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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

senti tout drô<strong>le</strong>. J’ai eu comme un ma<strong>la</strong>ise, j’avais <strong>la</strong> tête qui<br />

tournait, aussi je redescendais bien vite. Une fois en bas, je me suis<br />

dirigé vers notre neveu, que je trouvai figé comme une s<strong>ta</strong>tue <strong>et</strong> avec<br />

un drô<strong>le</strong> de regard.<br />

« Je m’étonnai: « Tu ne cherches pas de girol<strong>le</strong>s, Bernard? » Il me<br />

répondit par <strong>la</strong> négative <strong>et</strong> c’est alors seu<strong>le</strong>ment que je remarquai<br />

qu’il faisait très sombre au point qu’on voyait à peine <strong>le</strong> bout de nos<br />

pieds! Ce qui me fit dire à Bernard: « Il fait tel<strong>le</strong>ment sombre qu’il<br />

nous faudrait une <strong>la</strong>mpe é<strong>le</strong>ctrique pour chercher <strong>le</strong>s girol<strong>le</strong>s! »<br />

Notre cueil<strong>le</strong>ur de champignons questionne alors son neveu pour<br />

savoir où se trouve son épouse. « Par là », répond Bernard en<br />

désignant un endroit vague dans <strong>la</strong> mystérieuse obscurité ambiante.<br />

Georges appe<strong>la</strong> à diverses reprises, siff<strong>la</strong> <strong>et</strong> sa femme enfin lui<br />

répondit. Il <strong>la</strong> vit <strong>et</strong> effectivement, el<strong>le</strong> n’é<strong>ta</strong>it pas loin mais,<br />

dé<strong>ta</strong>il bizarre, là où el<strong>le</strong> se trouvait il y avait du so<strong>le</strong>il, « alors<br />

que nous, nous étions dans <strong>le</strong> noir! commente Georges. Ca aurait dû me<br />

f<strong>la</strong>nquer <strong>la</strong> frousse mais j’é<strong>ta</strong>is très décontracté. J’appe<strong>la</strong>i tout de<br />

même Gilberte mais ne reçus aucune réponse. Mon neveu cria lui aussi,<br />

l’appe<strong>la</strong>, sans résul<strong>ta</strong>t: ma femme avait disparu! Alors, tous <strong>le</strong>s deux,<br />

nous avons décidé d’al<strong>le</strong>r l’attendre dans l’allée qui é<strong>ta</strong>it à environ<br />

cinq ou six mètres <strong>et</strong> que pour<strong>ta</strong>nt nous n’avons pas trouvée! Bernard<br />

m’a regardé avec inquiétude: « Il n’y a rien! Plus d’allée! Plus de<br />

butte de <strong>terre</strong>»!<br />

« J’ai lu <strong>la</strong> peur sur son visage <strong>et</strong> il est parti en courant dans<br />

<strong>le</strong> bois. J’ai voulu en faire au<strong>ta</strong>nt, lui crier de m’attendre mais,<br />

soudain, une pensée me vint que nous étions « pris » <strong>et</strong> qu’il ne<br />

fal<strong>la</strong>it pas avoir peur. Je me sentis alors très décontracté <strong>et</strong> presque<br />

aussitôt, j’ai entendu Bernard, notre neveu, qui m’appe<strong>la</strong>it,<br />

m’annonçant qu’il avait r<strong>et</strong>rouvé <strong>le</strong> chemin. Je <strong>le</strong> rejoignis; il é<strong>ta</strong>it<br />

heureux d’avoir repéré <strong>la</strong> fameuse allée où nous avions cassé <strong>la</strong><br />

croûte. Dans <strong>la</strong> minute suivante, ma femme sortit du bois, à quelques<br />

mètres de nous à peine. Avait-el<strong>le</strong> entendu nos appels? Etonnée, el<strong>le</strong><br />

secoua <strong>la</strong> tête, n’ayant strictement rien entendu. Nous aurions dû<br />

trouver ce<strong>la</strong> bizarre, mais non, hé<strong>la</strong>s,... car nos cerveaux ne nous<br />

appartenaient plus!<br />

« D’un commun accord, nous avons décidé, tout en cherchant des<br />

girol<strong>le</strong>s, de faire demi-tour pour rentrer à <strong>la</strong> maison. Nous avons<br />

pénétré dans <strong>le</strong> bois, mais au bout de quelques minutes, j’ai dû<br />

arrêter de chercher car <strong>le</strong>s yeux me piquaient. Je fis deux ou trois<br />

pas sur ma droite <strong>et</strong> me r<strong>et</strong>rouve dans une allée que je reconnus <strong>et</strong> qui<br />

aurait dû se situer plus loin! Bertrand vint me rejoindre en se<br />

frot<strong>ta</strong>nt <strong>le</strong>s yeux, comme irrités lui aussi, <strong>et</strong> sans comprendre que<br />

l’allée ait pu être si proche! Enfin, à son tour, ma femme nous<br />

rejoignit, incapab<strong>le</strong> de chercher davan<strong>ta</strong>ge <strong>le</strong>s champignons car, à<br />

notre exemp<strong>le</strong>, ses yeux lui faisaient mal. Nous étions étonnés mais ne<br />

fîmes aucun commen<strong>ta</strong>ire, ce mal aux yeux semb<strong>la</strong>nt al<strong>le</strong>r de soi <strong>et</strong> nous<br />

voilà nous éloignant sur c<strong>et</strong>te allée avec l’espoir de sortir bientôt<br />

du bois.<br />

« Nous marchions depuis quelques minutes lorsque j’ai réalisé,<br />

dans un ins<strong>ta</strong>nt de lucidité, un anomalie que je fis remarquer à<br />

Gilberte <strong>et</strong> à Bernard: « Vous ne trouvez pas que <strong>le</strong> chemin est<br />

anorma<strong>le</strong>ment p<strong>la</strong>t? Rappe<strong>le</strong>z-vous: quand nous sommes rentrés dans <strong>le</strong><br />

bois, à huit heures quinze, nous avions monté; donc, à présent, nous<br />

devrions descendre. Notre neveu opina: « C’est vrai <strong>et</strong> pour<strong>ta</strong>nt, ce<br />

chemin est p<strong>la</strong>t comme un bil<strong>la</strong>rd! ».<br />

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