jimmy guieu ovni - et la verite cachee: terre, ta civilisation fout le camp
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OVNI-E.T, LA VERITE CACHEE:<br />
Terre, <strong>ta</strong> <strong>civilisation</strong> <strong>fout</strong> <strong>le</strong> <strong>camp</strong>!<br />
fasse réparer. Je me rappel<strong>le</strong> aussi que nous avions été invités à<br />
déjeuner au Château de Cadarache, voilà, mon Cher Jimmy, <strong>le</strong>s seuls<br />
souvenirs qui me restent. (...) J’espère que De Vellis te donnera des<br />
renseignements plus impor<strong>ta</strong>nts. (...).<br />
Par deux fois, j’écrivis à Sauveur De Vellis, joignant à mon<br />
courrier copie de <strong>la</strong> l<strong>et</strong>tre adressée à Victorin Serre, pour<br />
information, sans obtenir de réponse. Je parvins enfin à l’avoir un<br />
jour au téléphone <strong>et</strong> il m’avoua:<br />
- Je ne me souviens pas du tout de c<strong>et</strong>te anomalie que tu signa<strong>le</strong>s à<br />
Titin, dans <strong>ta</strong> l<strong>et</strong>tre, selon <strong>la</strong>quel<strong>le</strong> nous serions arrivés dans <strong>le</strong><br />
Centre sans être passés par <strong>la</strong> grande porte! En revanche, je me<br />
souviens très bien de l’incident de <strong>ta</strong> montre! Tu râ<strong>la</strong>is assez! Nous<br />
avions franchis un sas, comme il y en a pas mal dans <strong>le</strong> coin, <strong>et</strong> en<br />
ressor<strong>ta</strong>nt, <strong>ta</strong> montre é<strong>ta</strong>it complètement H.S, magnétisée ou<br />
démagnétisée, je ne sais plus; en tout cas, el<strong>le</strong> ne marchait plus <strong>et</strong><br />
tu as dû voir un horloger pour qu’il te <strong>la</strong> répare! (Fin de ci<strong>ta</strong>tion,<br />
de mémoire).<br />
J’é<strong>ta</strong>is médusé: ni à Cadarache ni à Marcou<strong>le</strong> ma montre bracel<strong>et</strong><br />
n’avait jamais été perturbée par <strong>le</strong>s champs magnétiques! Sauveur De<br />
Vellis (jeune encore par rapport à Victorin Serre), ne pouvait faire<br />
une tel<strong>le</strong> confusion! Au demeurant, l’ami Serre é<strong>ta</strong>it formel: il<br />
s’agissait bien de SA montre, pas de <strong>la</strong> mienne qui aurait subi ce type<br />
de détraquement... dont jusque là j’ignorais tout! Il semb<strong>la</strong>it bien<br />
que, chacun de son côté, <strong>le</strong>s membres de notre trio avaient<br />
individuel<strong>le</strong>ment vécu une aventure sensib<strong>le</strong>ment différente! Comme si<br />
chacun avait été entraîné dans un « vortex » particulier que <strong>le</strong>s<br />
autres ignoraient! Au surplus, c’est à <strong>la</strong> cantine du centre nucléaire<br />
de Cadarache, que nous avons déjeuner, ce jour-là, [du moins dans<br />
« mon » vortex!] <strong>et</strong> pas au « château ». Seul M. Estienne, <strong>le</strong> chef de<br />
<strong>la</strong> Sécurité, avait visib<strong>le</strong>ment gardé <strong>le</strong> souvenir embarrassé de c<strong>et</strong>te<br />
« impossibilité absolue » de notre intrusion dans <strong>le</strong> site sans jamais<br />
avoir emprunté <strong>la</strong> voie léga<strong>le</strong> <strong>et</strong> UNIQUE pour y accéder!<br />
Singuliers, contraires à toute logique « rationnel<strong>le</strong> », <strong>le</strong>s cas de<br />
« télétransferts » demeurent généra<strong>le</strong>ment inconnus, mais ils sont plus<br />
fréquents qu’on pourrait <strong>le</strong> penser. L’un de mes bons amis, voici une<br />
quinzaine d’années, au cours d’une conversation où je <strong>le</strong> sentis<br />
préoccupé, finit par me confier - un peu comme s’il s’agissait d’une<br />
chose honteuse - ce qu’avait vécu sa cousine Frédérique, dans <strong>le</strong> bourg<br />
lorrain où el<strong>le</strong> habi<strong>ta</strong>it. Au début des années cinquante, âgée de 30<br />
ans, ses deux enfants partis à l’éco<strong>le</strong> <strong>et</strong> son époux au travail,<br />
Frédérique, vêtue d’une robe toute simp<strong>le</strong>, s’en al<strong>la</strong> comme à<br />
l’ordinaire faire ses courses au vil<strong>la</strong>ge. C<strong>et</strong>te journée de mai é<strong>ta</strong>it<br />
bel<strong>le</strong> <strong>et</strong> el<strong>le</strong> fit ses empl<strong>et</strong>tes chez l’épicière, bavarda quelques<br />
minutes dans <strong>la</strong> boutique avec <strong>la</strong> vieil<strong>le</strong> dame <strong>et</strong> une cliente qu’el<strong>le</strong><br />
connaissait puis se rendit à <strong>la</strong> bou<strong>la</strong>ngerie pour y ach<strong>et</strong>er trois<br />
bagu<strong>et</strong>tes. Le rituel de chaque matin se poursuivit <strong>et</strong>, au bar-<strong>ta</strong>bacs,<br />
el<strong>le</strong> prit <strong>le</strong> journal, commen<strong>ta</strong> un ins<strong>ta</strong>nt <strong>le</strong>s nouvel<strong>le</strong>s avec <strong>la</strong><br />
caissière <strong>et</strong> s’en r<strong>et</strong>ourna vers sa maison. Au coin de <strong>la</strong> rue,<br />
Frédérique éprouva une sensation bizarre, fit encore un pas <strong>et</strong> <strong>le</strong><br />
vacarme ambiant <strong>la</strong> fit soudain sursauter, puis vio<strong>le</strong>mment tressaillir<br />
lorsqu’el<strong>le</strong> réalisa qu’el<strong>le</strong> ne connaissait pas - dans son p<strong>et</strong>it<br />
vil<strong>la</strong>ge! - ce grand carrefour encombré par <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>tion automobi<strong>le</strong><br />
anorma<strong>le</strong>ment intense. Et que dire de sa surprise en voyant passer un,<br />
puis des bus à deux é<strong>ta</strong>ges, avec des inscriptions en ang<strong>la</strong>is. El<strong>le</strong> se<br />
p<strong>la</strong>qua un ins<strong>ta</strong>nt contre <strong>le</strong> mur, puis rebroussa chemin, remon<strong>ta</strong> <strong>la</strong> rue<br />
vers <strong>le</strong> bureau de <strong>ta</strong>bac, où el<strong>le</strong> avait, une poignée de secondes plus<br />
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