jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
« Depuis ce jour, conclut l’auteur, Marc Paris<strong>et</strong> est convaincu<br />
d’avoir été <strong>le</strong> témoin d’une scène de <strong>la</strong> vie préhistorique, à<br />
l’occasion d’une rupture de l’Espace-Temps. A moins (conclut-il avec<br />
un clin d’oeil) qu’il ait assisté à une cérémonie organisée par des<br />
adeptes du New Age (fin de ci<strong>ta</strong>tion).<br />
Des adeptes qui n’auraient pas « dégagé » l’odeur sui généris de<br />
l’humain de tous <strong>le</strong>s jours au point de terroriser un robuste berger<br />
al<strong>le</strong>mand? Tu as raison, cher Jean-Paul, de j<strong>et</strong>er ainsi un os à ronger<br />
aux rationalistes <strong>et</strong> autres zozotistes; eux qui n’ont pas souvent<br />
grand chose à se m<strong>et</strong>tre sous <strong>la</strong> dent vont en faire un festin!<br />
Dans mon roman La <strong>terre</strong>ur venue du néant (1987, réédition en 1994<br />
chez Vaugirard, série « Les Chevaliers de Lumière »), j’avais imaginé<br />
une tel<strong>le</strong> « rupture du continuum espace-temps » avec intrusion<br />
fugitive, de nos jours, d’un groupe d’hommes préhistoriques au haut de<br />
<strong>la</strong> Canebière, à Marseil<strong>le</strong>, au coeur d’un étrange vortex (réel, lui!)<br />
où bien des événements fan<strong>ta</strong>stiques se sont produits, re<strong>la</strong>tés par <strong>le</strong>s<br />
témoins dans <strong>le</strong>s K7 N°4 <strong>et</strong> N°12 de <strong>la</strong> série documen<strong>ta</strong>ire <strong>le</strong>s Portes du<br />
Futur: Fail<strong>le</strong>s Spatio-Temporel<strong>le</strong>s: Les Vortex <strong>et</strong> Espace-Temps: Jean<br />
C<strong>la</strong>ude Pantel <strong>et</strong> ses étranges visiteurs.<br />
UNE SINGULIERE RANDONNEE...<br />
Nuit du Dimanche 9 au lundi 10 juin 1979; Corinne D. <strong>et</strong> sa mère<br />
quittent <strong>le</strong>s environs du Tréport (Haute Normandie), comme chaque<br />
semaine, pour regagner <strong>la</strong> région parisienne après avoir effectué des<br />
travaux de finition dans <strong>le</strong>ur résidence secondaire. Cédons <strong>la</strong> paro<strong>le</strong><br />
(ou plutôt <strong>la</strong> plume), à Corinne qui, <strong>le</strong> 29 Avril 1997, m’adressa ce<br />
courrier:<br />
« (...) Le temps de ranger mes outils <strong>et</strong> charger <strong>la</strong> voiture, nous<br />
nous sommes mises en route vers 0h 15 (c’é<strong>ta</strong>it déjà lundi). La<br />
route qui me ramène à C, (à 175 km), est représentée par deux<br />
départemen<strong>ta</strong><strong>le</strong>s successives: <strong>la</strong> D 1314 <strong>et</strong> <strong>la</strong> D 915. Mon chemin est<br />
jalonné de p<strong>et</strong>ites bourgades jusqu’à Gisors; après <strong>le</strong> lieudit « Le<br />
Fayel », j’arrive à une intersection (devenue un rond point); <strong>la</strong> route<br />
à droite, qui m’amène à <strong>la</strong> Nationa<strong>le</strong> 14 (N 14), serpente pendant 7 km<br />
en rase <strong>camp</strong>agne; après 2 km de l’intersection, il y avait un passage<br />
à niveau qui n’existe plus. De c<strong>et</strong> endroit, <strong>le</strong> jour, on découvre toute<br />
<strong>la</strong> <strong>camp</strong>agne (c’est presque un p<strong>la</strong>teau) à perte de vue. La nuit, on<br />
voit n<strong>et</strong>tement <strong>le</strong>s lumières roses des réverbères qui éc<strong>la</strong>irent <strong>la</strong> N<br />
14. Au<strong>ta</strong>nt dire que c<strong>et</strong>te p<strong>la</strong>ine est très p<strong>la</strong>te. Il n’exis<strong>ta</strong>it, à<br />
l’époque, que des chemins de <strong>terre</strong> agrico<strong>le</strong>s. La seu<strong>le</strong> route<br />
carrossab<strong>le</strong> est située à 3 ou 4 km plus loin, vers <strong>la</strong> N 14 <strong>et</strong> à<br />
gauche. El<strong>le</strong> mène à un p<strong>et</strong>it vil<strong>la</strong>ge qui se nomme Le Bel<strong>la</strong>y-en-Vexin.<br />
Tout ceci pour que vous compreniez bien qu’il ne pouvait arriver<br />
aucune lumière ni aucun véhicu<strong>le</strong> sans que je puisse <strong>le</strong> remarquer<br />
immédiatement, d’au<strong>ta</strong>nt plus que j’é<strong>ta</strong>is, ou plutôt, nous étions,<br />
maman <strong>et</strong> moi, seu<strong>le</strong>s sur c<strong>et</strong>te route.<br />
« J’avais à peine dépassé <strong>le</strong> passage à niveau depuis 2 à 3 minutes<br />
<strong>et</strong> je rou<strong>la</strong>is à 90/100 km/h (CX 2200 12 CV) que deux phares - jaune<br />
foncé, orangé - apparaissent dans mes rétros. Je me suis demandée<br />
comment ce camion (très gros j’imaginais, en raison de <strong>la</strong> <strong>ta</strong>il<strong>le</strong> des<br />
phares, 50 à 60 cm de diamètre <strong>et</strong> à <strong>le</strong>ur hauteur = 1 m à 1 m 20 du<br />
sol) é<strong>ta</strong>it derrière moi sans que je l’ai remarqué avant. Durant tout<br />
<strong>le</strong> traj<strong>et</strong>, ces phares ne se sont jamais éloignés à plus de 15 m <strong>et</strong> se<br />
sont rapprochés à environ 5 m.<br />
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