Compte-rendu de Conseil - Février 2013 - La Chapelle St-Luc

Monsieur GIRARDIN : Merci Madame PAPAZ. Je vais faire une réponse groupée, courte. Enfin, je vais essayer.
Monsieur CHAMPAGNE. Je vais avoir un incident de séance avec mon premier Adjoint. J'ai dit tout à l'heure, à la fin
de l'intervention de Monsieur BISSEY, la liste sera clause. Je n'ai pas entendu que vous vouliez prendre la parole à
ce moment là. Donc, je suis désolé, mais la liste est clause (rires). Monsieur CHAMPAGNE.
Monsieur CHAMPAGNE : Quelques mots par rapport aux subventions qui n'augmentent pas. Je rappelle quand
même que, et ça a été dit et je le rappelle rapidement, 330 000 € ont été votés le 12 décembre mais on a des
hausses des aides indirectes aux associations qui sont là, désolé. ça veut dire que maintenir tout ce que l'on fait pour
le monde associatif, on peut toujours être Monsieur plus, et se présenter comme le Chevalier Blanc du monde
associatif, n'empêche que l'accroissement aujourd'hui des charges d'énergie alors que l'on maintient, nous, le même
niveau d'aide du milieu associatif, c'est un effort supplémentaire qu'il faut aller chercher dans le budget communal
pour la vie associative, et cet effort supplémentaire, la majorité municipale entend le faire en 2013, maintenir cette
aide au niveau où elle est, c'est un accroissement de la charge financière dans notre budget, c'est-à-dire, c'est une
réalité, ce n'est pas une invention, ça c'est la première chose. La deuxième, j'ai entendu tout à l'heure un de nos
collègues dire : "Arrêtez de nous dire que", voilà, moi j'ai souvent, je suis un ancien élu, quand même 30 ans
aujourd'hui d'élu municipal, enfin de cette année, j'ai parfois vu des majorités qui cherchaient à interdire la parole à
l'opposition, mais c'est quand même la première fois que j'ai vu une opposition tenter d'interdire à une majorité de
parler. Je crois que notre collègue doit être bien dépité dans sa recherche d'arguments pour tenter d'interdire à une
majorité de dire des vérités par rapport aux dotations, il faut être drôlement dépité pour tenter d'interdire à une
majorité de parler. Dernier point, par rapport à l'emploi, « l'emploi, ce n'est pas votre truc", excusez-moi mais le
Chevalier Blanc de l'emploi permanent, je crois qu'on peut faire une injure de personne ici, des 33 conseillers
municipaux, que l'emploi n'est pas une préoccupation permanente de tous, je pense, parce que c'est un vrai sujet, un
vrai problème de notre pays, un vrai problème pour toutes les collectivités territoriales, pour l'Etat, pour la moindre
petite collectivité, le moindre village. Le Chevalier Blanc sur l'emploi, d'accord mais les leçons à un moment donné, je
crois que ça suffit aussi.
Monsieur GIRARDIN : Merci Monsieur CHAMPAGNE. Monsieur DEFONTAINE à nouveau.
Monsieur DEFONTAINE : Merci Monsieur le Maire. C'est suite à l'intervention de Monsieur GRIENENBERGER, je
voudrais le remercier parce qu'il a dit une chose de bien, c'est qu'il reconnait deux oppositions, je vais parler pour
moi, il reconnait deux oppositions, donc ça c'est bien, au moins je suis calé dans mon opposition et je peux vous
affirmer ce soir que ça continuera, pas dans l'opposition, mais ma manière de dire et Monsieur le Maire je me
permets de dire que je suis resté dans mon intervention dans le DOB, il me semble que je ne me suis pas trop écarté.
Par contre, en ce qui concerne Monsieur GRIENENBERGER, je vais prendre un raccourci, si vraiment son prénom
c'était Maurice, je crois que je lui dirais "Maurice, tu pousses le bouchon un peu loin", parce que puisqu’il n'y avait rien
de fait quand il a pris son mandat, il avait tout à fait loisir de revoir le programme s'il le voulait comme une commune
où j'ai tout un dossier à ce sujet qui avait un plan à peu près équivalent à notre prévision, en 2008, dans la région
Parisienne, une commune à peu près équivalente à la nôtre et effectivement, le maire socialiste qui a été élu, a revu
la copie et à aujourd'hui, on voit qu'il y a une autre destinée dans ce PRU qui était prévu et pourquoi pas. Donc, à
partir du moment où la copie a été revue, parce que Monsieur le Maire, vous l'avez dit en temps et en heure, qu'il
fallait revoir, il me semble qu'il faut qu'on assume d'une façon collégiale, je ne suis pas là pour dire, la seule chose et
je me permets de le répéter et j'arrête là, c'est qu'il faut que l'on anticipe, on a des investissements, il va falloir les
payer, on fait comment et je pense que c'est là que moi j'ai besoin que l'on me donne les plans de trésorerie, qu'on
essaie de réfléchir ensemble, pour le reste, Monsieur GRIENENBERGER, nous fait une grande messe, on est
habitué, on arrive à ne plus l'écouter parce qu'on est d'accord avec ce qu'il dit.
Monsieur GIRARDIN : Merci, ce n'est pas bien si vous n'écouter pas Monsieur GRIENENBERGER, c'est toujours
instructif. Je vais conclure parce qu'il y a plusieurs questions qui ont été posées, il y a bien longtemps maintenant
mais il faut quand même y apporter réponse. Je ne vais pas répondre à tout, notamment Madame PAPAZ parce que
les questions que vous avez abordées sur la précisions des éléments, ce sera pour le budget évidemment,
simplement, je vous réponds tout de suite sur le GVT, c'est Glissement Vieillesse Technicité, c'est les avancements
d'échelons et les accélérés d'avancement d'échelons qui sont liés à la carrière des agents et qui est assis sur le
principe que plus vous êtes dans le poste ou dans les postes en fonction, plus vous obtiendrez de compétence,
d'expérience et d'éléments de productivité, donc votre indice monte, c'est ça le Glissement Vieillesse Technicité, ça
s'applique à l'ensemble des collectivités et des administrations d'Etat. Madame CHERY, juste une question, un point
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