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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

sommes allés nous allonger à l’ombre, pour faire un somme, puis nous<br />

avons sursauté, incrédu<strong>le</strong>s: autour de nous éc<strong>la</strong><strong>ta</strong>ient de p<strong>et</strong>its rires,<br />

plutôt de fou rires vite étouffés! A l’évidence, nous étions seuls, en<br />

p<strong>le</strong>ine nature <strong>et</strong> ces fugitifs gloussements nous ont amusé <strong>et</strong> nous<br />

avons p<strong>la</strong>isanté, presque en même temps: Ne dirait-on pas des « nains<br />

de <strong>la</strong> forêt » en train de se moquer? Il est vrai qu’un moment plus<br />

tôt, avant de trouver c<strong>et</strong>te aire de repos déserte, nous parlions des<br />

Nibelungen, ces nains « fils du brouil<strong>la</strong>rd <strong>et</strong> du monde souterrain » où<br />

ils gardent <strong>le</strong>urs trésors, <strong>le</strong> Nibelungenhort, sans oublier <strong>le</strong>ur anneau<br />

magique rendant invisib<strong>le</strong> celui qui <strong>le</strong> por<strong>ta</strong>it. Vieil<strong>le</strong> légende<br />

germanique qui inspira Wagner dans sa Tétralogie <strong>et</strong> particulièrement<br />

<strong>le</strong> Nibelungenlied (<strong>le</strong> Chant des Nibelungen). Nous étions en p<strong>le</strong>ine<br />

Féérie mais nous n’avons vu aucun des nains rieurs qui devaient<br />

folâtrer autour de nous, cer<strong>ta</strong>inement protégés par <strong>le</strong> fameux anneau<br />

d’invisibilité!...<br />

Les phénomènes faisant intervenir une rupture dans <strong>le</strong> continuum<br />

Espace-Temps sont moins rares qu’on pourrait <strong>le</strong> croire. En voilà un<br />

nouvel exemp<strong>le</strong> - particulièrement dérou<strong>ta</strong>nt - re<strong>la</strong>té par mon confrère<br />

Jean-Paul Lefebvre-Fil<strong>le</strong>au dans son passionnant ouvrage documen<strong>ta</strong>ire<br />

Mystères en Normandie, paru en 1994 aux Editions Bertout (rue<br />

Gutenberg, 7681O Luneray). L’événement se produisit en automne 1981<br />

dans <strong>la</strong> forêt d’Andaine (Orne) <strong>et</strong> <strong>le</strong> témoin, Marc Paris<strong>et</strong>, un étudiant<br />

de 23 ans, s’y promenait un soir avec son chien Sul<strong>ta</strong>n. Un orage<br />

menaçait.<br />

« Soudain, écrit mon confrère, au détour d’un chemin, Sul<strong>ta</strong>n dressa<br />

son museau <strong>et</strong> se mit à hur<strong>le</strong>r à <strong>la</strong> mort. Son maître eut beau <strong>le</strong><br />

caresser pour tenter de <strong>le</strong> calmer(...). Il tirait tel<strong>le</strong>ment fort sur<br />

<strong>la</strong> <strong>la</strong>isse qu’il finit par <strong>la</strong> casser <strong>et</strong> fi<strong>la</strong> vers <strong>le</strong> sous-bois en<br />

aboyant à tue-tête. Marc courut derrière lui (...) sen<strong>ta</strong>nt au fond de<br />

lui-même sourdre une inexplicab<strong>le</strong> angoisse.(...) Tout d’un coup, <strong>le</strong><br />

hulu<strong>le</strong>ment d’un rapace nocturne fit sursauter l’étudiant. Dès lors, il<br />

perçut une sorte de bruissement, comme celui d’une invisib<strong>le</strong> fou<strong>le</strong><br />

si<strong>le</strong>ncieuse marchant à travers <strong>le</strong> bois. Redoub<strong>la</strong>nt de prudence, il se<br />

r<strong>et</strong>rouva dans une c<strong>la</strong>irière d’où il remarqua un grouil<strong>le</strong>ment d’ombres<br />

furtives qui débouchèrent de <strong>la</strong> lisière du sous-bois <strong>et</strong> qui allèrent<br />

en tous sens. A c<strong>et</strong> ins<strong>ta</strong>nt, comme par mirac<strong>le</strong>, Sul<strong>ta</strong>n vint frotter<br />

craintivement son f<strong>la</strong>nc contre <strong>le</strong>s jambes de son maître. Marc avait<br />

aussi peur que son chien (...) quand il aperçut <strong>la</strong> fou<strong>le</strong> d’ombres<br />

s’ordonner en cortège qui serpen<strong>ta</strong> entre <strong>le</strong>s arbres jusqu’à ce qu’el<strong>le</strong><br />

eut atteint une vaste c<strong>la</strong>irière. L’orage finit par éc<strong>la</strong>ter.<br />

« A <strong>la</strong> lueur des éc<strong>la</strong>irs qui zébraient <strong>le</strong> ciel juste avant <strong>le</strong> fracas<br />

du tonnerre, Marc vit distinctement, durant une seconde, que tous ces<br />

inconnus, armés de gourdins informes, <strong>et</strong> à peu près nus, avaient un<br />

faciès d’hommes préhistoriques <strong>et</strong> qu’ils por<strong>ta</strong>ient des peaux de bêtes.<br />

Dès que <strong>la</strong> pluie cessa, l’un d’entre eux alluma un feu qui dégagea<br />

bientôt une odeur de viande grillée. Des cris rauques <strong>et</strong> des<br />

grognements inarticulés accompagnaient c<strong>et</strong>te réunion d’un autre<br />

âge.(...) Avant de rentrer chez lui (au <strong>le</strong>ver du jour), Marc Paris<strong>et</strong>,<br />

qui n’é<strong>ta</strong>it pas tout à fait remis de ses émotions, voulut vérifier si,<br />

<strong>la</strong> veil<strong>le</strong>, il n’avait pas rêvé. Il r<strong>et</strong>ourna avec Sul<strong>ta</strong>n sur <strong>le</strong>s lieux.<br />

Parvenu à <strong>la</strong> bordure de <strong>la</strong> c<strong>la</strong>irière, <strong>le</strong> berger al<strong>le</strong>mand grogna <strong>et</strong><br />

refusa d’al<strong>le</strong>r plus loin. Alors, l’étudiant s’avança seul <strong>et</strong> il<br />

découvrit <strong>le</strong>s vestiges d’un feu récent. Une odeur de viande rôtie<br />

flot<strong>ta</strong>it encore dans l’air <strong>et</strong> des os d’animaux fraîchement rongés<br />

jonchaient <strong>le</strong> sol.<br />

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