Robert», la partie de l'art médical qui a pour objet - sotcot

Tun Orthop 2008, Vol 1, N° 2Articles sous Microscopepour la confirmation ou non de ses résultats.Cependant, la fréquence féminine dans la LCHet la présence précoce (6ème semaine de gestation)d’hormones thyroïdiennes maternelles dansla cavité coelomique embryonnaire qui jouent unrôle important dans le développement fœtal précoce,sont des phénomènes réels et ne peuventque mettre la puce à l’oreille.Une étude nationale multicentrique de dépistage(dépistage d’une pathologie en présence del’autre) ne serait qu’une preuve pour ou contrecette hypothèse.Une idée japonaise non brevetée. à suivre…5- The epidemiology of revision Total hipArthroplasty in the united statesépidémiologie des révisions des pThdans les etats unis d’AmériqueKevin J. Bozic, Steven M. Kurtz, Edmund Lau, Kevin Ong, Thomas P. Vail,Daniel J. BerryJ Bone Joint Surg Am 2009;91:128-33(51345) mais surtout de la quantification objectivedes différents paramètres à étudier (causes dereprise et procédures de révision).La lecture de cet article souligne également unaspect autocritique des auteurs. En effet, ils ontsignalé que le codage utilisé au cour de l’étudeest certe intéressant mais qu’il ne peut en aucuncas remplacer un registre national d’arthroplastie.Désormais, ce codage ne contient pas des informationsrelatives à l’implant ni aux patients.On peut seulement reprocher à cette étude la difficultéd’extrapolation de ces résultats à d’autres payspuisque ce codage est spécifique aux états unis.En fin l’étude a permis de montrer que l’instabilité,le descellement mécanique et l’infection sontles principales causes d’échec des arthroplastiestotales de hanche, cette conclusion nous sembletout a fait en accord avec la littérature.6- Fixator-assisted acute femoral deformitycorrection and consecutive lengtheningover an intramedullary nail.224CommentairesIssam ALOUIService d’Orthopédie traumatologie. Hôpital Fattouma Bourguiba.Monastiraloui_issam2001@yahoo.frrésuméLe but de ce travail est d’identifier les différentsmécanismes d’échec des arthroplasties totales dehanche à travers une étude épidémiologique de51 345 reprise de prothèse totale de hanche (PTH)réalisée aux états unies entre le 1er Octobre 2005et 31 Décembre 2006.Les auteurs se sont référés, durant cette étude, aucodage ICD-9-CM récemment établi pour répertorierles diagnostics et les procédures de révisiondes PTH.La révision a consisté dans la majorité des cas soit41,1% en un remplacement bipolaire (pièces cotyloïdienneet fémorale) et l’étiologie de la repriseétait dominée par l’instabilité 22,5%, le décellementmécanique 19,7% et l’infection 14,8%.L’age moyen était de 67 ans avec nette prédominancede la tranche d’age 75-84 ans. La duréemoyenne d’hospitalisation était de 6,2 jours et lecoût moyen était de 54553 Dollars ; ces deux variablessont fonction du statut de l’établissementhospitalier et du type de la révision effectuée.CommentairesCette étude épidémiologique de prévalence,d’un degré d’évidence moyen, destiné à étudierles principales causes d’échec des arthroplastiestotales de hanche tire son grand intérêt nonseulement du nombre considérable de prothèsescorrection instantanée de la déformationfémorale et allongement par fixateur externeet un enclouage centro-médullaire.Mehmet Kocaoglu, Levent Eralp, F. Erkal Bilen, FEBOT, Halil I. BalciJ Bone Joint Surg Am. 2009;91:152-9CommentairesMourad JENZRI.Service d’Orthopédie Pédiatrique. Institut National d’Orthopédie M.T.Kassab. Ksar Said - La Manoubajenzri.mourad@voila.frrésuméintroductionLes auteurs rapportent les résultats d’une techniquechirurgicale qui permet de corriger instantanémentune déformation osseuse et un allongementprogressif et ceci grâce à l’utilisation d’unfixateur externe et un enclouage centro-médullaire.sérieVingt cinq patients, présentant vingt huit fémursavec une déviation axiale associée à un raccourcissement,ont été traités entre 1997 et 2005. Ils’agissait de 13 filles et 12 garçons d’âge moyenau moment de la chirurgie de 27 ans (14-61ans). L’étiologie de la déformation et le raccourcissementétait : post-traumatique dans 11 cas,rachitisme hypophosphatémique dans 4 cas etséquelles de poliomyélite ou d’une affectioncongénitale dans 10 cas.