VÃ©tÃ©rinaire(s) - OIE Africa

More documents

Recommendations

Info

Modèle de certificat sanitaire pour le commerce international des animaux aquatiques vivants © <strong>OIE</strong> (2009) - 108 -
CERTIFICATION DE PRODUITS AQUATIQUES David Huchzermeyer Consultant Clinique Vétérinaire Sterkspruit Spécialiste de la santé des animaux aquatiques Lydenburg, Afrique du Sud La sensibilisation des aspects socioéconomiques et de sécurité alimentaire a eu un impact de plus en plus important sur les produits de l’aquaculture. Une certification est exigée non seulement pour l’importation des poissons vivants, de leurs gamètes et de leurs œufs fertilisés pour l’élevage, mais aussi pour les poissons vivants et leurs produits destinés à la consommation humaine. Les introductions récentes d’herpesvirose de la carpe koi (KHV) et du syndrome ulcératif épizootique (SUE) dans la région australe de l’Afrique ont accentué les risques inhérents au commerce transfrontalier du poisson. En ce qui concerne l’Afrique du Sud, les fermiers faisant l’élevage des truites ont commencé à exporter des œufs de truite indemnes de maladie ver les pays européens et ailleurs à la fin des années 1980. Les exportations excédaient 40 millions d’œufs embryonnés par an. Chaque année un nombre important d’œufs embryonnés de salmonidés sont importés en Afrique du Sud en provenance des pays de l’hémisphère nord avec le même niveau de certification que l’Afrique du Sud. A l’heure actuelle, des carpes koi vivantes (Cyprinus carpio) certifiés indemnes de maladie sont également exportés vers l’Union européenne (UE). Toutefois, un grand nombre de carpes koi sont toujours importés en Afrique du Sud en provenance de plusieurs pays ayant une certification minimale et dans bien des cas, un état sanitaire douteux. L’extension rapide de l’aquaculture dans des domaines nouveaux et uniques nécessite l’adaptation de la législation traditionnelle. Un grand nombre d’ormeaux d’élevage vivants sont actuellement exportés dans des pays de l’Extrême-Orient. Les marchés lucratifs de l’UE exigent une adhérence plus stricte aux garanties de sécurité alimentaire, et sans programme d’hygiène sanitaire acceptable pour les crustacés et mollusques, ces marchés demeureront inaccessibles. Pour que l’aquaculture régionale puisse être concurrentielle dans les marchés internationaux, les pays exportateurs doivent pouvoir répondre aux exigences de certification des pays importateurs. La charge de la preuve incombe au pays exportateur, et les garanties contre l’introduction de maladies indésirables ainsi que l’assurance que les produits de l’aquaculture sont sans danger pour la consommation humaine sont devenues incontournables. C’est pourquoi il est impératif pour le pays importateur de reconnaître l’autorité compétente agréée du pays exportateur. Ceci implique une compétence dans les procédures de certification requises et la disponibilité d’une capacité de diagnostic et de surveillance dans le pays exportateur. Les connaissances particulières et l’expérience concernant les maladies des animaux aquatiques peuvent ne pas être disponibles au sein de l’autorité compétente. Il est nécessaire d’identifier des spécialistes privés qui seront cooptés par l’autorité compétente pour aider à accomplir ces tâches. Des autorités compétentes attitrées doivent en plus vérifier la conformité avec la législation concernant l’alimentation humaine et animale, la santé animale et les règlements concernant le bien-être, l’utilisation des médicaments vétérinaires et les analyses de leurs résidus dans les poissons et les produits de l’aquaculture devant être exportés. Le degré de réciprocité et d’harmonisation de la législation entre les pays faisant du commerce entre eux détermine les niveaux de garantie requis pour les exportations. - 109 -
Page 1:
Organisation Mondiale de la Santé
Page 4 and 5:
Organisation Mondiale de la Santé
