jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:
Terre, ta civilisation fout le camp!
sous qui - peut-être - va entraîner enfin la divulgation de la vérité.
A moins que, glissés sous la table, d’autres « gros sous » ne viennent
tempérer les ardeurs revendicatives des mécontents afin de les inciter
à parler plus bas ... et surtout d’autres choses!
Plaçons ici une petite digression. Nous sommes quelques uns à avoir
pensé, en janvier 1998, au Flygate, néologisme dérivé, aux USA, du
scandale du Watergate. Le nouveau terme, Flygate, en traduction
« franglaise » libre, pourrait donner Braguette-Gate [ou encore
Zippergate, Zip = Fermeture-Eclair) et désigner le scandale qui frappa
le président des Etats-Unis d’Amérique: Bill Clinton, harcelé par de
« vertueuses plaignantes » quémandant un léger dédommagement, une
broutille - en général moins d’un million de dollars - pour avoir su
vaillamment résister à ses avances, ou pour y avoir cédé, on ne sait
trop. La seconde éventualité prévalant chez l’une des plaignantes
« comblée » qui révéla chez le président un détail anatomique
généralement caché - surtout par grand froid! - qui aurait indiqué une
direction particulière, (tel un périscope cherchant une grotte
accueillante permettant à un sous-marin non-identifié de se mettre à
l’abri! Ne pensez pas au Yellow Submarine des Beatles; il s’agirait
ici, plutôt, d’un Pinky 266 Submarine)...
Après le Watergate qui fit chuter Nixon, le Paula Jonesgate,
(affaire en principe classée), le Monica[Lewinsky]gate, Fornigate et
autres Zippergates, feront-ils trébucher à son tour le N°1 des
démocrates venu de l’Arkansas? Difficile de répondre oui avec
assurance si l’on tient compte de certaines anomalies criardes. Un
exemple: pourquoi ces plaignantes ont-elles fait montre d’autant de
patiences avant de s’indigner, de tempêter? Au moment des faits,
étaient-elles à ce point distraites qu’elles aient négligé de réagir?
De s’exclamer: « Mais que faites-vous là? » [Comme si elles ne le
savaient pas, les hypocrites! eût dit Sacha Guitry]. Certaines
attendirent même une quinzaine d’années avant de se rappeler au bon
souvenir de Bill, le temps qu’il lui fallut pour devenir le président
des States! N’y aurait-il pas là l’indice d’un petit calcul?...Que
dire aussi de l’acharnement du procureur Kenneth Starr (qui serait
« la cheville ouvrière d’un complot orchestré par l’extrême droite »,
Cf Le Parisien du 31/1/1998), cet homme conservateur et rigoriste,
fils de pasteur « plutôt intégriste », semble en « vouloir à mort » à
Bill et à Hillary; à Bill qui dans ses campagnes et dans les faits a
pourfendu avec ténacité les industries du tabac. Bill Clinton auraitil
ignoré que le conseiller juridique et avocat de l’industrie du
tabac était alors... Kenneth Starr? Il semblerait envisageable que les
règlements de compte puissent, en certaines circonstances, avoir lieu
ailleurs qu’à OK Corral!
Et comme un malheur n’arrive pas souvent seul, un nouveau scandale
éclata, soulevé par une ravissante quinquagénaire (Kathleen Willey,
amie des Clinton) qui, cinq années plus tôt, vint solliciter un emploi
à la Maison Blanche: elle venait d’apprendre que son époux avait
détourné une immense fortune et se retrouvait ruiné! Bill lui promit
de faire l’impossible pour accéder à sa demande et la raccompagna,
l’enlaça, touché par son désarroi. Le président aurait embrassé (pas
sur le front) Kathleen puis, voulant d’une chiquenaude chasser une
poussière sur son corsage, ses doigts auraient sévèrement dérapé;
enfin, pour lui prouver son émotion, il lui aurait pris la main pour
la porter sur son coeur... situé à un niveau plus bas, anormalement
266 Rose, rosé...
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