28.06.2017 Views

Documents Autentiques VOL 2 Stern

FR_Documents Autentiques VOL 2 Stern

FR_Documents Autentiques VOL 2 Stern

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

Doc. 343<br />

<strong>Documents</strong><br />

consolation, une force de ne savoir [?] comment m ’imaginer là<br />

une supercherie ou une intervention diabolique. Le témoignage<br />

\ naïf / de ces enfans, le concours de l’anniversaire sont de bien<br />

fortes présomptions. Joignez à cela la guérison d ’Avignon qui m ’a<br />

été confirmée par l’aumônier des Dames de S'Joseph (4).<br />

Pardonnez, Monsieur Rousselot, si je me suis permis tous ces<br />

détails avec vous qui en connaissez mille autres. Mais je tiens<br />

beaucoup à être éclairé là dessus ; et maintenant je désirerais savoir<br />

si l’autorité de Grenoble ne s’expliquera pas autrement que par<br />

une approbation \ tacite / du pèlerinage.<br />

Dimanche 21 novembre 1847<br />

ÉVÉNEMENT. A Avallon (Yonne), guérison d’Antoinette Bollenat, âgée de<br />

trente-trois ans. Souffrant d’une tumeur dans la région épigastrique, vomissant<br />

ce qu’elle mangeait, réduite à un état d’extrême faiblesse, le Dr Gagniard,<br />

médecin traitant, avait donné son cas comme désespéré le vendredi 19 novembre.<br />

Elle fut guérie le surlendemain, dernier jour d’une neuvaine à Notre-Dame de la<br />

Salette. — Dossier (1847-1850) : EG 119 et EG 134. Les principales pièces ont<br />

été publiées dans Vérité, p. 155-166, 173-181 ; Nouveaux documents, p. 127-<br />

164 ; Nouveau sanctuaire, p. 111-112 ; GlRAY I, p. 194-268.<br />

A la suite d’une enquête canonique, cette guérison fut proclamée miraculeuse<br />

dans un jugement porté le 4 mars 1849 par Mgr Mellon Jolly, archevêque de<br />

Sens. L’année suivante, Mgr Jolly transmit à l’évêque de Grenoble un certificat<br />

du Dr Gagniard attestant qu’Antoinette Bollenat n’avait pas rechuté (*). On<br />

trouvera plus loin le rapport du médecin traitant, des extraits du rapport présenté<br />

à l’archevêque de Sens au terme de l’enquête canonique et aussi le jugement<br />

prononcé par l’archevêque (doc. 368 bis, 509 et 516).<br />

Lundi 22 novembre 1847<br />

Év é n e m e n t. Cinquième Conférence à l’évêché.<br />

345. LETTRE DE L’ABBÉ LAGIER, curé de Saint-Pierre-de-<br />

Chérennes, à l’abbé Auvergne, pro-secrétaire à l’évêché de<br />

Grenoble.<br />

Original (1 f. recto pliée 21 cm x 26) : EG 38.<br />

Note. Lagier répond au sujet d’une difficulté soulevée lors de la première<br />

Conférence, sur laquelle ont été également consultés les curés de Corps et de la<br />

Salette. Rappelons qu’en février-mars, il avait longuement interrogé les deux<br />

voyants (doc. 184 bis).<br />

(4) Le capucin espagnol Joachim Font, monté à la Salette le 8 septembre 1847 (cf.<br />

GlRAYl, p. 348 et doc. 312).<br />

(*) Certificat Gagniard, 8 juillet 1850, EG 119 ; lettre Jolly, 10 juillet 1850, EG 142.<br />

208

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!