La Déesse de Grattavache - Margelle
La Déesse de Grattavache - Margelle
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Mexicaines qui commencent à en manquer. Déjà<br />
que, dans le book précé<strong>de</strong>nt il y avait, aux côtés<br />
d’Arena la Noire, Jolene (Une Américaine !!!) Que<br />
dire ? Sommes-nous inconstants ? Les maîtresses<br />
s’usent-elles ? Où sont les pièces <strong>de</strong> rechange ? On<br />
pourrait leur coller un MTBF (Mean Time Between<br />
Failure). Nous dirons que “Nous autres vos admirateurs<br />
et dévoués esclaves savons que vous autres<br />
<strong>Déesse</strong>s vous péremptez.” Sniff… Pages 22, 28<br />
Notre héros : Ici toujours Clau<strong>de</strong> Perret, personnage<br />
embarqué dans une Odyssée divine. Il prend un<br />
aspect homérique et pourrait aussi récrire la Divine<br />
Comédie (la <strong>Déesse</strong> dans le rôle <strong>de</strong> Virgile) mais,<br />
pas <strong>de</strong> pot, je viens <strong>de</strong> le faire. Peu importe, c’est<br />
mon pote à moi, un bel homme et, à part détruire<br />
l’Amérique, il n’a jamais rien fait d’extrême. Faut<br />
dire que le besoin s’en faisait sentir. : Pages 36, 37,<br />
46, 74, 75, 108, 125, 163, 164, 210, 213, 216, 232<br />
Nouvel Observateur : Personnage né dans<br />
Orphée 2001 (Les Culs, Une promena<strong>de</strong> parisienne)<br />
mais fidèle compagnon du narrateur. Typique<br />
: n’en fait qu’à sa tête (<strong>de</strong> nœud). Par exemple<br />
: « Effectivement, le Nouvel Observateur, ce<br />
connard prétentieux, bêtement individualiste — je<br />
le crois parfaitement capable d’adhérer au parti<br />
socialiste — avait trouvé du piquant à la situation<br />
et brandissait son grief en direction <strong>de</strong> ces superbes<br />
femmes. Ah le con ! » ou encore dans <strong>La</strong> Tempête<br />
« Profitant <strong>de</strong> ma tira<strong>de</strong> sa main venait d’emparer<br />
le Nouvel Observateur - ce con toujours aux aguets<br />
dans son futile futal, repaire qu’il imagine inviolable<br />
- et <strong>de</strong> le flatter en usant d’une syntaxe très<br />
persuasive. Comme le nouvel Anthelme je suis très<br />
sexe et jamais une belle fille ne m’a laissé <strong>de</strong> glace.<br />
Toutefois, en cette pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> femmes suprêmes, je<br />
n’allais pas repeindre les murs <strong>de</strong> ma vie à la dispersion”.<br />
Pages 19, 179<br />
P<br />
Paris : a) (Hilton) Les vioques <strong>de</strong> cette nane ridicule<br />
auraient pu lui donner un autre prénom. Athéna<br />
par exemple (mais c’est la <strong>Déesse</strong> <strong>de</strong> la Sagesse),<br />
b) Paris stupi<strong>de</strong>s, voir Pascal, Blaise selon Prévert<br />
c) Jeune homme prétentieux et dangereux : Hélène<br />
était la récompense promise par Vénus à Paris.<br />
Mais, tous les princes <strong>de</strong> la Grèce, étaient <strong>de</strong>s prétendants<br />
à la main d’Hélène. D’où cette guerre,<br />
la seule qui n’ait pas eu l’argent pour origine ? c)<br />
Ville qui, aux yeux <strong>de</strong> ses habitants s’enlaidit et aux<br />
334<br />
yeux <strong>de</strong>s touristes s’embellit. d) J’y vivais dans les<br />
années soixante et ne me permets pas <strong>de</strong> la juger<br />
aujourd’hui. Page 2<br />
Perpignan : Une ville comme les autres mis<br />
à part le fait que Dali, pour masquer son trafic <strong>de</strong><br />
tableaux vers les États-Unis, l’avait pompeusement<br />
baptisée « ville cosmique ». <strong>La</strong> gare <strong>de</strong> Perpignan<br />
n’est pas pire que toutes les autres qui sont édifiées<br />
traditionnellement dans un mix entre le style mussolinien<br />
et la platitu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s administrations. Je suis<br />
heureux d’avoir recentré les choses, <strong>Grattavache</strong><br />
étant une candidate beaucoup plus plausible pour<br />
prélu<strong>de</strong>r aux bouleversements cosmiques. Pages<br />
14, 15, 24, 34, 39, 76, 77, 80, 107, 108, 119 et 123<br />
Pétasse : Ici sonne en général très affectueux.<br />
Pages 13, 46.<br />
Pipole : On en a massacré dans ce livre 787’592<br />
et <strong>de</strong>s poussières et ça n’a rien changé. Le pipole<br />
est un parasite qui vit en symbiose avec l’argent,<br />
les médias et les pauvres. Supprimez les pauvres<br />
et il n’y a plus personne pour admirer les pipoles.<br />
J’étudie la possibilité d’un génome spécialisé dans<br />
la reconnaissance et l’éradication <strong>de</strong> cette vermine.<br />
On me dit que ce serait la fin <strong>de</strong> mon<strong>de</strong>… Réponse<br />
au prochain book. : Pages 116, 131, 174, 180<br />
Pur et sublime génie : Expression que nous<br />
<strong>de</strong>vons à Jean-Clau<strong>de</strong> Holy, mathématicien et<br />
homme génial qui avait la passion <strong>de</strong>s sciences truculentes.<br />
Je la reprends, ça ne mange pas <strong>de</strong> caviar<br />
et ça confère un bref instant un petit parfum <strong>de</strong> virginité<br />
très utile pour faire oublier les errements <strong>de</strong><br />
mes personnages. Pages 13 et 46<br />
Putain : a) un art <strong>de</strong> vivre (et faire vivre) ancien<br />
que l’Église et la psychanalyse ont vainement tenté<br />
<strong>de</strong> détrôner. b) Exclamation douce qui a détrôné<br />
« Punaise » c) Consécration sociale d) N’est plus<br />
l’apanage <strong>de</strong>s femmes Pages 5, 15, 130, 275, 276,<br />
302, 312, 322<br />
R<br />
Racines <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> forêt féminine secrète :<br />
J’avais lu quelque chose à propos d’une très gran<strong>de</strong><br />
forêt dont les racines ne seraient qu’une seule et<br />
gran<strong>de</strong> chevelure souterraine et ça me faisait repenser<br />
à cette vision que j’ai toujours eu <strong>de</strong>s femmes en<br />
tant que race (secrètement) unie et <strong>de</strong>s hommes en<br />
tant qu’éléments isolés. Mon attirance pour les belles<br />
jambes féminines me poussait à imaginer qu’elles<br />
trouvaient, sous la terre, un prolongement - la