La Déesse de Grattavache - Margelle
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d’une autre couleur, une combinaison qui t’effare.<br />
Ici aussi le temps ne coule pas. C’est con <strong>de</strong> rencontrer<br />
l’éternité chez les Belges ou dans une salle<br />
<strong>de</strong> bain aussi française que désuète ! Elle appelait<br />
d’avantage le plombier ou l’adultère minable que le<br />
miracle ». Page 299.<br />
Z<br />
Roger Zelazny : je ne suis jamais parvenu à<br />
vraiment exprimer la gran<strong>de</strong> admiration et affection<br />
que j’ai pour cet écrivain visionnaire, venu<br />
du Canada et fixé aux États-Unis. Internet fourmille<br />
<strong>de</strong> bons sites pour le connaître, http://www.<br />
fantasticfiction.co.uk/z/roger-zelazny/ ou simplement<br />
Wikipedia. Il suffit <strong>de</strong> lire les titres <strong>de</strong> ses livres,<br />
chroniques et articles pour l’aimer : Le maître <strong>de</strong>s<br />
rêves (The Dream Master 1966, Toi, l’immortel (<strong>La</strong><br />
Grèce, le dieu Pan), 1966, Une rose pour l’ecclésiaste<br />
(l’après guerre nucléaire) 1967, Seigneur <strong>de</strong><br />
lumière (Lord of Light) 1967, Royaumes d’ombres<br />
et <strong>de</strong> lumière 1969, Route 666 (Les culbuteurs <strong>de</strong><br />
l’enfer, (Damnation Alley, une Amérique post apocalyptique)<br />
1969, Le maître <strong>de</strong>s ombres (Jack of<br />
the Shadows) 1971, Aujourd’hui nous changeons<br />
<strong>de</strong> visage (Today we Choose Faces, sujet la mafia)<br />
1973, L’homme qui n’existait pas (My Name is<br />
Legion) 1976, Un pont <strong>de</strong> cendres (Bridge of Ashes)<br />
1976, Deus Irae (avec Philip K. Dick), Repères sur<br />
la route (Roadmarks) 1979, Terre mouvante (The<br />
Changing <strong>La</strong>nd) 1981, Le songe d’une nuit d’octobre<br />
(A Night in the Lonesome) 1993, Les 9 Princes<br />
d’Ambre (Une saga qui court sur plus <strong>de</strong> vingt<br />
ans) dont, Les fusils d’Avalon 1970, Le signe <strong>de</strong> la<br />
licorne (Sign of the unicorn) 1975, <strong>La</strong> main d’Obéron<br />
1976, Les cours du chaos 1978, Les atouts <strong>de</strong><br />
la vengeances (Triumph of doom) 1985, Le sang<br />
d’Ambre, Le signe du chaos (Sign of chaos) - 1987,<br />
Chevalier <strong>de</strong>s ombres, Prince du chaos (Prince of<br />
chaos) - 1991, sans oublier la Fabuleuse Île <strong>de</strong>s<br />
morts (saga <strong>de</strong> Francis Sandow qui se poursuit avec<br />
Le sérum <strong>de</strong> la déesse bleue) un livre très attachant<br />
et <strong>de</strong>s nouvelles et <strong>de</strong>s articles « Les portes <strong>de</strong> son<br />
visage, les lampes <strong>de</strong> sa bouche », « Une effroyable<br />
et merveilleuse beauté », « L’amour est un nombre<br />
imaginaire », « En cet instant <strong>de</strong> la tempête », « Les<br />
licornes sont contagieuses », toute une production<br />
fluviale. Zelazny a le génie <strong>de</strong>s titres et j’aurais sans<br />
doute dû citer tous les titres originaux, comme par<br />
exemple To Die in Italbar traduit en français par<br />
337<br />
Le sérum <strong>de</strong> la déesse bleue, un titre qui me laisse<br />
rêveur car il me rappelle une très gran<strong>de</strong> chanson <strong>de</strong><br />
Dorival Caymmi (Brésil) To die in Itapoint (mourir<br />
à Itapoint). On m’a collé récemment une paternité<br />
San Antonio dont je m’honore, on <strong>de</strong>vrait y ajouter<br />
une très gran<strong>de</strong> source zelaznienne, cet homme m’a<br />
fait rêver et m’aura empêché <strong>de</strong> donner dans le littéraire<br />
« en soi ». Pages 23 et 322.<br />
Zimmerli : C’est qui çui-là ? Page : 181.