Compte-rendu de Conseil - Février 2013 - La Chapelle St-Luc

Monsieur GIRARDIN : Pour vous dire les choses, Madame RAUDIN est en témoin, je lui disais pas plus tard qu'hier
que je trouvais qu'on vous mettait une date trop en amont au moment où ça sort, il y a aussi des éléments qui sont
des éléments de cadrage qu'il nous faut prendre en compte mais on va essayer de desserrer un peu l’étau et je
constate que vous ne l'avez pas rendu, je n’ai pas vu le vôtre, j'ai vu celui de l'autre opposition alors le message c'est
qu'il y a deux listes d'opposition à La Chapelle Saint-Luc, c'est ça le message.
Monsieur DEFONTAINE : Monsieur le Maire, non.
Monsieur GIRARDIN : J'ai eu tort. Je ne voulais pas relancer le débat, pardonnez-moi.
Monsieur DEFONTAINE : Notre philosophe, Monsieur GRIENENBERGER, l'a rappelé, j'ai confirmé que j'étais
d'accord avec lui et vous, vous en remettez encore une couche, donc c'est vrai, vous avez raison.
Monsieur GIRARDIN : C'est vrai, je suis épuisé, je viens de faire une faute lourde.
Monsieur DEFONTAINE : Vous avez raison, il y a une autre opposition, il va falloir que je le dise.
Monsieur GIRARDIN : Pardonnez-moi, je retire ce que je viens de dire, il est 10h15. Monsieur TANKERE, cinq points
à l'ordre du jour, comme on ne se voit jamais, je comprends que vous les exposiez en conseil municipal.
Monsieur TANKERE : Je vous dis tout en vrac, vous n'allez pas m'interrompre, je vous remercie. Premièrement, je
vais remercier Madame BOEGLIN, Présidente de la commission des Finances du Conseil Général, j'ai lu le journal ce
matin, il y a de nombreuses associations qui ont bénéficié de subventions du conseil général, par contre, j'ai constaté
l'absence du Club Mermoz, peut-être qu'au Club Mermoz ils n'ont pas besoin d'argent. Je continue, la salle du
Conseil Municipal dans laquelle vous vous trouvez a été repeinte du temps de Madame MATOUILLOT, c'est elle qui
a choisi les couleurs, et nous en avons assez d’avoir froid dans cette salle, j'espère qu'au cours de votre prochain
mandat Monsieur le Maire, et je suis sûr que vous allez être réélu, on va s'occuper de la chose. Troisième point, on a
fait un beau quartier dans la ZUP de La Chapelle Saint-Luc mais j'en ai assez de voir la maison brulée rue Jean
Jaurès, est-ce que le service juridique pourrait se pencher sur le problème pour mettre un terme à cette situation qui
dénature l'ensemble du quartier. Quatrième point, l'Hôtel de Ville, on a mis une véranda sur la façade mais on a
oublié de remettre la mention "Hôtel de Ville", quand va t'on remettre les lettres "Hôtel de Ville" sur le fronton ? Les
gens cherchent la mairie, ils ne savent pas où elle se trouve. Ensuite, mon ami Richard PROTIN a eu sa boite à
lettres détériorée au mois d'avril par un engin de La Chapelle Saint-Luc, un gros engin qui tondait un immense
parterre de gazon de 1,50 m de large et mon pauvre Richard attend toujours après sa boite à lettres, je vous ai déjà
envoyé deux lettres Monsieur Le Maire. Enfin, j'ai le regret et la douloureuse mission de vous annoncer que notre
ancien ami, Jules MONET, Chef de la Police Municipale est décédé à Lille le 21 décembre 2012.
Monsieur GIRARDIN : Merci Monsieur TANKERE. Il y a quelques éléments sur lesquels on peut éventuellement
répondre là, tout de suite.
Monsieur PARISON : Sur la boite aux lettres, c'est une procédure juridique qui est en cours, on a saisi l'assureur
donc ça suit son cours, il faut le temps des déclarations classiques.
Monsieur JOUANET : Le service juridique a fait le nécessaire vers le propriétaire de cette maison, propriétaire au
demeurant plus ou moins solvable puisque la banque a essayé en son temps de vendre, j'allais dire la dépouille, je ne
sais pas pourquoi j'emploie ce mot là mais enfin, les restes de cette maison sauf qu'ils veulent couvrir leurs frais et
que le prix de mise était bien trop élevé, donc on a pris un arrêté de péril de manière à avoir la possibilité d'empêcher
l'entrée, ça ne fait pas tout, il y a encore des jeunes qui essaient et la police y veille, malheureusement, on ne peut
pas aller plus vite que la justice, c'est bien le cas de le dire et pour l'instant tout comme vous, on peut déplorer la
situation qui contraste avec la beauté du quartier tel que le PRU essaie de le rendre. Pour ce qui est de la salle et de
son chauffage, là aussi c'est un dossier qui nous préoccupe, vous êtes exactement dans la démarche de ce que l'on
dit toujours, c'est-à-dire, tout à l'heure vous prôniez vous-même qu'il faut toujours faire moins et là vous nous dites,
faites encore un petit peu mais nous n'êtes pas le seul, on est tous comme ça autour de la table. C'est dans les
tuyaux comme on dit mais on a des échéances à faire et vous comprendrez bien qu'à partir du moment où on veut
toucher à cette salle, ça sous-entend de toucher aux fenêtres parce que les fenêtres elles sont aussi vieilles que les
bâtiments, j'en vois qui sont tout verts et tout blancs là bas, qui vont encore être malades parce qu'ils ont pris froid, au
bord des fenêtres ce n'est pas étanche donc il faut refaire les fenêtres, seulement quand on aura refait les fenêtres, il
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