26.06.2013 Views

jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

de ces vaisseaux étrangers à notre technologie, qu’ils soient<br />

d’origine cosmique, transdimensionnel<strong>le</strong> ou temporel<strong>le</strong> (venant d’une<br />

<strong>civilisation</strong> antédiluvienne ou du futur), ou d’une autre ligne de<br />

Temps que <strong>la</strong> nôtre.<br />

Pour ce qui est de l’amitié selon Cogolin , il n’est pas superflu,<br />

je crois, de lui décerner ces vers de C<strong>la</strong>ude Merm<strong>et</strong>, poète <strong>et</strong><br />

chansonnier du XVIème sièc<strong>le</strong>:<br />

Les amis de l’heure présente<br />

Ont <strong>le</strong> naturel du melon;<br />

Il faut en essayer cinquante<br />

Avant d’en rencontrer un bon.<br />

Ou encore c<strong>et</strong>te ci<strong>ta</strong>tion, renouvelée par un ufologue authentique,<br />

mais non dénué d’humour, qui, dans un autre contexte, « apprécia »<br />

ainsi <strong>le</strong> commerce de l’infâme Béliar:<br />

- Quand on a un ami comme lui, l’on n’a pas besoin d’ennemis! Il <strong>le</strong>s<br />

remp<strong>la</strong>ce tous avan<strong>ta</strong>geusement!<br />

-o-o-o-o-o-o-o-<br />

Au Chapitre 2, j’ai re<strong>la</strong>té <strong>la</strong> promenade en voiture d’un coup<strong>le</strong> ami,<br />

Norbert <strong>et</strong> Viviane, accompagnés de <strong>le</strong>urs enfants, qui prirent en stop<br />

un jeune homme effectuant son service mili<strong>ta</strong>ire au P<strong>la</strong>teau d’Albion.<br />

Avec ce même coup<strong>le</strong>, faisons un r<strong>et</strong>our en arrière d’une dizaine<br />

d’années, dans <strong>la</strong> vil<strong>le</strong> méridiona<strong>le</strong> de Z. A c<strong>et</strong>te époque-là, <strong>le</strong><br />

samedi, Norbert <strong>et</strong> quelques uns de ses amis se réunissaient assez<br />

fréquemment pour bavarder d’OVNI, de parapsychologie, de romans de<br />

science fiction <strong>et</strong> autres « étrang<strong>et</strong>és ». Un nommé Ernest (pseudo), au<br />

sein de ce groupe, affichait un scepticisme que rien ne semb<strong>la</strong>it<br />

devoir faire vacil<strong>le</strong>r. Un autre - attribuons-lui <strong>le</strong> prénom de Marcel -<br />

écou<strong>ta</strong>it, hochait <strong>la</strong> tête, avec des mimiques approbatives, mais<br />

par<strong>la</strong>it peu.<br />

Un jour, mon ami Norbert, excédé par l’ironie <strong>et</strong> l’opposition<br />

systématique d’Ernest, l’apostropha;<br />

- Avec tes « j’y crois pas, tout ça c’est des c...rétineries », tu<br />

mériterais qu’ « ils » t’enlèvent dans un de <strong>le</strong>urs engins <strong>et</strong> qu’ils<br />

ail<strong>le</strong>nt te déposer sur <strong>la</strong> pelouse de <strong>la</strong> Maison B<strong>la</strong>nche! Ca te ferait<br />

<strong>le</strong>s pieds <strong>et</strong> voir du pays par <strong>la</strong> même occasion!<br />

Rires dans l’assis<strong>ta</strong>nce, suivis de c<strong>et</strong>te remarque amusée de <strong>la</strong> part<br />

de Marcel, d’ordinaire peu bavard:<br />

- Bha! C’est son opinion mais qui sait si, demain peut-être, un<br />

événement inattendu ne bou<strong>le</strong>versera pas complètement son<br />

« positivisme »?<br />

Haussement d’épau<strong>le</strong>s d’Ernest, plus sceptique que jamais. Une<br />

semaine s’écou<strong>le</strong> <strong>et</strong> Marcel-<strong>le</strong>-philosophe, <strong>le</strong> sage de l’équipe,<br />

appel<strong>le</strong> l’impénitent positiviste pour lui annoncer calmement:<br />

- Vers quatorze heures, si tu n’as rien de mieux à faire, m<strong>et</strong>s-toi<br />

donc sur ton balcon <strong>et</strong> regarde vers l’ouest. Ce que tu verras devrait<br />

t’intéresser.<br />

- Et qu’est-ce que je verrai?<br />

- Justement, « tu verras ». Après tout, quatorze heures, c’est dans<br />

dix minutes à peine. Tu peux suivre mon conseil, non?<br />

En secouant <strong>la</strong> tête <strong>et</strong> haussant <strong>le</strong>s épau<strong>le</strong>s, Ernest raccrocha <strong>et</strong><br />

al<strong>la</strong> fumer une cigar<strong>et</strong>te sur <strong>le</strong> balcon de son living, face à l’ouest.<br />

A l’heure dite, il faillit ava<strong>le</strong>r son mégot en voyant, à quelques<br />

cen<strong>ta</strong>ines de mètres d’altitude seu<strong>le</strong>ment, un vaisseau discoidal<br />

241

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!