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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

- Qu’est-ce qui vous arrive, Guieu? Vous avez perdu vos <strong>la</strong>issezpasser?<br />

- Non, nous ne <strong>le</strong>s avons jamais eus...<br />

Et d’expliquer de façon dé<strong>ta</strong>illée l’impossibilité de notre présence<br />

ici sans avoir franchi <strong>le</strong>s lourdes gril<strong>le</strong>s, commandées é<strong>le</strong>ctriquement<br />

depuis <strong>le</strong> poste de garde. Ce fut au tour de M. Estienne d’éprouver des<br />

difficultés de déglutition!<br />

J’essayai de raisonner rationnel<strong>le</strong>ment:<br />

- Tout <strong>le</strong> site est ceinturé d’une doub<strong>le</strong> barrière é<strong>le</strong>ctrifiée<br />

constituant un chemin de ronde que parcourent des patrouil<strong>le</strong>s armées<br />

accompagnées de chiens policiers. Ne peut-on imaginer<br />

qu’accidentel<strong>le</strong>ment - je ne sais comment - un court tronçon de ces<br />

doub<strong>le</strong>s barrières aurait pu s’affaisser, être détruit <strong>et</strong> ses piliers<br />

écartés, dép<strong>la</strong>cés, livrant un passage temporaire que nous aurions<br />

machina<strong>le</strong>ment emprunté pour...<br />

M. Estienne m’interrompit: un p<strong>la</strong>n dé<strong>ta</strong>illé du site exis<strong>ta</strong>it dans<br />

<strong>la</strong> grande sal<strong>le</strong> du poste de garde, avec une constel<strong>la</strong>tion de voyants<br />

lumineux, no<strong>ta</strong>mment sur <strong>le</strong> parcours du chemin de ronde. Toute anomalie<br />

survenue sur c<strong>et</strong>te doub<strong>le</strong> barrière é<strong>le</strong>ctrifiée aurait déc<strong>le</strong>nché un<br />

signal d’a<strong>le</strong>rte <strong>et</strong> immédiatement, une patrouil<strong>le</strong> armée se serait<br />

rendue sur <strong>le</strong> point signalé par <strong>le</strong> <strong>ta</strong>b<strong>le</strong>au. Rien de ce<strong>la</strong> ne s’est<br />

produit. Décontenancé, M. Estienne dut convenir qu’une tel<strong>le</strong><br />

impossibilité ne pouvait être expliquée. Nous connaissant pour nous<br />

avoir contrôlés à diverses reprises, il donna des ordres pour que des<br />

<strong>la</strong>issez-passer nous soient é<strong>ta</strong>blis: nos papiers d’identité seraient,<br />

conformément au règ<strong>le</strong>ment, conservés pendant <strong>la</strong> durée de nos<br />

interviews <strong>et</strong> nous pourrions <strong>le</strong>s récupérer en repar<strong>ta</strong>nt. Nous<br />

remerciâmes <strong>le</strong> Chef de <strong>la</strong> Sécurité qui, nos <strong>la</strong>issez-passer é<strong>ta</strong>blis,<br />

demeura plongé dans un abîme de perp<strong>le</strong>xité!<br />

Je <strong>le</strong> rencontrai à Marseil<strong>le</strong> bien des années plus <strong>ta</strong>rd - il avait<br />

pris sa r<strong>et</strong>raite - <strong>et</strong> nous bavardâmes cordia<strong>le</strong>ment quelques minutes,<br />

mais lorsque je lui rappe<strong>la</strong>i c<strong>et</strong> incident mystérieux, un embarras<br />

fugitif se peignit sur son visage: Non, tout ce<strong>la</strong> é<strong>ta</strong>it bien vieux <strong>et</strong><br />

il ne se souvenait de rien. Il prit rapidement congé, réalisant qu’il<br />

avait une tâche aussi urgente qu’opportune à accomplir! Mais<br />

l’histoire, plus étrange encore que je n’aurais pu l’imaginer, ne<br />

s’arrête pas là. En eff<strong>et</strong>, en 1982, envisageant de réunir <strong>le</strong>s éléments<br />

d’une suite au « Livre du Paranormal », j’écrivis au technicien<br />

Victorin Serre qui, depuis longtemps à <strong>la</strong> r<strong>et</strong>raite, vivait en Ardèche.<br />

Je lui remémorais en dé<strong>ta</strong>il <strong>la</strong> singulière aventure que nous avions<br />

vécue, lui, Sauveur De Vellis <strong>et</strong> moi, à Cadarache, en 1964.<br />

Le 2 Février 1982, l’ami « Titin » m’adressa ce courrier qui ajou<strong>ta</strong><br />

à ma perp<strong>le</strong>xité:<br />

Cher Jimmy,<br />

Je réponds à <strong>ta</strong> l<strong>et</strong>tre avec un peu de r<strong>et</strong>ard; j’ai bien réfléchi mais<br />

que veux-tu, avec <strong>le</strong> temps, <strong>le</strong>s souvenirs s’estompent. Ce<strong>la</strong> fait 20<br />

ans <strong>et</strong> plus! Et puis, comme tu sais, nous en avons fait, des<br />

repor<strong>ta</strong>ges, soit à Cadarache, soit à Marcou<strong>le</strong> avec toi, mais aussi<br />

avec Toursky, Pierre Cordelier <strong>et</strong> aussi des reporters de Paris qui<br />

venaient dans <strong>le</strong> secteur. Mais je me rappel<strong>le</strong> d’un repor<strong>ta</strong>ge avec toi<br />

à Cadarache à c<strong>et</strong>te époque, avec Sauveur De Vellis, mais ce dont je me<br />

souviens seu<strong>le</strong>ment, c’est ceci: nous étions rentrés dans un sas (zone<br />

particulière à circu<strong>la</strong>tion très limitée, fermée par d’énormes panneaux<br />

p<strong>la</strong>stiques épais mais soup<strong>le</strong>s, assurant <strong>le</strong> maintien d’une pression<br />

différente de cel<strong>le</strong> de l’extérieur, J.G), <strong>et</strong> à <strong>la</strong> sortie, je me suis<br />

rendu compte que ma montre é<strong>ta</strong>it arrêtée; il avait fallu que je <strong>la</strong><br />

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