Le rapport d'étude complet - Aménagement Numérique des Territoires

3.2.3.6 Répartition entre les différents modes d’adduction
Deux villes, de 120.000 et 250.000 habitants, ont été analysées. Les modes de pose du câble
sont les suivants :
Mode de raccordement des logements 100% 100%
- Aérien 55% 8%
- Façade 10% 5%
- Souterrain (individuel) 12% 41%
- Intérieur (gaine ou goulotte) 23% 45%
Le tableau ci-après permet de comparer les structures d’habitat de ces deux villes :
Imm à 1 logement 57% 32%
Imm 2 à 4 logements 14% 25%
Imm 5 à 8 logements 7% 17%
Imm 9 à 12 logements 10% 14%
Imm 13 à 24 logements 6% 9%
Imm 25 logements et + 6% 4%
(Source : entretiens Avisem)
On constate que, bien qu’ayant des profils d’habitat (pavillons, petits collectifs, grands
collectifs) différents mais relativement proches, les modes de pose sont radicalement
différents, cette différence étant principalement due à l’habitat pavillonnaire principalement
en aérien dans un cas et majoritairement en souterrain dans l’autre cas.
Il ressort de cet exemple qu’il n’y a donc pas de corrélation directe entre le mode de
raccordement et le type d’habitat (collectif ou individuel) du moins pour les immeubles de
faible capacité (1 à 8 logements).
3.2.3.7 Réseau d’antennes collectives
On notera le cas particulier de ces réseaux de zones d’ombre dits « réseaux
communautaires », exploités soit par TDF, soit par les associations syndicales de lotissements
qui en ont confié la maintenance à un antenniste local ou d’autres structures (citons le cas
de l’EPAD où le réseau dessert avec les 6 chaînes de TV environ ; 10.000 logements dans le
quartier de la Défense).
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