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Documents Autentiques VOL 2 Stern

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Doc. 504<br />

<strong>Documents</strong><br />

Jeudi 8 février 1849<br />

504. LETTRE DE MÈRE GRAMAGNAC, Supérieure du couvent<br />

des Dames du Sacré-Cœur à Avignon, à l’abbé Mélin<br />

Original : EG 38.<br />

Note. Angélique, sœur de Maximin, se trouve à Avignon. Le charron Giraud,<br />

gravement malade — il mourra le 23 février — a demandé le retour de sa<br />

fille (*). Mère Gramagnac annonce au curé de Corps que la jeune fille veut<br />

retourner au pays et rapporte par la même occasion un ouï-dire à propos duquel<br />

on se reportera à la Remarque critique du doc. 497.<br />

[...] On m’a assurée que Maximin avait dit q[uel]q[ues] mots assez<br />

significatifs qui donneraient à penser que son secret a rapport aux<br />

événements dont nous sommes témoins. Mr Berlioz frère d’une<br />

des nôtres a dit à sa sœur qu’un jour parlant à Maximin de ce qui<br />

était arrivé à Rome, l’enfknt répondit on en verra bien d’autres. [... ]<br />

Mardi 20 février 1849<br />

509. RAPPORT DU VICAIRE GÉNÉRAL E. CHANVEAU à Mgr<br />

Mellon Jolly, archevêque de Sens, sur les guérisons d ’Antoinette<br />

Bollenat et de Marie-Pierrette Gagnard, survenues à Avallon,<br />

Yonne, le 21 novembre et le 8 décembre 1847<br />

Expédition signée par le vicaire général Chanveau et envoyée à l’évêché de<br />

Grenoble en avril 1849 (**) (un cahier 32 cm x 20, p [l]-[30]) : EG 119. —<br />

Texte presque en entier dans Nouveaux documents, p. 127-163 ; longs extraits<br />

dans G ir a y I , p. 227-248.<br />

Note. Lors des Conférences tenues à Grenoble en novembre-décembre 1847,<br />

la commission épiscopale avait consacré moins de quatre heures à l’examen de<br />

trois guérisons (cf. doc. 360 et 369). La commission chargée par l’archevêque de<br />

Sens d’examiner le même nombre de guérisons a regardé les choses de plus près.<br />

Après avoir écarté une guérison qui paraissait incomplète et pouvait donner prise<br />

à des critiques, elle consacra six séances à l’examen de chacune des deux autres<br />

(Vérité, p. 174 : rapport de la commission).<br />

Le vicaire général Chanveau va plus loin encore : optant délibérément pour<br />

l’attitude tutioriste, il ne présente à l’approbation de l’archevêque que la seule<br />

guérison d’Antoinette Bollenat. Comme son rapport sera effectivement suivi d’un<br />

jugement proclamant le caractère miraculeux de cette dernière guérison, nous<br />

avons cru bon d’en reproduire au moins les parties principales. Les parties omises<br />

seront remplacées par des résumés.<br />

Description du dossier des guérisons et historique. — Le 23 novembre 1847,<br />

M. Gally, curé de Saint-Martin d’Avallon, informe l’archevêque de la guérison<br />

d’Antoinette Bollenat, survenue l’avant-veille. Le 21 janvier 1848, M. Darcy,<br />

archiprêtre de Saint-Lazare d’Avallon, l’informe des guérisons de Pierrette<br />

(*) Lettre du charron Germain Giraud à la Supérieure, 20 février 1849, EG 70 (original,<br />

contenant six lignes adressées par Maximin à sa sœur).<br />

(**) Cf. la lettre de Chanveau à Mgr de Bruillard, 5 avril 1849, citée dans GlRAY I,<br />

p. 248, note.<br />

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