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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

PENDANT DIX SEPT ANS, MON MARI PRETENDRA NE PAS ETRE LE PERE DE<br />

L'ENFANT! Un enfant indéniab<strong>le</strong>ment de race b<strong>la</strong>nche... <strong>et</strong> qui ne<br />

ressemb<strong>la</strong>it en rien à ce Fernez qui aurait pu passer pour un Hindou<br />

fort basané! Eh oui, je ne pouvais pas ne pas avoir pensé à ce<br />

mystérieux visiteur avec <strong>le</strong>quel j'avais dansé vingt minutes durant<br />

sans que personne ne s'en soit aperçu.<br />

C<strong>et</strong>te nuit mémorab<strong>le</strong>, marquée aussi par c<strong>et</strong> incompréhensib<strong>le</strong> trou<br />

de mémoire, où nous étions, Char<strong>le</strong>s <strong>et</strong> moi, terrassés par <strong>le</strong> sommeil,<br />

Fernez n'aurait-il pas pu s'introduire chez nous <strong>et</strong>... profiter de mon<br />

inconscience pour....? Non, puisque de toute évidence <strong>le</strong> garçon que je<br />

mis au monde ressemb<strong>la</strong>it bel <strong>et</strong> bien à ses parents, à ses frère <strong>et</strong><br />

soeur! Mais alors, pourquoi nos nombreux amis <strong>et</strong> nous-mêmes avionsnous<br />

été plongés dans <strong>le</strong> sommeil, comme si l'on avait voulu nous<br />

éviter d'être <strong>le</strong>s témoins de je ne sais quoi d'incroyab<strong>le</strong> sans doute?<br />

Et qu'é<strong>ta</strong>it c<strong>et</strong>te "chose" noire au milieu de <strong>la</strong> piste, fugitivement<br />

aperçue avant que nous perdions connaissance... pour nous réveil<strong>le</strong>r <strong>le</strong><br />

<strong>le</strong>ndemain matin, nus dans notre lit?<br />

" Ah, un dé<strong>ta</strong>il encore, se souvient Louisa. J'ai un sang qui ne<br />

coagu<strong>le</strong> pas. Mon mari est hémophi<strong>le</strong> mais, paradoxa<strong>le</strong>ment, quand <strong>le</strong><br />

toubib lui demanda de se prêter à une prise de sang, Char<strong>le</strong>s refusa<br />

n<strong>et</strong>, sans donner d'explication! Mon troisième enfant, né à six mois de<br />

ges<strong>ta</strong>tion seu<strong>le</strong>ment, pesait un kilo huit cent cinquante à sa<br />

naissance, mais il é<strong>ta</strong>it en parfaite condition... <strong>et</strong> son sang ne<br />

coagu<strong>la</strong>it pas. L'on fit des analyses poussées pour trouver trace d'un<br />

microbe, d'un virus pouvant expliquer c<strong>et</strong>te hémophilie, en pure perte.<br />

Mieux, <strong>le</strong> sang de mon fils résiste à tous <strong>le</strong>s coagu<strong>la</strong>nts artificiels!<br />

Les quelques b<strong>le</strong>ssures qu'il s'est faites, en grandissant, furent<br />

spec<strong>ta</strong>cu<strong>la</strong>ires, saignèrent abondamment mais - nouveau paradoxe - il<br />

n'en fut pas pour au<strong>ta</strong>nt affaibli!<br />

" Mais revenons en arrière, à Kongolo. Quand je promenais <strong>le</strong> bébé<br />

dans son <strong>la</strong>ndau, au crépuscu<strong>le</strong>, nous allions assez souvent sur <strong>la</strong><br />

piste, jusqu'au bosqu<strong>et</strong> de bambous <strong>et</strong> là, il manifes<strong>ta</strong>it de<br />

l'inquiétude. Mais lorsque nous repassions par là en p<strong>le</strong>ine nuit, <strong>le</strong><br />

bambin é<strong>ta</strong>it vraiment effrayé. Un soir que je m'en étonnais à haute<br />

voix, ma fil<strong>le</strong> alors âgée d'un peu plus de deux ans <strong>et</strong> demi, toujours<br />

<strong>la</strong> <strong>la</strong>ngue bien pendue, "m'expliqua": "Le p<strong>et</strong>it frère a peur des<br />

étoi<strong>le</strong>s". Je lui rétorquais que <strong>le</strong>s étoi<strong>le</strong>s é<strong>ta</strong>ient trop loin. La<br />

réponse de ma gamine me <strong>la</strong>issa pantoise: "Justement, c'est <strong>la</strong><br />

profondeur de l'espace qui lui donne <strong>le</strong> vertige"! Deux ans <strong>et</strong> demi <strong>et</strong><br />

raisonner de <strong>la</strong> sorte a de quoi vous <strong>la</strong>isser mu<strong>et</strong>te d'étonnement!<br />

" Peu après, <strong>le</strong>s troub<strong>le</strong>s qui devaient ensang<strong>la</strong>nter <strong>le</strong> Ka<strong>ta</strong>nga<br />

éc<strong>la</strong><strong>ta</strong>ient. Tous <strong>le</strong>s colons durent fuir <strong>et</strong> <strong>le</strong>s soldats<br />

révolutionnaires envahirent <strong>le</strong>s postes de <strong>la</strong> jung<strong>le</strong>, bourrés de bière,<br />

d'alcool volés dans <strong>le</strong>s réserves des colons. Pas très loin après <strong>le</strong><br />

bosqu<strong>et</strong> de bambous existe une grande c<strong>la</strong>irière. On a r<strong>et</strong>rouvé là une<br />

tren<strong>ta</strong>ine de ces soldats effondrés, complètement inconscients ou<br />

frappés d'hébétude, incapab<strong>le</strong>s d'expliquer quoi que ce soit; ils<br />

restèrent dans c<strong>et</strong> é<strong>ta</strong>t une dizaine de jours, ce qui fait beaucoup<br />

pour une cuite! Prise de sang, analyse, rien n'a pu expliquer ce<strong>la</strong>.<br />

« Rentrée en Europe, l'un de mes amis, Ufologue, me par<strong>la</strong> d'une<br />

rencontre du IIIème Type effectuée près de Lugano, entre <strong>la</strong> Suisse <strong>et</strong><br />

l'I<strong>ta</strong>lie. Un douanier en possession d'un appareil photo infrarouge<br />

avait photographié une "soucoupe" <strong>et</strong> son pilote au sol, en train de<br />

"réparer", semb<strong>la</strong>it-il. Le douanier avait pris une photo au moment où<br />

<strong>le</strong> pilote, en combinaison nacrée, se r<strong>et</strong>ournait. Avant de réintégrer<br />

son engin, l'Etranger déc<strong>la</strong>ra au gabelou: "Je reviendrai". Le vaisseau<br />

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