jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:
Terre, ta civilisation fout le camp!
serait ravi de vous rencontrer. Serez-vous des nôtres? ». Il faut se
rappeler qu’à cette époque, le « comte de Saint-Germain » (du moins,
cet homme jeune dénommé Richard Chanfray mais qui affirmait être le
comte de Saint-Germain), défrayait la chronique et apparaissait dans
tous les médias, y compris à la Télévision. Amateur d’insolite, de
mystères, parapsychologie et faits étranges de toute nature,
j’acceptai sans hésiter cette invitation et accompagnai donc, le soir
venu, Jean-Michel Pedrazzani chez le « comte de Saint-Germain » qui
demeurait alors sur le boulevard... Saint Germain! Rencontre,
présentations, ambiance au départ un peu surréaliste et irréelle, dans
un appartement à la modernité assez dépouillée; ressemblance
hallucinante de notre hôte (35/40 ans tout au plus) avec le personnage
illustre (au visage popularisé surtout par la gravure de N. Thomas),
qui à son tour nous présenta sa compagne du moment 274 : la ravissante
Jeanne-Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour, séduisante brune
dans une splendide robe bleu turquoise (à la facture new look) au
décolleté généreux. Un gag? Non; sans doute le « comte » l’avait-il
convaincue de l’avoir rencontrée jadis en tant que maîtresse du roi,
lors de l’une de ses visites à la cour de S.M Louis XV 275 , étant admis
(je le présume!) que la très belle « marquise » que nous avions sous
les yeux « pouvait » être - chi lo sa? - la réincarnation de la
Pompadour!... Et jouant ce rôle avec beaucoup de distinction et sans
affectation. Le dîner fut savoureux, la soirée, toujours un peu
irréelle, des plus agréables, le ton badin et, après les
présentations, nous passâmes graduellement du « Madame la Marquise » à
« Marquise » tout court, sans aller ensuite jusqu’à user d’un
« Jeanne-Antoinette » par trop familier pour les roturiers que nous
étions, J.M. Pédrazzani et moi, face à cette représentante de la
noblesse qui avait eu des bontés historiques - et bénéfiques - pour
son royal amant et « presque époux ».
Une conversation qui me permit de sonder un peu « M. le Comte ».
Non, il ne peignait pas et ignorait assez la chimie; lacunes
surprenantes chez le (vrai) comte de Saint-Germain, excellent peintre,
violoniste de talent et chimiste expert, particulièrement versé dans
la chimie des colorants et des teintures, sans oublier nombre d’autres
sciences et techniques, dont celle, par exemple, consistant à
débarrasser un diamant du ma-lencontreux crapaud qui réduisait
considérablement sa valeur! (Une technologie du futur que notre
science n’a pas encore rattrapée!). Car Saint-Germain, le vrai, (cet
homme qui sait tout et qui ne meurt jamais, disait de lui Voltaire),
était tout cela, au long des 170 années de ses « apparitions »
historiques et toujours sous l’aspect d’un homme d’une quarantaine
d’années. Certes, Richard Chanfray-Saint Germain parvint à effectuer à
la télévision une transmutation alchimique, changeant un métal vil (un
fusible en plomb) en or; l’expérience se déroula de la manière
suivante: le « comte » - dit - de Saint-Germain versa une poudre
sombre sur la matière en fusion. Une fois refroidie, formant une sorte
de nodule dorée, celle-ci fut soumise à la pierre de touche et à l’eau
régale d’un bijoutier. La vérification fut sans équivoque: il
s’agissait bien d’un petit amas d’or fondu récupéré au fond du
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Il n’avait pas encore, à cette époque, rencontré Dalida qui plus tard, tout comme lui, devait
mettre fin à ses jours.
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Vers 1750, le maréchal de Belle-Isle, grand ami de Saint-Germain, l’avait présenté au monarque
ainsi qu’à la Pompadour, qui furent rapidement conquis par cet être exceptionnel, assurément
grand Initié et pas « seulement », selon certains, un aventurier.
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