</strong> son épouse Michè<strong>le</strong>, nous visitâmes plusieurs sites intéressants.<br />
Cer<strong>ta</strong>ins ont hé<strong>la</strong>s disparu depuis, noyés sous <strong>le</strong>s eaux des<br />
« aménagements » de <strong>la</strong> forêt d’Orient <strong>et</strong> de cel<strong>le</strong> du Temp<strong>le</strong>, ainsi<br />
dotées de nouveaux <strong>la</strong>cs appor<strong>ta</strong>nt un « plus » au p<strong>la</strong>n nautique... <strong>et</strong><br />
malheureusement « des » moins pour <strong>le</strong>s vestiges templiers ainsi<br />
engloutis... Parmi <strong>le</strong>s 400 ou 500 personnes qui, répondant à mon<br />
appel, se regroupèrent [pour commencer] à Do<strong>la</strong>ncourt, j’eus <strong>la</strong> joie de<br />
r<strong>et</strong>rouver Louisa Prahang (qui, au début de ce chapitre, évoqua<br />
« L’étrange visiteur de Kongolo »), venue avec son p<strong>et</strong>it-fils (5 ans),<br />
son chien-loup Max <strong>et</strong> une délégation belge comprenant aussi un<br />
Zaïrois,... chamane à ses heures. Guidés par Michel Avenol, nous nous<br />
sommes d’abord rendus sur <strong>le</strong> chemin bordant <strong>la</strong> limite de <strong>la</strong> « gaste »<br />
forêt (du moins de ce qu’il en reste), <strong>et</strong> à 7 pas duquel, 18 ans plus<br />
tôt, j’avais <strong>camp</strong>é <strong>et</strong> vécu une aventure aussi singulière qu’humide!<br />
Lorsque j’en vins à narrer <strong>la</strong> « découverte » du panneau indiquant<br />
« Chemin du Langage des Oiseaux », (nous étions regroupés à quelques<br />
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