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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

ne suis pas r<strong>et</strong>ourné à c<strong>et</strong> endroit depuis). Donc, je me suis appuyé<br />

machina<strong>le</strong>ment contre ce monticu<strong>le</strong> <strong>et</strong> j’ai attendu avec, en moi-même,<br />

<strong>la</strong> conviction de voir bientôt « quelqu’un »; j’éprouvai éga<strong>le</strong>ment une<br />

sorte de contentement, quelque chose que je ne peux mieux définir. Au<br />

bout d’un moment, c<strong>et</strong>te impression s’est dissipée. [Le « con<strong>ta</strong>ct »<br />

avait « failli » avoir lieu mais, pour une raison inconnue, <strong>le</strong>s Aliens<br />

y ont renoncé, J.G]. Je fis quelques pas pour rejoindre mon fils dans<br />

l’allée: sur ma droite, <strong>le</strong> terrain formait une cuv<strong>et</strong>te. On aurait cru<br />

que cel<strong>le</strong>-ci é<strong>ta</strong>it enso<strong>le</strong>illée. J’ai voulu m’approcher mais <strong>la</strong> pensée<br />

me vint qu’il ne fal<strong>la</strong>it pas que j’y ail<strong>le</strong>. Je m’écarte d’un pas ou<br />

deux <strong>et</strong> j’ai entendu mon fils <strong>et</strong> son beau-frère sur ma gauche,<br />

réalisant avec étonnement qu’ainsi je par<strong>ta</strong>is en sens inverse <strong>et</strong><br />

presque aussitôt, je <strong>le</strong>s ai entendus loin derrière moi! Puis,<br />

subitement, je me suis r<strong>et</strong>rouvé au bord d’un chemin; mes yeux me<br />

piquaient. [Une fois encore, Georges venait d’être téléporté, éloigné<br />

du lieu X où il « gênait » <strong>le</strong>s « visiteurs », J.G]. Je me suis demandé<br />

où j’é<strong>ta</strong>is <strong>et</strong> c’est alors que j’ai entendu <strong>le</strong> bruit d’une voiture sur<br />

ma droite, réalisant ainsi que j’é<strong>ta</strong>is au bord de <strong>la</strong> route de « W »!<br />

Puis j’ai vu mon fils, sa femme, son beau-frère <strong>et</strong> sa bel<strong>le</strong>-soeur<br />

sortir de l’allée, au loin sur ma gauche. Ils me rejoignirent,<br />

étonnés, m’ayant appelé plusieurs fois sans que je <strong>le</strong>ur réponde. Et<br />

pour cause, je n’avais strictement rien entendu!<br />

« Je pense, raisonne Georges, que pour avoir attendu « quelqu’un »<br />

comme je l’ai fait, c’est que « on » m’a mis peut-être en condition<br />

pour une « rencontre » prochaine. Qui sait? Des choses étranges<br />

s’é<strong>ta</strong>ient produites. La précédente fois, un matin de 1976, comme en<br />

août 1986 l’après-midi, il y avait un beau so<strong>le</strong>il. Mais à chaque fois<br />

que ces événements bizarres survenaient, LE SOLEIL ETAIT ABSENT!<br />

C’é<strong>ta</strong>it comme si l’on se trouvait sous une cloche de verre dépoli: <strong>le</strong>s<br />

rayons du so<strong>le</strong>il ne passaient pas; il faisait c<strong>la</strong>ir mais c’é<strong>ta</strong>it gris<br />

<strong>et</strong> en plus il régnait un si<strong>le</strong>nce absolu! Tenez, deux souvenirs me<br />

reviennent, concernant deux événements qui se produisirent peu après<br />

notre première aventure en forêt, en 1976, donc.<br />

« Un soir vers 22 h 30, j’avais sorti « Bel<strong>le</strong> », notre chienne, qui<br />

marchait à mes côtés. Soudain, el<strong>le</strong> a traversé <strong>la</strong> rue en aboyant puis<br />

s’est arrêtée de l’autre côté. A <strong>la</strong> façon dont el<strong>le</strong> jappait, il y<br />

avait sûrement quelqu’un devant el<strong>le</strong>, QUE JE NE VOYAIS PAS mais<br />

qu’el<strong>le</strong> regardait, <strong>la</strong> truffe <strong>le</strong>vée, hargneuse. Bien que peu rassuré<br />

par ce comportement dérou<strong>ta</strong>nt, je rejoignis « Bel<strong>le</strong> » <strong>et</strong> el<strong>le</strong> s’est<br />

tue, est revenue tranquil<strong>le</strong>ment près de moi: de toute évidence, ce qui<br />

l’avait mise en colère - comme <strong>la</strong> présence d’un étranger indésirab<strong>le</strong> -<br />

n’é<strong>ta</strong>it plus là!<br />

« Second fait anormal, un soir à <strong>la</strong> maison c<strong>et</strong>te fois, alors que<br />

nous étions en train de dîner. Soudain, notre fil<strong>le</strong> Sophie, quatorze<br />

ans, pousse un cri, très pâ<strong>le</strong> <strong>et</strong> <strong>le</strong>s <strong>la</strong>rmes aux yeux, désignant <strong>la</strong><br />

porte de <strong>la</strong> sal<strong>le</strong> à manger d’une main tremb<strong>la</strong>nte, criant: “Là! Là”!<br />

Nous l’avons interrogée <strong>et</strong> el<strong>le</strong> a fini par nous expliquer qu’un<br />

ins<strong>ta</strong>nt plus tôt, il y avait un homme tout vêtu de noir qui nous<br />

regardait, depuis l’entrée de <strong>la</strong> sal<strong>le</strong> à manger! Je me suis <strong>le</strong>vé, j’ai<br />

visité <strong>la</strong> maison pièce après pièce, en vain. Sophie venait donc de<br />

voir, peut-être, <strong>la</strong> même « personne » qui avait fait aboyer<br />

furieusement notre chienne!<br />

« Un an après notre première aventure dans <strong>la</strong> forêt, en Août 1877,<br />

par conséquent, ma femme <strong>et</strong> moi partons dans <strong>le</strong> bois à <strong>la</strong> recherche de<br />

champignons, r<strong>et</strong>rouvant l’allée où nous avions cassé <strong>la</strong> croûte, avec<br />

toujours <strong>la</strong> grosse branche par <strong>terre</strong> sur <strong>la</strong>quel<strong>le</strong> Gilberte avait<br />

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