plus intense dams le groupe bloc fémoral.Le nombre <strong>de</strong> patient <strong>qui</strong> était capable <strong>de</strong> marcherà 48H était significativement plus importantdans le groupe plexus lombaire.CommentariesVoici encore une étu<strong>de</strong> bien conduite comportantun nombre important <strong>de</strong> ma<strong>la</strong><strong>de</strong> <strong>qui</strong> souligne<strong>la</strong> p<strong>la</strong>ce <strong>de</strong> plus en plus importante <strong>de</strong>s blocsnerveux continus dans l’analgésie post-opératoire.Ce résultat encourageant en faveur du bloccontinu du plexus lombaire ne doit pas ignorerles complications graves <strong>de</strong> ce bloc. Le risque <strong>de</strong>diffusion en sous arachnoïdien et en périduraleavec comme conséquence, et eu égard <strong>de</strong>s dosesutilisées, expose à une rachianesthésie totale ouune anesthésie péridurale associées à <strong>de</strong>s complicationshémodynamiques et respiratoires parfoisdramatiques. Par ailleurs, les complications hémorragiquesà type d’hématome en péri-nerveux,péri rénal ne sont pas rares chez <strong>de</strong>s patients recevantsouvent <strong>de</strong>s antiagrégants p<strong>la</strong>quettaires.Ces complications même si elles restent rarescontinuent à être un frein à <strong>la</strong> diffusion du bloclombaire en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong> centres spécialisés car ilne faut pas perdre <strong>de</strong> vue que <strong>la</strong> chirurgie prothétique<strong>de</strong> <strong>la</strong> hanche est responsable <strong>de</strong> douleursplutôt modérées.8- chondral injuries of the ankle with recurrent<strong>la</strong>teral instability: an arthroscopicstudyLes lesions chondrales <strong>de</strong> <strong>la</strong> chevilledans les instabilities <strong>la</strong>térales recurrentes:une étu<strong>de</strong> arthroscopiqueSugimoto K., Takakura Y., Okahashi K., Samoto N., Kawate K., Iwai M.J Bone Joint Surg 2009; 91A:99-106CommentairesMehdi HADJ-SALAHCentre <strong>de</strong>s Traumatismes et <strong>de</strong>s Brûlures Graves. Ben Arous - Tunisie.hadjsa<strong>la</strong>hmehdi@yahoo.frrésuméL’instabilité après une entorse <strong>de</strong> <strong>la</strong> chevillen’aboutit pas toujours à une arthrose <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville.Certains facteurs <strong>pour</strong>raient accélérer leprocessus dégénératif. Les auteurs ont évalué ungroupe <strong>de</strong> 99 patients présentant une entorse àrépétition <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville <strong>qui</strong> favoriserait le développementd’une arthrose. Le but <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> était<strong>de</strong> déterminer <strong>la</strong> prévalence, le siège et <strong>la</strong> sévérité<strong>de</strong>s lésions du carti<strong>la</strong>ge accompagnant l’instabilitérécidivante <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville et d’i<strong>de</strong>ntifier lesfacteurs <strong>de</strong> risque aboutissant à une arthrose <strong>de</strong><strong>la</strong> cheville.métho<strong>de</strong>sArticles sous MicroscopeSur une durée <strong>de</strong> 10 ans, une arthroscopie <strong>de</strong> <strong>la</strong>cheville a été pratiquée chez ces patients justeavant <strong>la</strong> réparation chirurgicale <strong>de</strong>s ligaments<strong>la</strong>téraux. Les patients sélectionnés présentaientune entorse à répétition ou bien une appréhensionassociée à <strong>de</strong>s douleurs et ayant tous eu untraitement fonctionnel à type <strong>de</strong> renforcement<strong>de</strong>s péroniers et portaient une chevillière ligamentairependant au moins 3 mois. L’âge moyenétait <strong>de</strong> 28,7 ans, le dé<strong>la</strong>i moyen acci<strong>de</strong>nt - arthroscopieétait <strong>de</strong> 6 ans et 2 mois. L’arthroscopieétait pratiquée sans traction en décubitus <strong>la</strong>téra<strong>la</strong>vec une optique <strong>de</strong> 2,7mm <strong>de</strong> diamètre. Huitpoints étaient examinés : <strong>la</strong> gouttière interne, lecarti<strong>la</strong>ge malléo<strong>la</strong>ire interne, l’angle interne, lesommet du dôme astragalien, <strong>la</strong> <strong>partie</strong> <strong>la</strong>térale dup<strong>la</strong>fond tibial, le bord <strong>la</strong>téral du dôme astragalien,le carti<strong>la</strong>ge fibu<strong>la</strong>ire et l’aspect antéro-<strong>la</strong>téral<strong>de</strong> <strong>la</strong> capsule articu<strong>la</strong>ire. Tout changement ducarti<strong>la</strong>ge <strong>de</strong>venu