jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
Et vous ne perdrez rien non plus si vos convictions « néoherméneutiques<br />
» vous souff<strong>le</strong>nt <strong>le</strong> mantra d’Obiwan Kenobee (S<strong>ta</strong>r<br />
Wars): Que <strong>la</strong> Force soit avec toi! Et ce<strong>la</strong> est éga<strong>le</strong>ment va<strong>la</strong>b<strong>le</strong> si<br />
vous assimi<strong>le</strong>z <strong>la</strong> Force à Dieu.<br />
Ici, réfléchissons encore une minute: <strong>le</strong> Yahwé/Jéhovah de <strong>la</strong> Bib<strong>le</strong><br />
est un « dieu » jaloux, autori<strong>ta</strong>ire, belliqueux, un « dieu » de<br />
massacres ordonnés <strong>et</strong> de sang. Tel<strong>le</strong> est l’image objective qu’évoque<br />
l’imposture de Yahwé qui a si bien trompé ses propagandistes des<br />
origines, chargés d’imposer SA religion. Ouvrons c<strong>et</strong>te fois une<br />
parenthèse de synchronicité (impressionnante <strong>et</strong> significative): un<br />
matin de <strong>la</strong> première semaine de mai 1998, je venais d’écrire ce<br />
paragraphe <strong>et</strong> quelques minutes plus <strong>ta</strong>rd, al<strong>la</strong>nt me raser, j’entendis<br />
sur Europe I ou R.T.L citer <strong>le</strong> roman SF de James Morrow: Le Jugement<br />
de Jéhovah, Editions J’ai lu. Intrigué, j’appe<strong>la</strong>is Jacques Sadoul, <strong>le</strong><br />
directeur, qui malheureusement é<strong>ta</strong>it absent mais sa secré<strong>ta</strong>ire, sans<br />
r<strong>et</strong>ard, m’adressa aimab<strong>le</strong>ment un SP (Service de Presse) de ce roman<br />
[« <strong>le</strong> second d’une trilogie iconoc<strong>la</strong>ste, à l’humour décapant <strong>et</strong> à<br />
l’imagination débridée », indique <strong>la</strong> notice biographique] dont je<br />
m’empressais de lire d’abord <strong>la</strong> « 4ème de couv » (4ème page de<br />
couverture). En voici <strong>le</strong>s dernières lignes: Passer Jéhovah en jugement<br />
auprès de <strong>la</strong> Cour Internationa<strong>le</strong> de justice, à La Haye. Chef<br />
d’accusation: crime contre l’humanité...<br />
Je n’avais pas songé à une tel<strong>le</strong> conclusion [décou<strong>la</strong>nt<br />
implicitement de mon exposé, « quasi déicide » à l’endroit de<br />
Yahwé/Jéhovah, coupab<strong>le</strong> des pires atrocités!], mais c’est tout de même<br />
là un bel exemp<strong>le</strong> de synchronicité qui eût captivé Jung! Et en<br />
conclusion de mon analyse, l’adjectif déicide s’applique en fait à un<br />
faux-“dieu” , un imposteur des origines qui, tout bien pesé, pourrait<br />
être aussi l’autre face d’un Janus faisant alterner <strong>le</strong> mal absolu <strong>et</strong><br />
<strong>le</strong> bien... re<strong>la</strong>tif!<br />
EPILOGUE<br />
Si Dieu [ôtons <strong>le</strong>s guil<strong>le</strong>m<strong>et</strong>s <strong>et</strong> rep<strong>la</strong>çons <strong>la</strong> majuscu<strong>le</strong>], existe<br />
bien, « Architecte de tous <strong>le</strong>s Mondes » ou « Grand Architecte de<br />
l’Univers » - je suis déiste, <strong>et</strong> c’est ce que je crois - après<br />
l’exemp<strong>le</strong> assez débili<strong>ta</strong>nt que <strong>le</strong> cruel thaumaturge « conquérant<br />
technico-biblique » nous a <strong>la</strong>issé, une conclusion « dérangeante »<br />
s’impose: DIEU, L’ETERNEL, EST FATALEMENT UN AUTRE - Dieu merci! -<br />
puisqu’IL VIENT DU VERSEAU...<br />
“IL” ou « ELLE », car enfin, <strong>le</strong> polythéisme n’a rien de machiste <strong>et</strong><br />
<strong>le</strong>s dieux, depuis l’aube des temps, n’ont pas été seuls à intervenir;<br />
<strong>le</strong>s « déesses » - quoi qu’on en dise ou qu’on en pense - jouèrent un<br />
rô<strong>le</strong> non négligeab<strong>le</strong>, à commencer par Kubébé 305 , mère de tous <strong>le</strong>s<br />
dieux, en Phrygie; el<strong>le</strong> devint plus <strong>ta</strong>rd, sous <strong>le</strong> nom de Cybè<strong>le</strong>,<br />
déesse de <strong>la</strong> fécondité chez <strong>le</strong>s gréco-romains. 306 Et songez au nombre<br />
considérab<strong>le</strong> de dieux <strong>et</strong> de déesses qui se sont succédé, depuis que<br />
<strong>le</strong>s humains existent <strong>et</strong> commencent à se poser des questions, jusques<br />
<strong>et</strong> y compris « mé<strong>ta</strong>physiques »... Chaque « effacement » de divinité<br />
305 Là, vous vous méprenez « grivoisement » pour avoir oublié ce que j’ai écrit, quelque part<br />
dans ce livre: hors de nos frontières, <strong>la</strong> l<strong>et</strong>tre « U » ne se prononce pratiquement jamais comme<br />
nous <strong>la</strong> prononçons en français. Généra<strong>le</strong>ment, « U » se prononce OU.<br />
306 Il y eut aussi <strong>la</strong> déesse Ornélhiâ, issue de Diane, qui (nous indique Jean D’Argoun, Cf La<br />
Révé<strong>la</strong>tion d’Issahâ, Ed. G. Trédaniel), reviendrait à l’Ere du Verseau à travers <strong>la</strong> po<strong>la</strong>rité<br />
féminine d’Issahâ... Une déesse ancienne chasseresse, voilà qui ferait sigulièrement enrager <strong>le</strong>s<br />
adversaires de <strong>la</strong> chasse!<br />
299