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Retours d’expériences Big Data en entreprise<br />

RAPPORTS : FACILITÉ D’EXPORT ET DIFFUSION MOBILE<br />

L’échange, c’est ce que permet aussi Visual Analytics avec l’édition de rapports dynamiques, qui peuvent être<br />

diffusés sur tablette auprès des « clients » de l’OTC : ministère des transports et directions régionales, réseaux<br />

d’opérateurs, gendarmerie, douanes... Thierry Ageron salue la facilité d’export, reste à voir si la diffusion mobile<br />

entrera dans la culture de ses interlocuteurs. Jusqu’ici, son équipe en est restée à des premiers tests – pour<br />

comparer deux centres sur un mois donné, par exemple. « Nous avons déjà plusieurs centaines de rapports sous<br />

format pdf, explique-t-il. Certains donnent pleine satisfaction à nos clients, il nous faut encore réfléchir avant de<br />

passer au tout-VA. »<br />

Le moment est venu en effet pour l’organisme d’étudier l’opportunité d’intégrer plus avant Visual Analytics dans<br />

les processus de production et de restitution des informations. Restera-t-il un outil parmi d’autres dans l’arsenal<br />

de l’OTC, ou peut-il à terme remplacer le portail décisionnel actuel ? Une décision à la fois technique, financière<br />

et culturelle, qui tiendra aussi compte de l’apparition récente du « petit frère » de VA, SAS® Visual Statistics...<br />

DES PERSPECTIVES MULTIPLES<br />

En attendant, une autre utilisation de la data visualisation est déjà envisagée, pour étudier les retards de présentation<br />

des véhicules au contrôle technique. « Pendant longtemps, nous n’avons pu réaliser ces analyses que sur des<br />

échantillons, et travailler sur la base en frontal était gênant. Aujourd’hui, nous pouvons travailler sur l’exhaustivité<br />

des données grâce à un ODS dédié. Reste à tester l’analyse avec SAS Visual Analytics, pour voir ce que pourra<br />

apporter la souplesse de l’outil. »<br />

Parmi les perspectives se profile aussi l’intégration de données non structurées – en reliant par exemple les informations<br />

du contrôle technique avec des données d’accidentologie venues de l’extérieur. Mais la route est encore<br />

longue !<br />

ENJEUX<br />

- Optimiser l’accès à la donnée<br />

- Améliorer la recherche de données atypiques<br />

- Produire des statistiques pertinentes et les mettre rapidement à disposition des clients<br />

SOLUTIONS<br />

- SAS® Visual Analytics<br />

« SAS Visual Analytics permet de bien voir les tendances générales, avec la possibilité de retourner en un clic à<br />

la donnée de base pour l›examiner »<br />

Thierry Ageron, responsable Etudes & Productions Statistiques du groupe UTAC/CERAM<br />

SAS - BANK OF AMERICA<br />

BANK OF AMERICA AVOIDS GRIDLOCK IN CREDIT<br />

RISK SCORING, FORECASTING<br />

Modeling portfolio credit risk is a fundamental function in banking today. Loan products, such as lines of credit,<br />

mortgages and credit cards, entail a high degree of risk for banks, and on a large scale, especially in turbulent<br />

economic periods -- defaults produce difficult situations and huge implications for both the lender and the borrower.<br />

Banks regularly employ credit-risk management processes to monitor and assess credit portfolios, to make certain<br />

estimates, and to understand their risk position and value of assets at any given time. In today’s complex and everchanging<br />

financial system, powerful, rigorous and accurate credit-risk management processes and technology<br />

play a critical role in mitigating a lending institution’s exposure.<br />

“ Without SAS, processing times would be longer, hedging decisions would be delayed and, ultimately, the bank<br />

would be behind the market.”<br />

Russell Condrich, Senior Vice President, Corporate Investment Group<br />

With approximately 59 million consumer and small business relationships, 6,000 retail banking offices and more<br />

than 18,000 ATMs, Bank of America is among the world’s leading wealth management companies and is a global<br />

leader in corporate and investment banking and trading across a broad range of asset classes.<br />

The Corporate Investments Group (CIG) manages Bank of America’s available-for-sale portfolio and is responsible<br />

for modeling and calculating the probability of default (PD) on the 9.5 million mortgages it services. In addition,<br />

the group calculates the market value, prepayment speeds and sensitivity to changes in interest rates and hedges<br />

these risks for the $19 billion mortgage-service-rights asset. Recently, CIG began assisting with the task of forecasting<br />

loan losses for the bank’s credit card portfolio.<br />

Document réalisé par la Société Corp Events - Janvier 2015<br />

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