mou, fibril<strong>la</strong>ire, fissuré ou ulcéréa été noté ainsi que <strong>la</strong> profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s lésions carti<strong>la</strong>gineuses.résultatsLes auteurs ont découvert <strong>de</strong>s lésions chondralesà l’arthroscopie dans 77% <strong>de</strong>s cas. Les chevillesont été c<strong>la</strong>ssées selon <strong>la</strong> sévérité <strong>de</strong>s lésions engra<strong>de</strong> 0 (pas <strong>de</strong> lésion), gra<strong>de</strong> 1 (carti<strong>la</strong>ge mou,fibril<strong>la</strong>ire ou fissuré), gra<strong>de</strong> 2 (<strong>de</strong>fect carti<strong>la</strong>gineuxsans exposition <strong>de</strong> l’os sous-chondral) ou gra<strong>de</strong> 3(exposition ou <strong>de</strong>fect <strong>de</strong> l’os sous-chondral).La majorité <strong>de</strong>s lésions siégeaient au niveau <strong>de</strong><strong>la</strong> moitié interne et <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux tiers antérieurs <strong>de</strong>l’articu<strong>la</strong>tion. Les auteurs ont constaté que legra<strong>de</strong> <strong>de</strong> sévérité <strong>de</strong> <strong>la</strong> lésion carti<strong>la</strong>gineuse augmentaitavec l’âge, le sexe (les femmes avaient<strong>de</strong>s lésions plus sévères), <strong>la</strong> durée d’évolution <strong>de</strong>ssymptômes, l’augmentation <strong>de</strong> l’angle <strong>de</strong> bascule<strong>de</strong> l’astragale sur les clichés radiographiques dynamiquesen varus forcé, <strong>la</strong> rupture du ligamentcalcanéo-fibru<strong>la</strong>ire et l’importance <strong>de</strong> l’inclinaisondu p<strong>la</strong>fond tibial en varus mesuré sur les clichésradiographiques <strong>de</strong> cheville <strong>de</strong> face. Ce <strong>de</strong>rnierfacteur <strong>de</strong> risque a été traité dans 5 cas parune ostéotomie d’ouverture interne tibiale distaleavec une greffe osseuse iliaque.ConclusionLes auteurs concluent que les facteurs <strong>de</strong> risquesont associés <strong>de</strong> manière significative aux lésionssévères carti<strong>la</strong>gineuses <strong>qui</strong> seraient le résultatd’une combinaison <strong>de</strong> lésions chondrales aigueset <strong>de</strong> processus dégénératif ultérieur. Ces facteursdoivent être pris en considération dans <strong>la</strong> patho-227Tun Orthop 2008, Vol 1, N° 2
Tun Orthop 2008, Vol 1, N° 2Articles sous Microscopegénie <strong>de</strong> l’arthrose <strong>de</strong> cheville suite à une entorse.CommentairesC’est un article <strong>de</strong> recherche portant sur une étu<strong>de</strong><strong>de</strong> causalité avec <strong>de</strong>s tests statistiques adéquats.L’étu<strong>de</strong> est rétrospective, sans groupe témoin. Cecis’explique, car les auteurs ne se sont intéressésqu’aux patients candidats à une reconstructionligamentaire externe <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville. Ils n’ont pasfait d’arthroscopie, <strong>pour</strong> <strong>de</strong>s raisons éthiques, auxpatients asymptomatiques ou ayant eu un traitementfonctionnel, d’où le biais d’échantillonnage.L’arthroscopie a été utilisée comme une nouvellemétho<strong>de</strong> <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong>s lésions carti<strong>la</strong>gineuses,certains <strong>de</strong> ces patients ont eu une arthrographieou une IRM <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville <strong>qui</strong> sont peu performants,je pense que l’arthro-scanner est le meilleurexamen. Les différents temps <strong>de</strong> <strong>la</strong> technique ontété bien décrits permettant sa reproduction.Le point fort <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> est l’applicabilité clinique<strong>de</strong> ses résultats <strong>qui</strong> vont ai<strong>de</strong>r à mieux prendre encharge nos patients présentant une <strong>la</strong>xité chroniqueexterne <strong>de</strong> <strong>la</strong> cheville tant sur le p<strong>la</strong>n bi<strong>la</strong>nradiographique que sur le p<strong>la</strong>n thérapeutique.Dans cette étu<strong>de</strong>, l’arthroscopie a confirmé <strong>la</strong>réalité et le siège <strong>de</strong>s lésions carti<strong>la</strong>gineuses etson intérêt dans l’exploration <strong>de</strong> l’articu<strong>la</strong>tion.Elle a aidé à faire ressortir les facteurs <strong>de</strong> risquearthrogènes. Elle a aussi un double intérêt diagnostique: dans <strong>la</strong> mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> <strong>la</strong> lésionligamentaire et dans <strong>la</strong> mise en évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>la</strong>xité en varus. Toutefois, elle ne doit pas être systématiqueavant toute ligamentop<strong>la</strong>stie, elle doitêtre réservée aux gestes thérapeutiques après explorationpar arthro-scanner.matériel et métho<strong>de</strong>Les auteurs ont analysé les données cliniques,démographiques, et économiques <strong>de</strong> 51.345 reprises<strong>de</strong> PTH effectuées entre le 1/10/2005 et le31/12/2006.La prévalence <strong>de</strong>s reprises a été calculée par sousgroupes <strong>de</strong> popu<strong>la</strong>tion selon l’âge, le sexe, le diagnostic,l’origine, le type <strong>de</strong> prise en charge et letype d’hôpital.La cause d’échec, <strong>la</strong> durée <strong>de</strong> séjour et les chargestotales <strong>pour</strong> chaque reprise ont été étudiés.résultatsLe type <strong>de</strong> reprise le plus fréquemment effectué aété le remp<strong>la</strong>cement <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux composants fémoralet acétabu<strong>la</strong>ire (41,1%) et les causes les plusfréquentes <strong>de</strong> reprises étaient l’instabilité/luxation(22,5%), le <strong>de</strong>scellement aseptique/usure mécanique(19,7%) et l’infection (14,8%).Ces reprises ont été effectuées surtout dans lesgrands hôpitaux urbains non universitaires <strong>pour</strong><strong>de</strong>s patients âgés entre 75 et 84 ans.La moyenne <strong>de</strong> séjour hospitalier dans tous lestypes <strong>de</strong> reprises a été <strong>de</strong> 6,2 jours et <strong>la</strong> moyenne<strong>de</strong>s charges totales <strong>de</strong> <strong>la</strong> reprise a été <strong>de</strong> 54.553$. La longueur moyenne <strong>de</strong> séjour hospitalier etle coût <strong>de</strong> <strong>la</strong> reprise a varié considérablement selon<strong>la</strong> région, le type d’hôpital et le type <strong>de</strong> repriseeffectué.ConclusionL’instabilité <strong>de</strong> <strong>la</strong> hanche et le <strong>de</strong>scellement aseptiquesont les causes les plus fréquentes <strong>de</strong> reprises<strong>de</strong>s arthrop<strong>la</strong>sties <strong>de</strong> hanche aux États-Unis.2289- The epi<strong>de</strong>miology of revision total hiparthrop<strong>la</strong>sty in the united statesepidémiologie <strong>de</strong>s révisions <strong>de</strong> prothèsestotales <strong>de</strong> hanche aux états-unisBozic K.J., Kurtz S.M., Lau E., Ong K., Vail T.P., Berry D.J.J Bone Joint Surg 2009, 91A:128-33.CommentairesMoez TRIGUIService d’Orthopédie Traumatologie. Hôpital Hbib Bourguiba. Sfaxdr_moez_trigui@yahoo.frrésuméLe but <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> était d’évaluer les mécanismesd’échec et les types <strong>de</strong> reprises <strong>de</strong>s prothèses totales<strong>de</strong> hanche effectuées sur une popu<strong>la</strong>tionreprésentative aux États-Unis en utilisant <strong>la</strong> nouvelleICD-9-CM (International C<strong>la</strong>ssification ofDiseases, Nith Revision, Clinical Modification).CommentairesDans cette étu<strong>de</strong> pronostique type II, les auteursont utilisé <strong>la</strong> nouvelle c<strong>la</strong>ssification internationale<strong>de</strong>s ma<strong>la</strong>dies (ICD-9-CM) <strong>qui</strong> s’est révélée seloneux une c<strong>la</strong>ssification spécifique et pertinente<strong>pour</strong> les praticiens et <strong>qui</strong> a rendu possible l’utilisation<strong>de</strong>s bases <strong>de</strong> données administratives. Ellea permis <strong>de</strong> caractériser l’épidémiologie <strong>de</strong>s reprises<strong>de</strong> hanche dans une popu<strong>la</strong>tion représentative.Dans cette étu<strong>de</strong> on a constaté le nombre élevé<strong>de</strong>s reprises <strong>de</strong> prothèses totales <strong>de</strong> hanche auxÉtats-Unis (plus <strong>de</strong> 50.000 reprises <strong>de</strong> PTH surune pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 15 mois) malgré les améliorationscontinuelles <strong>de</strong>s techniques chirurgicales et <strong>de</strong>stypes d’imp<strong>la</strong>nts prothétiques. On a constaté aussile coût élevé <strong>de</strong> ces reprises (plus <strong>de</strong> 50.000$ par prothèse). D’où l’importance <strong>de</strong> chercherles causes <strong>de</strong> ces reprises à fin <strong>de</strong> diminuer leurnombre et donc leur impact économique.Cette série a montré que l’instabilité/luxation<strong>de</strong> hanche était <strong>la</strong> première cause <strong>de</strong> reprise
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