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jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp

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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />

Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />

qu'il a pris son biberon! La "grande" dort encore. Mon mari se<br />

réveil<strong>le</strong> en grognant, avec un vestige de quasi-gueu<strong>le</strong> de bois. La<br />

voiture? El<strong>le</strong> doit être devant <strong>la</strong> vil<strong>la</strong> où nous l'avons <strong>la</strong>issée, trop<br />

vannés pour <strong>la</strong> rentrer au garage. Vérification faite, el<strong>le</strong> est<br />

pour<strong>ta</strong>nt bien au garage! Inexplicab<strong>le</strong>! Qui l'y a garée? Qui a <strong>la</strong>ngé <strong>le</strong><br />

bébé <strong>et</strong> lui a donné <strong>le</strong> biberon? Pourquoi nous sommes-nous réveillés "à<br />

poil"? Et comment mon mari, interrogé, a-t-il pu tout oublier: <strong>la</strong><br />

rencontre de Fernez dans <strong>le</strong> bosqu<strong>et</strong> de bambous <strong>et</strong> c<strong>et</strong> obs<strong>ta</strong>c<strong>le</strong> sombre<br />

que nous avons failli percuter?<br />

"Dans <strong>le</strong> courant de <strong>la</strong> matinée, nous r<strong>et</strong>rouvons tous nos amis,<br />

épuisés, mal au crâne, sans souvenir de <strong>la</strong> soirée écoulée! Arrive<br />

enfin Johard Fernez; il salut d'un signe de tête l'assis<strong>ta</strong>nce mais<br />

évite de par<strong>le</strong>r. Dans <strong>la</strong> grande sal<strong>le</strong> de l'hôtel-res<strong>ta</strong>urant, nous<br />

bavardons <strong>le</strong>s uns <strong>le</strong>s autres. Un de nos copains "f<strong>la</strong>gada" se lève en<br />

soupirant <strong>et</strong> <strong>la</strong>nce en f<strong>la</strong>mand - plus exactement dans un patois West-<br />

V<strong>la</strong>anderen - une p<strong>la</strong>isanterie <strong>et</strong> Fernez est alors pris d'un fou rire<br />

qu'il tente aussitôt de dissimu<strong>le</strong>r. Lui qui passerait plus aisément<br />

pour un Hindou, avec son accent bizarre, comment peut-il comprendre un<br />

tel patois? Quelqu'un m<strong>et</strong> un disque sur l'é<strong>le</strong>ctrophone <strong>et</strong> comme pour<br />

faire diversion, Johard Fernez m'invite à danser, me prenant par <strong>le</strong><br />

bras d'autorité. Nous évoluons parmi d'autres coup<strong>le</strong>s qui nous ont<br />

imités <strong>et</strong> j'essaie de l'interroger sur sa présence insolite, <strong>la</strong> nuit<br />

écoulée, dans <strong>le</strong> bosqu<strong>et</strong> de bambous, où il devait être trempé par <strong>la</strong><br />

pluie. "Pas trop", me répond-il, évasif. « Et c<strong>et</strong> obs<strong>ta</strong>c<strong>le</strong>, c<strong>et</strong>te<br />

grosse "chose" noire, sur <strong>la</strong> piste, pourquoi ne pas nous avoir fait<br />

des signes, dans <strong>la</strong> lumière des phares, pour nous signa<strong>le</strong>r<br />

l'obs<strong>ta</strong>c<strong>le</strong>? ». "Il n'y avait aucun danger", rétorque-t-il, ironique,<br />

en me serrant davan<strong>ta</strong>ge contre lui. Je <strong>le</strong> préviens que mon mari va lui<br />

"vo<strong>le</strong>r dans <strong>le</strong>s plumes" s'il continue.<br />

- Non, il ne nous voit pas...<br />

« Etonnée, je cons<strong>ta</strong>te en eff<strong>et</strong> que personne ne nous regarde <strong>et</strong> je<br />

réalise soudain: nous dansons ensemb<strong>le</strong> depuis VINGT MINUTES! Et mon<br />

mari ne s'est aperçu de rien! J'insiste une fois encore: qui est-il?<br />

Que faisait-il tout seul sous <strong>la</strong> pluie, dans <strong>le</strong>s bambous? Où est sa<br />

voiture? Invariab<strong>le</strong>ment, il répond: "C'est sans impor<strong>ta</strong>nce". Ayant<br />

quelques aptitudes pour <strong>la</strong> télépathie, je tente de sonder son esprit:<br />

un mur! Le néant! Il sourit, de plus en plus ironique. Irritée, je <strong>le</strong><br />

p<strong>la</strong>nte au milieu de <strong>la</strong> piste. Le <strong>le</strong>ndemain, l'énigmatique Johard<br />

Fernez s'en é<strong>ta</strong>it allé, sa note réglée (il é<strong>ta</strong>it resté en fait dix<br />

jours), sans un mot d'adieu à quiconque.<br />

" Notre groupe d'amis <strong>et</strong> <strong>le</strong>s colons du voisinage conservaient un<br />

re<strong>le</strong>nt de fatigue, encore un peu groggy de <strong>la</strong> nuit précédente où à peu<br />

près tous avaient sombré dans un sommeil profond! Seul <strong>le</strong> Docteur B.,<br />

avait échappé à c<strong>et</strong>te insurmon<strong>ta</strong>b<strong>le</strong> torpeur pour prodiguer ses soins<br />

aux b<strong>le</strong>ssés du camion renversé. Paradoxa<strong>le</strong>ment, quand j’interrogeais<br />

<strong>le</strong>s membres du groupe, je cons<strong>ta</strong><strong>ta</strong>is qu'inexplicab<strong>le</strong>ment, ils<br />

évi<strong>ta</strong>ient de repar<strong>le</strong>r de c<strong>et</strong>te soirée bizarre, p<strong>le</strong>ine d'anomalies.<br />

J’insis<strong>ta</strong>is en particulier auprès de mon mari qui me regarda avec des<br />

yeux ronds: "Je n'ai jamais emmené <strong>le</strong> toubib à l'hôpi<strong>ta</strong>l, après<br />

l'accident du camion. D'ail<strong>le</strong>urs, je crevais de sommeil..."<br />

"Inuti<strong>le</strong> de tenter d'expliquer l'inexplicab<strong>le</strong>. Six semaines plus<br />

<strong>ta</strong>rd, <strong>la</strong> tui<strong>le</strong>, ou du moins un "cadeau" inattendu: je suis enceinte!<br />

J'enguir<strong>la</strong>nde mon époux car "ce<strong>la</strong>" n'a pu se produire qu'au cours de<br />

l'étrange nuit, avec notre réveil dans <strong>le</strong> plus simp<strong>le</strong> appareil! Il<br />

monte sur ses grands chevaux, nie formel<strong>le</strong>ment m'avoir touchée. ET<br />

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