Page 6 and 7:
IPPC International Plant Protection
Page 8 and 9:
- 6 -
Page 10 and 11:
- 8 -
Page 12 and 13:
- 10 -
Page 14 and 15:
Il y a toutefois quelques signes en
Page 16 and 17:
ALLOCUTION DE BIENVENUE DU GOUVERNE
Page 18 and 19:
DISCOURS D’OUVERTURE DU MINISTRE-
Page 20 and 21:
- 18 -
Page 22 and 23:
Le fonctionnement de l'OIE est bas
Page 24 and 25:
Le Délégué doit aussi désigner,
Page 26 and 27:
Dans les échanges internationaux p
Page 28 and 29:
Pour chaque compétence critique, l
Page 30 and 31:
- 28 -
Page 32 and 33:
- 30 -
Page 34 and 35:
Les maladies aquatiques peuvent êt
Page 36 and 37:
LE SECTEUR DES PECHES ET DE L’AQU
Page 38 and 39:
(vi) La Namibie affiche des exporta
Page 40 and 41:
Un bref examen des liens et des con
Page 42 and 43:
Le Service de Pêche et d'Aquacultu
Page 44 and 45:
ACTEURS REGIONAUX : AASA (L’AFRIQ
Page 46 and 47:
ACTEURS REGIONAUX : SARNISSA (AFRIC
Page 48 and 49:
Pour que les nations puissent trait
Page 50 and 51:
AusAid, dans le cadre du Projet de
Page 52 and 53:
Tableau 3. Nombre d’échantillons
Page 54 and 55:
PAYS HOTE : SANTE DES ANIMAUX AQUAT
Page 56 and 57:
- 54 -
Page 58 and 59:
Tableau 4. Maladies des animaux aqu
Page 60 and 61: NOTIFICATIONS IMMEDIATES, RAPPORTS
Page 62 and 63: AUTORITES COMPETENTES : VETERINAIRE
Page 64 and 65: INCORPORER LES DIRECTIONS DES PECHE
Page 66 and 67: - 64 -
Page 68 and 69: - 66 -
Page 70 and 71: SECURITE SANITAIRE ALIMENTAIRE EN P
Page 72 and 73: CHAPITRES CONCERNANT LE BIEN-ETRE A
Page 74 and 75: ETUDE DE CAS 2 : FRANCISELLA SPP :
Page 76 and 77: Tableau 5. Espèces de poissons inf
Page 78 and 79: Des poissons vaccinés sont toujour
Page 80 and 81: - 78 -
Page 82 and 83: - 80 -
Page 84 and 85: EGYPTE Abdelwahab Ahmed Point focal
Page 86 and 87: Contraintes et défis en vue du res
Page 88 and 89: NIGERIA Ganiyat Asabi Modupeola Ogu
Page 90 and 91: Les communautés rurales souffrent
Page 92 and 93: - 90 -
Page 94 and 95: APPUI DIAGNOSTIQUE FOURNI PAR LES L
Page 96 and 97: SURVEILLANCE DE LA SANTE DES ANIMAU
Page 98 and 99: La stimulation de l’immunité par
Page 100 and 101: - 98 -
Page 102 and 103: - 100 -
Page 104 and 105: Vu que l’OMC n’est pas une orga
Page 106 and 107: Pour des échanges commerciaux d’
Page 108 and 109: DEFINIR DES MESURES SANITAIRES D’
Page 112 and 113: Les obstacles climatiques et géogr
Page 114 and 115: LA PRATIQUE DES EXIGENCES D’IMPOR
Page 116 and 117: - 114 -
Page 118 and 119: Trois groupes ont été constitués
Page 120 and 121: Témoignage « …Monsieur, Je tena
Page 122 and 123: - 120 -
Page 124 and 125: 11:50 - 13:00 Acteurs régionaux :
Page 126 and 127: Vendredi 18 juin 2010 Excursion : v
Page 128 and 129: GLOSSAIRE DES TERMES 2 Abattage san
Page 130 and 131: • conçu de façon à être étan
Page 132 and 133: Période d'infectiosité désigne l
Page 134 and 135: Unité épidémiologique désigne u
Page 136 and 137: NOMS SCIENTIFIQUES ET POPULAIRES DE
Page 138 and 139: LISTE DES PARTICIPANTS : POINTS FOC
Page 140 and 141: 16 Dr Paul Gichohi MBUTHIA Recherch
Page 142 and 143: 34 Mr Victor PEA Autorité compéte
Page 144 and 145: 49 Dr Slim BERRABI Autorité vété
Page 146 and 147: 61 Ms Cécile SPOTTISWOODE Interpr
Page 148 and 149: 77 Dr Faouzi KECHRID Formateur/Pré
Page 150 and 151: INFORMATIONS GENERALES SUR LE SEMIN
Page 152 and 153: Maputo, au Mozambique, visant les p
Page 154 and 155: 7. Favoriser le dialogue entre les
Page 156 and 157: Carte des Membres de l’OIE prése
Page 158 and 159: Article 2 Droits et obligations fon
Page 160 and 161:
différentes, si de telles distinct
Page 162 and 163:
3. En vue de permettre aux pays en
Page 164 and 165:
ANNEXE A DEFINITIONS 6 1. Mesure sa
Page 166 and 167:
ANNEXE B TRANSPARENCE DES REGLEMENT
Page 168 and 169:
10. Les Membres désigneront une se
Page 170:
i) qu'il existe une procédure pour
show all

VÃ©tÃ©rinaire(s) - OIE Africa

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?