jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
mois plus <strong>ta</strong>rd, dans <strong>la</strong> même région, vous avez été victimes d’une<br />
« abduction »!<br />
AUTRES « MYSTERES », CETTE FOIS DANS LA FORET<br />
Dans ce cas éga<strong>le</strong>ment fort intéressant, <strong>le</strong>s séquences mystérieuses<br />
s’échelonnent sur plusieurs décennies; séquences qui, à de rares<br />
exceptions près, se sont déroulées dans <strong>la</strong> Meuse, chaque fois dans <strong>la</strong><br />
même région boisée, que je baptiserai de façon fan<strong>ta</strong>isiste: « forêt<br />
domania<strong>le</strong> de Saint-Va<strong>le</strong>ntin ». De même que <strong>le</strong>s héros involon<strong>ta</strong>ires de<br />
ces événements seront rebaptisés afin de préserver <strong>le</strong>ur anonymat,<br />
cer<strong>ta</strong>ins faux-ufologues <strong>et</strong> groupuscu<strong>le</strong>s spécialisés dans <strong>le</strong> debunking<br />
(démolition de <strong>la</strong> vérité) é<strong>ta</strong>nt à l’affût de cas de ce genre pour<br />
importuner, sinon harce<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s témoins! Ces derniers ainsi protégés,<br />
ces méprisab<strong>le</strong>s individus vont donc l’avoir... saumâtre (restons<br />
polis!).<br />
Voici <strong>le</strong>s faits. En 1952, Georges Duparc <strong>et</strong> son épouse Gilberte<br />
demeuraient à B<strong>la</strong>nc-Mesnil, près du terrain d’aviation. Un dimanche<br />
après-midi, ils vont se promener à <strong>la</strong> <strong>camp</strong>agne, <strong>le</strong>ur bébé dans un<br />
<strong>la</strong>ndau; <strong>le</strong> coin tranquil<strong>le</strong> trouvé, ils s’assoient sur l’herbe. Pendant<br />
plusieurs minutes, ils vont observer un obj<strong>et</strong> bril<strong>la</strong>nt dans ses<br />
évolutions en zigzags; sous l’aspect d’une grosse étoi<strong>le</strong> (en p<strong>le</strong>in<br />
jour), l’engin viendra faire un s<strong>ta</strong>tique à <strong>la</strong> vertica<strong>le</strong> de <strong>le</strong>ur<br />
position puis s’éloignera à une vitesse fan<strong>ta</strong>stique.<br />
Le coup<strong>le</strong> va plus <strong>ta</strong>rd s’ins<strong>ta</strong>l<strong>le</strong>r dans <strong>la</strong> Meuse, par<strong>ta</strong>geant <strong>la</strong><br />
même passion de <strong>la</strong> cueill<strong>et</strong>te des champignons. Un matin d’Août 1976,<br />
en compagnie de <strong>le</strong>ur neveu Bernard, Georges <strong>et</strong> Gilberte arrivent à <strong>la</strong><br />
forêt à 8 h 15, Gilberte persuadée qu’el<strong>le</strong> va trouver un « monceau »<br />
de girol<strong>le</strong>s. Les deux hommes se moquent d’el<strong>le</strong> gentiment mais, contre<br />
toute attente, Gilberte trouve effectivement une quantité de girol<strong>le</strong>s.<br />
A 9 h 15, nos cueil<strong>le</strong>urs de champignons s’ins<strong>ta</strong>l<strong>le</strong>nt au bord d’une<br />
allée pour at<strong>ta</strong>quer de fort bon appétit un copieux « p<strong>et</strong>it » déjeuner.<br />
Mais <strong>la</strong>issons <strong>la</strong> paro<strong>le</strong> (ou <strong>la</strong> plume), à Georges:<br />
- ... Sur ma droite, à environ une dizaine de mètres, il y avait<br />
une butte de <strong>terre</strong>, pour ainsi dire en bordure de l’allée; c<strong>et</strong>te<br />
butte, rec<strong>ta</strong>ngu<strong>la</strong>ire, faisait environ 2 m 50 de haut. Tout en mangeant<br />
mon casse-croûte, je voulus al<strong>le</strong>r voir plus loin s’il y avait des<br />
girol<strong>le</strong>s. Je passai donc devant c<strong>et</strong>te butte <strong>et</strong> aussitôt, je ressentis<br />
que quelque chose d’indéfinissab<strong>le</strong> m’enveloppait <strong>et</strong> je m’aperçus que<br />
je n’é<strong>ta</strong>is plus au même endroit! Là où je me trouvais, <strong>le</strong> bois é<strong>ta</strong>it<br />
très sombre; <strong>le</strong> chemin mon<strong>ta</strong>it légèrement <strong>et</strong> <strong>le</strong> sol é<strong>ta</strong>it couvert de<br />
pieds de pervenches (un vrai <strong>ta</strong>pis). Je m’arrê<strong>ta</strong>i, regardai autour de<br />
moi, sans pouvoir définir ce que je ressen<strong>ta</strong>is. Je j<strong>et</strong>ai un coup d’œil<br />
du côté de ma femme <strong>et</strong> de Bertrand: JE LES VIS AU LOIN, ALORS QUE JE<br />
VENAIS DE LES QUITTER! L’on aurait cru qu’ils é<strong>ta</strong>ient au so<strong>le</strong>il, alors<br />
que, moi, j’é<strong>ta</strong>is dans un endroit très sombre! J’éprouvai une sorte de<br />
peur, vite dissipée <strong>et</strong> fis demi-tour, pour rejoindre ma femme <strong>et</strong> notre<br />
neveu. En repassant devant c<strong>et</strong>te butte, je l’ai regardée avec<br />
méfiance, je ne peux pas dire pourquoi. Et lorsque je fus près d’eux,<br />
j’ai voulu <strong>le</strong>ur dire ce qui venait de se produire mais... TOUT FUT<br />
EFFACE DE MA MEMOIRE!<br />
« Ayant fini nos casse-croûte, nous avons décidé de chercher encore<br />
quelques girol<strong>le</strong>s. Ma femme en tête suivie de notre Bernard, nous nous<br />
sommes dirigés vers c<strong>et</strong>te fameuse butte de <strong>terre</strong>. Arrivés à proximité,<br />
je me suis mis à l’esca<strong>la</strong>der; c’é<strong>ta</strong>it de <strong>la</strong> <strong>terre</strong> meub<strong>le</strong> car<br />
j’enfonçais dedans jusqu’aux chevil<strong>le</strong>s. Parvenu en haut, je me suis<br />
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