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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

« Par <strong>la</strong> suite, commente Georges, j’ai encore eu un ins<strong>ta</strong>nt de<br />

lucidité pour remarquer qu’un si<strong>le</strong>nce absolu, tout à fait anormal,<br />

régnait dans <strong>le</strong> bois! Tout à coup, j’ai entendu <strong>le</strong> bruit d’une voiture<br />

sur ma droite, à proximité, j’ai pensé alors que c’é<strong>ta</strong>it <strong>la</strong> route de<br />

« W » <strong>et</strong>, presque aussitôt, c’est sur <strong>la</strong> gauche, au loin, qu’une autre<br />

voiture rou<strong>la</strong>it. J’en conclus que nous devions être, plutôt, près de<br />

<strong>la</strong> route de « A ».<br />

« Ma femme marchait en tête, bizarrement mu<strong>et</strong>te. « Oh! s’exc<strong>la</strong>ma<br />

mon neveu, Georges veut nous faire descendre un mur... ». Préoccupé,<br />

je ne regardai même pas ce que Bernard appe<strong>la</strong>it « un mur » <strong>et</strong> je<br />

l’entendis enchaîner: « Maintenant, Georges veut nous faire remonter<br />

<strong>la</strong> côte ». L’esprit pas très c<strong>la</strong>ir, je cons<strong>ta</strong><strong>ta</strong>is qu’il avait raison:<br />

<strong>le</strong> chemin é<strong>ta</strong>it loin d’être « p<strong>la</strong>t comme un bil<strong>la</strong>rd ». Tous trois,<br />

sans chercher à comprendre - nous en étions d’ail<strong>le</strong>urs incapab<strong>le</strong>s -<br />

nous avons continué <strong>et</strong> toujours sans savoir où nous étions, j’ai dit:<br />

« Il n’y a qu’à descendre en biais », car men<strong>ta</strong><strong>le</strong>ment, je « voyais »<br />

<strong>le</strong> chemin à parcourir pour arriver en bas.<br />

« Nous avons donc entrepris <strong>la</strong> descente dans ce bois touffu, ma<br />

femme en tête, si<strong>le</strong>ncieuse, fonçant littéra<strong>le</strong>ment dans <strong>le</strong>s<br />

broussail<strong>le</strong>s, comme s’il n’y avait rien devant el<strong>le</strong>! Je décidai<br />

d’ouvrir <strong>la</strong> marche, craignant qu’el<strong>le</strong> ne se b<strong>le</strong>ssât <strong>et</strong> nous<br />

continuâmes de descendre pour enfin arriver en bas <strong>et</strong>, là, je fus<br />

surpris. Je me demandais ce que nous faisions là <strong>et</strong> il en al<strong>la</strong>it de<br />

même pour Bernard. Gilberte, el<strong>le</strong>, ne posa aucune question pour savoir<br />

où nous étions. Je regardai ma montre: 10 h 45. Un simp<strong>le</strong> cons<strong>ta</strong>t car<br />

nous ne pensions déjà plus à <strong>la</strong> raison de notre présence en ce lieu.<br />

Je compris toutefois que quelque chose d’inexplicab<strong>le</strong> avait dû se<br />

produire lorsque avec Bernard nous étions dans <strong>le</strong> noir <strong>et</strong> que ma<br />

femme, avant de disparaître, m’a paru se trouver en p<strong>le</strong>in so<strong>le</strong>il.<br />

« Sur <strong>le</strong> chemin du r<strong>et</strong>our, à aucun moment nous n’avons fait<br />

allusion à ce qui s’é<strong>ta</strong>it produit dans <strong>le</strong> bois. Le <strong>le</strong>ndemain matin, un<br />

peu avant de me réveil<strong>le</strong>r, j’ai vu une lumière b<strong>la</strong>nche, comme un<br />

f<strong>la</strong>sh, <strong>et</strong> j’ai entendu ce mot: <strong>le</strong>s Extra<strong>terre</strong>stres!<br />

« Puis tout m’est revenu en mémoire; mon cerveau é<strong>ta</strong>it libéré. Ma<br />

femme, el<strong>le</strong>, ne se souvint jamais de rien.<br />

LES « INVISIBLES » RECIDIVENT.<br />

Dix années plus <strong>ta</strong>rd, un après-midi du mois d’août 1986, Georges <strong>et</strong><br />

Gilberte reçoivent <strong>la</strong> visite de Lucien, un de <strong>le</strong>urs fils accompagné de<br />

son épouse, de son beau-frère <strong>et</strong> de sa bel<strong>le</strong>-soeur, venus pour <strong>le</strong>s<br />

convaincre de <strong>le</strong>s accompagner dans <strong>la</strong> forêt à <strong>la</strong> recherche de<br />

champignons. Les parents n’é<strong>ta</strong>ient pas spécia<strong>le</strong>ment enchantés; avec<br />

c<strong>et</strong>te cha<strong>le</strong>ur accab<strong>la</strong>nte, <strong>le</strong> bois serait cer<strong>ta</strong>inement trop sec pour<br />

espérer une bonne cueill<strong>et</strong>te. Ils acceptèrent néanmoins de faire avec<br />

eux c<strong>et</strong>te promenade.<br />

- Nous marchions depuis un moment dans une allée, commente Georges.<br />

Mon Lucien progressait sur ma droite <strong>et</strong> ce<strong>la</strong> faisait environ cinq à<br />

dix minutes que nous marchions parallè<strong>le</strong>ment. Je me suis baissé pour<br />

passer au-dessous d’une branche; j’ai vu alors comme un voi<strong>le</strong> gris <strong>et</strong><br />

<strong>la</strong> pensée me vint que j’é<strong>ta</strong>is « repris » <strong>et</strong> qu’il ne fal<strong>la</strong>it pas avoir<br />

peur. [Suggestion télépathique c<strong>la</strong>ssique, de <strong>la</strong> part des ravisseurs,<br />

lors des abductions, J.G]. Je me suis senti très décontracté; à<br />

quelques mètres devant moi se dressait un p<strong>et</strong>it monticu<strong>le</strong> de briques<br />

rouges. J’ai pensé qu’il pouvait s’agir d’un vestige de <strong>la</strong> guerre<br />

1914-1918. (Reste à savoir si ce monticu<strong>le</strong> exis<strong>ta</strong>it vraiment, car je<br />

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