CULTURE METIER Faites un tour en » Take a tour on TUK-TUK BAJAJ or En temps ordinaires, ils comptent jusqu’à 70 passagers par jour. Durant les périodes de vacances, le meilleur moyen de se déplacer dans les villes côtières est le tuktuk ou bajaj. Rapide et moins cher que le taxi, compter Ar 1 000 pour une course. C’est assez sympa de parcourir la ville entre amis dans un tuk-tuk, malgré le bruit. Il n’est pas désagréable d’être à l’air et de ne pas avoir à regarder à travers une vitre. Le véhicule penche, tout le monde rigole. Une ambiance de fête règne dans le « bajaj », terme utilisé par les natifs pour appeler le tuk-tuk. Grâce à sa petite taille l’engin se faufile partout et très vite à travers la ville. L’arrivée des tuk-tuk dans la grande île remonte à l’année 2014. Depuis, son nombre ne cesse de croître, surtout dans les villes côtières à l’exemple de Majunga ou encore Tamatave. Ces petits véhicules à trois roues peuvent transporter jusqu’à trois passagers à la fois. Rémi, conducteur de « bajaj », enregistre 80 à 100 passagers par jour, lorsque les affaires marchent. C’est le cas en période de fête ou durant les vacances. En temps ordinaires, ils comptent jusqu’à 70 passagers par jour.Loué par son propriétaire, l’engin est confié au conducteur tous les matins et ce dernier verse Ar 40 000 au propriétaire en fin de journée. Sur la base de 70 passagers en une journée, le conducteur peut gagner un bénéfice net d’environ Ar 20 000 à Ar 30 000 par jour. Selon Rémi son travail suffit à subvenir à ses besoins. PROFESSION Photos © : Tanjona Andriamahaly During the holiday periods, the best way to move around coastal cities is by tuk-tuk or bajaj according to the natives. Fast and cheaper than the taxi, count Ar 1000 for a fare. It’s nice enough to explore the city with friends in a tuk-tuk, despite the noise, it is not unpleasant to be in the open air, not to have to look through a window. The car leans, everyone laughs, a festive atmosphere reigns in the “bajaj”, a term used by the natives to call the tuk-tuk. Due to its small size the vehicle sneaks through everywhere and very quickly through the city. The arrival of the tuk-tuk in the big island dates back to the year 2014. Since then, its number has been growing, especially in the coastal towns following the examples of Majunga or Tamatave. These small three-wheeled vehicles can carry up to three passengers at a time. Rémis, driver of a “bajaj”, registers 80 to 100 passengers a day, when business is busy. This is the case during the festive season or during the holidays. In normal circumstances, they count up to 70 passengers per day. Leased to its owner, the vehicle is entrusted to the driver every morning and the latter pays Ar 40 000 to the owner at the end of the day. Based on 70 passengers in a day, the driver can earn a net profit of about Ar 20,000 to Ar 30,000 per day. According to Rémis his work is enough to support his needs. In normal circumstances, they count up to 70 passengers per day. | 50 | Lire le magazine en ligne / Read the magazine online www.primemedia.international
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