jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:
Terre, ta civilisation fout le camp!
sous prétexte que d’autres journalistes de l’écrit ont orthographié
Lady D... en Lady Di, ayant ouï dire sans doute que la lettre D, chez
nos amis anglais, se prononçait Dee, soit, phonétiquement:Di, mais en
aucune façon Daï! Comme ma grand-mère traitait de Bougre d’Aï,
(« Bougre d’âne »), je ne sais plus quel voisin lorsque, enfant,
j’étais en vacances au village vauclusien de Pertuis!). Incarné par le
grand comédien Rémus, un personnage de Marcel Pagnol se piquant
d’intellectualisme factice, n’anglicisait-il pas en Taïte-Laïve le nom
latin de l’historien romain Tite-Live? Chez Pagnol, c’était fort
drôle, mais sur nos « ondes », ce l’est beaucoup moins! Et je me
demande si nos commentateurs (usant et abusant de Lady Daï), parlant
du Jour J - s’ils avaient été contemporains de la Libération -
n’auraient pas alors fait allusion au Jour Daï puisqu’en anglais Jour
J s’écrit D-Day, que l’on prononce naturellement « di dé»! A quand,
chez ces intellectualistes ignares, une biographie des duettistes
Rimsky & Korsakov agrémentée des dernières recettes de cuisines
consacrées à la truite par le chef-cuisinier Schubert, l’ancêtre du
compositeur Jean-Pierre Coffe? Plat savoureux s’il en fut, garni de
noix grâce au célèbre casse-noisettes manié avec virtuosité par le
petit marmiton Ilitch, né Tchaïkovsky, vieille famille très liée aux
duettistes cités plus haut. Si vous aimez la salade russe, couvrez-là
d’un couvercle pour la soustraire au vol du bourdon ou au piqué de la
pie voleuse! Mieux vaut en rire, n’est-ce pas, comme aurait pleurniché
ce pauvre Paillasse? (Non, il n’était pas vendeur de matelas ni de
sommiers)!
APOCALYPSE NOW ?
La traduction littérale du titre de ce célèbre film de Francis Ford
Coppola, (1979), le point d’interrogation ajouté par mes soins - est:
Maintenant l’Apocalypse? Ce dernier mot signifiant non pas
« cataclysme », « catastrophe finale » mais bien plutôt: Révélation.
Et des signes, parfois alarmants, nous incitent à penser que ce temps
des révélations est proches.(D’où l’angoisse fort peu métaphysique des
rationalos qui, attirés par le trou noir de leur nihilisme, pourraient
bien finir « néantisés »).
Comme nous avons pu le constater, de singulières convergences
marquent notre fin de siècle qui, de surcroît, coïncide accessoirement
avec celle du second millénaire. Les mensonges officiels sur les OVNI
et les ET vont probablement cesser, gommés par d’incontournables
réalités... qui ne plairont pas aux Scientistes avec un grand « S »!
En revanche, des scientifiques honnêtes sont prêts à rallier notre
camp. Jean-Jacques Vélasco, après certaines déclarations positives
envers le phénomène OVNI, semble décidé à aller plus loin. Le
lieutenant-colonel Philip Corso, lui, est déjà allé plus loin en
publiant en Amérique et dans les pays anglophones: The day after
Roswell. Redondances voulues: il avait d’ailleurs une place
privilégiée, à la tête de The Alien Technology Division, créée en 1947
pour exploiter au maximum les « retombées » technologiques
« potentielles » consécutives non seulement au crash de Roswell mais à
de nombreux autres, survenus cette année-là dans le Middle West
américain... et en divers pays par la suite, DONT LA CHINE (mais ceci
est une autre histoire...). L’on évaluerait à plus de 150 le nombre de
crashes d’engins « aliens » sur notre planète depuis 1864.
267