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On a volé le Big Bang - Margelle

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X années soixante, la robe de mariée « fraîcheur » en cuir fin avec<br />

collier métallisé et manchettes à clous (gros succès), <strong>le</strong>s top dos<br />

nus et slips n’ god, zéro tweezerman tweezers, <strong>le</strong>s effets fraîcheurs<br />

surmontés d’effets eye-shadow, gorgeous dresses et go-go boots,<br />

des sequined silk trousers encu<strong>le</strong>urs avec télécommande, <strong>le</strong>s<br />

pointes de seins simul piercing, l’écumes d’ivresse inconnue et<br />

<strong>le</strong>s vagues, la parade des tail<strong>le</strong>urs déchiquetés, colliers de douil<strong>le</strong>s<br />

9 parabellum encore chaudes, polyamide skirts aspergées aux gels<br />

so<strong>le</strong>il, cloches en cuir soup<strong>le</strong> tombant sur <strong>le</strong>s yeux et microwave<br />

thin bras s’unirent pour un sauvage arc en ciel.<br />

anthelme qui avait tout déchiqueté et collé dans une course<br />

sauvage venait de définir <strong>le</strong> nouveau « Bestial animal Spirit » et<br />

accesoirement de rég<strong>le</strong>r son compte à ce rackett éhonté que l’on<br />

appel<strong>le</strong> mode, glamour, fashion et qui essaye de nous faire oublier<br />

qu’une bel<strong>le</strong> femme est une femme simp<strong>le</strong>.<br />

Il venait somme toute de tuer la mode, la fou<strong>le</strong> ravie applaudit.<br />

Comme aux jeux du cirque.<br />

Les hommes prirent feu, <strong>le</strong>s femmes se prirent à rêver.<br />

Clinton qui arriva à ce moment-là passa inaperçu, Barbara à<br />

ses côtés, un Vatican portab<strong>le</strong> dans son sac de chez Hermetic’s, à<br />

toutes fins uti<strong>le</strong>s. Il dévorait Oriane du regard et, pour la première<br />

fois de sa vie de monarque, il comprit que cette femme n’était pas<br />

pour lui, qu’il n’alcançait point ! Son désir en fut exacerbé.<br />

Quand je vis cette brune pétante qui balisait l’espace autour du<br />

Président mon cœur cessa subitement de battre. C’était Laura !<br />

Ou du moins une femme de sa trempe. Comment avait-el<strong>le</strong> pu se<br />

réincarner si rapidement ? Oriane vint à el<strong>le</strong> et la baisa tendrement.<br />

« Salut, petite sœur, tu progresses vite !-ª<br />

Il manquait un élément avant que ne se dévoi<strong>le</strong> <strong>le</strong> <strong>Big</strong> a.W.O.<br />

Chris s’en chargea. Sa main courut sur <strong>le</strong>s curseurs de la plus<br />

grande conso<strong>le</strong>, des panneaux s’ouvrirent au plafond et dans <strong>le</strong>s<br />

murs, dans la magie des hologrammes une silhouette de légende<br />

apparut. C’était Joe Di maggio. en personne et en costume, prêt<br />

à frapper.<br />

La fou<strong>le</strong> hurla, remous d’apocalypse, l’amérique se souvenait.<br />

La légende s’anima, prête pour <strong>le</strong> home run. Les six écrans LCD<br />

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