jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
Mort aux cons! (Pour<strong>ta</strong>nt nombreux chez <strong>le</strong>s Soixante-hui<strong>ta</strong>rds dont<br />
cer<strong>ta</strong>ins, occupant aujourd’hui des postes é<strong>le</strong>vés, en France <strong>et</strong> chez<br />
cer<strong>ta</strong>ins de nos voisins, peuvent encore nuire en s’appuyant sur <strong>le</strong>ur<br />
immunité!). Ce que voyant, M. Georges Pompidou attira l’attention du<br />
Général de Gaul<strong>le</strong> sur c<strong>et</strong>te inscription <strong>et</strong> <strong>le</strong> chef de l’E<strong>ta</strong>t se serait<br />
alors exc<strong>la</strong>mé: Vaste programme! Solution origina<strong>le</strong>, en eff<strong>et</strong>, mais peu<br />
réaliste, surtout dans une société « démocratique » insidieusement<br />
gangrenée par un gauchisme délétère qui a fini par obtenir l’abolition<br />
de <strong>la</strong> peine de mort, pour <strong>la</strong> plus grande joie des assassins,<br />
pédophi<strong>le</strong>s [très bizarrement protégés, sinon « oubliés » par <strong>la</strong><br />
justice chez nos amis belges], enfin, <strong>la</strong> racail<strong>le</strong> terroriste<br />
multiforme. Que ces monstres profitent bien de ce <strong>la</strong>xisme généré par<br />
<strong>le</strong>s Forces Noires car, un jour, <strong>la</strong>s d’être tondus, bafoués, spoliés,<br />
massacrés, <strong>le</strong>s moutons survivants se transformeront en fauves<br />
enragés...<br />
Et <strong>le</strong>s adversaires de <strong>la</strong> peine capi<strong>ta</strong><strong>le</strong>, jouant naguère <strong>le</strong>s<br />
tribuns gesticu<strong>la</strong>nts <strong>et</strong> courroucés, (à l’exemp<strong>le</strong> d’un de <strong>le</strong>ur <strong>le</strong>ader<br />
gauchiste aimant bien <strong>le</strong>s eff<strong>et</strong>s de manches), cesseront alors de<br />
gloser, fi<strong>la</strong>nt à l’ang<strong>la</strong>ise en compagnie des canail<strong>le</strong>s de <strong>la</strong> science,<br />
des médias, dé<strong>la</strong>teurs, politicards ripous <strong>et</strong> agents « à tout faire »<br />
de cer<strong>ta</strong>ines officines spécialisées [entre autres occupations<br />
malsaines!], dans <strong>le</strong> « suicide » des politiciens généra<strong>le</strong>ment trop<br />
propres pour qu’on <strong>le</strong>s <strong>la</strong>isse dans <strong>le</strong>ur « erreur »!<br />
Imaginons un scénario: Monsieur Dupont-Durand, VIP du monde<br />
politique avec chauffeur <strong>et</strong> garde du corps, <strong>la</strong>isse sa voiture de<br />
fonction sur un chemin désert afin de faire une bal<strong>la</strong>de à <strong>la</strong> <strong>camp</strong>agne,<br />
se promenant <strong>le</strong> nez au vent <strong>ta</strong>ndis que <strong>le</strong> chauffeur <strong>et</strong> <strong>le</strong> garde du<br />
corps, eux aussi, cheminent tranquil<strong>le</strong>ment devant lui. Puis<br />
l’embrouil<strong>le</strong> commence: un homme ganté intervient - nul ne sait qui -<br />
immobilise Dupont-Durand <strong>ta</strong>ndis qu’un autre homme [pareil<strong>le</strong>ment ganté]<br />
lui introduit <strong>le</strong> canon d’un automatique de gros calibre dans <strong>la</strong><br />
bouche, l’incline à 45° vers <strong>le</strong> haut <strong>et</strong> presse <strong>la</strong> détente: ça<br />
décoiffe! La boîte crânienne vo<strong>le</strong> en éc<strong>la</strong>ts; il ne reste plus qu’à<br />
glisser entre <strong>le</strong>s doigts du « désespéré » l’arme de son « suicide »;<br />
arme sur <strong>la</strong>quel<strong>le</strong> on ne r<strong>et</strong>rouvera naturel<strong>le</strong>ment que <strong>le</strong>s empreintes du<br />
regr<strong>et</strong>té M. Dupont-Durand!<br />
L’« ange gardien » <strong>et</strong> <strong>le</strong> chauffeur du malheureux, entendant <strong>la</strong><br />
détonation, [mais pas <strong>la</strong> fuite du meurtrier doté sans doute d’un<br />
dégraviteur!] se précipitent vers <strong>la</strong> ferme <strong>la</strong> plus proche pour appe<strong>le</strong>r<br />
du secours... car <strong>le</strong> téléphone de bord de <strong>la</strong> voiture est en panne!<br />
CHOSE QUE LES TROIS OCCUPANTS DU VEHICULE SAVAIENT PARFAITEMENT. Ce<strong>la</strong><br />
é<strong>ta</strong>nt, on se demande alors pourquoi <strong>le</strong>dit VIP, au cours de <strong>la</strong><br />
promenade, a informé ses accompagnateurs de son désir de téléphoner<br />
depuis <strong>la</strong> voiture! Curieux comme, parfois, <strong>la</strong> mémoire f<strong>la</strong>nche...<br />
Des prétendus « suicides », il y en a toujours eu, tel celui d’un<br />
autre homme politique « distrait » qui, au cours de sa promenade en<br />
forêt, s’embroncha à une pierre ou à une racine aff<strong>le</strong>urante <strong>et</strong> tomba<br />
en avant dans une f<strong>la</strong>que d’eau, profonde... d’une dizaine de<br />
centimètres. On devait <strong>le</strong> découvrir noyé... <strong>et</strong> <strong>le</strong> visage tuméfié par<br />
des coups! Noyé dans 10 cm d’eau, <strong>le</strong> visage <strong>ta</strong>bassé, il faut <strong>le</strong><br />
faire... <strong>et</strong> aimer <strong>le</strong>s cou<strong>le</strong>uvres pour en ava<strong>le</strong>r une de c<strong>et</strong>te <strong>ta</strong>il<strong>le</strong>! A<br />
se demander si, un jour, on ne découvrira pas un « suicidé »<br />
tronçonné en rondel<strong>le</strong>s, un pendu préa<strong>la</strong>b<strong>le</strong>ment décapité, un<br />
neurasthénique empoisonné à coup de poê<strong>le</strong> à frire ou encore un<br />
désespéré s’é<strong>ta</strong>nt tiré une rafa<strong>le</strong> de mitraill<strong>et</strong>te dans <strong>le</strong> dos!...<br />
Prouesse absolument authentique, d’ail<strong>le</strong>urs, survenue à moins de 2000<br />
24