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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

166<br />

Si <strong>le</strong>s gens qui disent du mal de<br />

moi savaient ce que je pense d’eux,<br />

ils en diraient bien davan<strong>ta</strong>ge!<br />

Sacha Guitry<br />

CHAPITRE 7<br />

Aux yeux d’un profane, <strong>le</strong> monde de l’ufologie peut paraître bizarre,<br />

chargé de contradictions, si l’on ne fait pas <strong>le</strong> distinguo entre <strong>le</strong>s<br />

ufologues sincères - <strong>et</strong> donc véri<strong>ta</strong>b<strong>le</strong>s - <strong>et</strong> <strong>le</strong>s faux-ufologues,<br />

<strong>le</strong>urrant <strong>la</strong> société sous des apparences <strong>et</strong> proc<strong>la</strong>mations trompeuses,<br />

cer<strong>ta</strong>ins de ces « faux j<strong>et</strong>ons » é<strong>ta</strong>nt évidemment beaucoup plus<br />

dangereux que d’autres. Le profane, lui, ne verra dans ces situations<br />

troub<strong>le</strong>s que vaines querel<strong>le</strong>s de clocher ou des chicayas de marchands<br />

de figues ou de chameaux en Afrique du Nord! Hé<strong>la</strong>s, <strong>la</strong> vérité est<br />

autrement a<strong>la</strong>rmante <strong>et</strong> je voudrais aborder maintenant <strong>la</strong> cas d’un<br />

individu amoral, to<strong>ta</strong><strong>le</strong>ment négatif, corrupteur, destructeur, qui me<br />

fait songer à une moderne résurgence de Bélial ou Béliar, évoqué dans<br />

<strong>le</strong> 2ème chapitre, à propos de <strong>la</strong> Chevirat ha Kelim ou « brisure des<br />

vases » de <strong>la</strong> kabba<strong>le</strong>; en ce « commencement des temps » qui vit<br />

apparaître l’Homme Cé<strong>le</strong>ste issu de <strong>la</strong> Lumière <strong>et</strong> son entité contraire,<br />

fruit délétère des ténèbres: Bélial, dit aussi Béliar, l’Homme<br />

Infernal, l’incarnation du Mal absolu, l’être <strong>le</strong> plus NOIR qui fut...<br />

<strong>et</strong> qui, périodiquement, semb<strong>le</strong> bien nous échoir - hé<strong>la</strong>s - au cours des<br />

sièc<strong>le</strong>s.<br />

Aujourd’hui, Béliar existe <strong>et</strong> je l’ai rencontré! Ceux qui sont dans<br />

ce cas <strong>et</strong> qui ont pu se soustraire à son influence directe ou<br />

indirecte, mais de toute manière pernicieuse, regr<strong>et</strong>tent - <strong>et</strong> c’est<br />

mon cas - de l’avoir rencontré, de s’être <strong>la</strong>issés berner par c<strong>et</strong>te<br />

incarnation du mal qui sait, temporairement, se rendre sympathique<br />

pour mieux gruger <strong>et</strong> spolier ceux dont il veut - ou voudrait - <strong>la</strong><br />

perte. Quand j’ai découvert sa véri<strong>ta</strong>b<strong>le</strong> nature, sa duplicité <strong>et</strong> sa<br />

noirceur, quasi en même temps, cer<strong>ta</strong>ins de mes amis qui avaient été<br />

eux aussi « captés » dans ses r<strong>et</strong>s, découvrirent sa face cachée <strong>et</strong>,<br />

par là, son influence maléfique <strong>et</strong> sournoise. Tous ceux que j’avais<br />

prévenus, mis en garde <strong>et</strong> qui n’ont pas voulu ou pu se dégager de son<br />

emprise, l’ont par <strong>la</strong> suite amèrement regr<strong>et</strong>té. Ces amis, souvent<br />

ufologues, ont été invariab<strong>le</strong>ment menacés de mort (je fus témoin de<br />

l’une de ces menaces!), au « mieux » bru<strong>ta</strong>lisés, parfois apeurés en<br />

découvrant <strong>la</strong> noirceur terrifiante de ce faux-homme <strong>et</strong> authentique<br />

Béliar, <strong>la</strong> créature du Mal. Il n’est pas de mots suffisamment durs<br />

pour qualifier <strong>la</strong> noirceur de c<strong>et</strong> être démoniaque.<br />

Ne croyez surtout pas que j’exagère <strong>et</strong> dramatise; ce que je vais<br />

divulguer de lui sera encore au-dessous de <strong>la</strong> vérité. Voici un exemp<strong>le</strong><br />

de ce dont il s’est rendu coupab<strong>le</strong>. Béliar... Continuons de l’appe<strong>le</strong>r<br />

ainsi car <strong>le</strong> temps n’est pas encore venu de révé<strong>le</strong>r sa véri<strong>ta</strong>b<strong>le</strong><br />

identité (il en a plusieurs, mais son patronyme véridique a pour<br />

initia<strong>le</strong> C. A); car un jour, des circons<strong>ta</strong>nces favorab<strong>le</strong>s ou cer<strong>ta</strong>ins<br />

événements inéluc<strong>ta</strong>b<strong>le</strong>s feront éc<strong>la</strong>ter <strong>la</strong> vérité. Et c’est lui-même<br />

qui, par un acte déterminé - pour ne pas dire prédéterminé - sera <strong>le</strong><br />

propre détonateur de ce qui m<strong>et</strong>tra - enfin! - <strong>le</strong> feu aux poudres! Ce<br />

dont il ne peut, pour l’ins<strong>ta</strong>nt, se douter car il m’a, moi aussi,<br />

menacé de mort... alors que ce voyou aurait intérêt à ce que je reste<br />

vivant <strong>et</strong> en bonne santé <strong>le</strong> plus longtemps possib<strong>le</strong>, incapab<strong>le</strong> qu’est

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