jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:
Terre, ta civilisation fout le camp!
30 environ), revêtus d’une sorte de scaphandre (détail fréquent, à
l’époque) passèrent près du témoi en marchant vers leur engin. Un mois
plus tard, une seconde rencontre, plus précise puisque Marius, son
fils de 3 ans dans les bras, fut conduit à bord du vaisseau. Cette
aventure, l’une des plus connues et des plus véridiques , fit l’objet
de quantités de rapports dans les médias. Marc Thirouin, fondateur de
la Commission Internationale d’Enquêtes Ouranos, passa près d’un mois
à enquêter auprès de Marius Dewilde et des liens amicaux solides se
nouèrent entre les deux hommes. Il en fut de même pour Marius (Mario,
pour ses amis) et moi-même un peu plus tard. Un excellent ouvrage a
été écrit par mon ami Roger-Luc Mary et Marius Dewilde sur cette
extraordinaire double rencontre: Ne résistez aux Extraterrestres,
Editions du Rocher(1980). Après bien des péripéties et des
tracasseries (pour ne pas dire plus!) infligées par les officiels à
Marius, celui-ci fut, les yeux bandés, conduit en voiture jusqu’à un
blockhaus au bord de la mer (on ne lui a jamais dit où il se
trouvait). A travers une meurtrière dudit blockhaus de belle
dimension, (gardé par des fusilliers marins), ses « accompagnateurs »
l’invitèrent à regarder attentivement (pendant une bonne demi-heure)
l’engin discoïdal fort bien éclairé, d’environ 10 m de diamètre, qui
se trouvait là, caché. On lui demanda si c’était le même que celui
qu’il avait vu à deux reprises. La réponse de Mario fut affirmative.
J’ai revu plusieurs fois Mario et l’ai interrogé sur cet
extraordinaire événement et sa description ne varia jamais. Des
informations recuueillies par ailleurs m’autorisent à penser que ce
blockhaus se trouvait près de la base navale de Cherbourg.
Si nous (Français) avons eu à notre disposition un tel engin
extraterrestre, qu’avons-nous fait des éléments multiples que nos
techniciens ont pu récupérer? De quelles « retombées » provenant de la
technologie alien avons-nous profité? Il faudrait, avec une bonne dose
de candeur, interroger la D.G.A, Délégation Générale pour l’Armement,
ou la D.R.E.T, Direction des Recherches, Etudes Techniques de
l’Armement, ou encore l’I.H.E.D.N, Institut des Hautes Etudes de la
Défense Nationale, ou demander
na naïvement un entretien à M. G.P., aussi bien accueilli dans les
réunions Top Secret du Club 89 qu’au sein des Etats Majors intéressés
par les OVNI et les E.T!
Avons nous seulement conservé un objet, une bricole, un « petit bout
de rien du tout », en guise de souvenir, de cet engin alien qu’on a dû
nous confisquer pour l’expédier illico presto dans les vastes
laboratoires de la Zone 51? Cette base n’existant pas officiellement,
elle ne pouvait évidemment pas répondre aux réclamations (d’ailleurs
peu probables!) de l’Etat Major concerné de notre pays...
Pas tellement étonnant que l’usine de GIAT Industrie (travaillant
pour la Défense Nationale, et qui aurait été sûrement très intéressé
par les canons à rayons particulaires 255 équipant l’astronef récupéré à
Roswell!), l’infortuné GIAP Industrie qui supprime aujourd’hui près de
4000 emplois tandis que d’autres, au-delà de la Mare aux Harengs,
engrangent des milliards de dollars de bénéfices résultant des
« retombées » de la technologie alien... Et la propulsion gravitomagnétique
(antigravitative) des triangle géants et autres cosmonefs
aliens, silencieuse, sans aucune pollution chimique, ne pensez-vous
255 Qui effacent proprement la cible (de la balle de pingpong à un missile nucléaire!), entre
autres dispositifs défensifs et offensifs. Star wars, Independence Day, and so on ne sont plus à
ranger dans la seule catégorie SF...
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