Luxembourg - Entreprises magazine

Auto
pour le conducteur, etc. – rare
en début de gamme, une valeur
résiduelle plus élevée et une
consommation plus basse que
ne présentent pas ces rivales. Il
faut par contre regretter le coût
élevé des options, ce qui vaut
d’ailleurs pour tous les modèles
VW. Par contre, il y a certaines
options technologiques que l’on
ne retrouve le plus souvent que
sur des voitures de catégorie (très)
supérieure.
Dans cet équipement, VW
n’a pas oublié le côté divertissement,
qui est un véritable plaisir
et est accessible via l’écran de la
large console centrale, orientée
vers le conducteur. Le tout dans
un silence de fonctionnement très
appréciable.
A cela s’ajoute une multitude
d’espaces de rangement,
dont un tiroir sous chaque siège
avant, ce qui est rare, une trappe
pour les skis, etc.
L’ergonomie de tout cet
équipement relève elle aussi de
la perfection et est très intuitive.
A une chose près : le volant multifonction
où, trop, c’est trop, et
le montant central inférieur de ce
même volant, qui gêne la position
des mains. Rien de dramatique,
donc.
Côté tableau de bord,
forcément complet comme sur
toute voiture actuelle, je regrette
l’absence du voyant de rappel d’allumage
des phares. Une absence
d’autant plus incompréhensible
que c’est le même tableau de
bord que sur d’autres modèles
et d’autres marques du groupe,
où ce voyant est présent.
A noter que la nouvelle Golf
passe au frein à main électrique,
ce qui n’est pas mon fan club.
Imperturbable
Sur la route, la Golf 7 est restée
la Golf : imperturbable et sans
surprise, quelles que soient les
conditions de conduite. La caisse
abaissée influence cependant favorablement
le comportement général
de la voiture. Tout a été plus encore
pensé pour ne jamais surprendre
le conducteur, sauf à vraiment le
vouloir. Freins, direction, suspensions,
comportement du châssis,
rien à redire, tout simplement.
C’est d’autant plus renforcé
sur le modèle équipé de la motorisation
essayée. Là, outre la
sécurité – le système anticollision
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