Q Q Q Q Q TECHNIQUES EDUCATIVES INFORMATIQUE COMMUNICATION - MANAGEMENT CULTURE - DEVELOPPEMENT HANDICAP - GERONTOLOGIE CLINIQUE DURABLE ET CITOYENNETE SERVICE A LA PERSONNE Formation à la Bienveillance q «L’idéal thérapeutique est quelque chose d’exigeant et la pratique gériatrique va en permanence prendre en défaut l’image de soignant idéal pour renvoyer à une image de mauvais soignant» Louis Ploton. Aujourd’hui la plupart <strong>des</strong> professionnels acceptent d’aborder la question <strong>des</strong> bonnes pratiques afin de prévenir <strong>des</strong> comportements inadaptés ou maltraitants et cette question est bien souvent intégrée dans l’analyse du fonctionnement interne et résulte d’une démarche active de formation à la bientraitance. Toutefois, il convient de se pencher sur le sens du mot bientraitance quand souvent la vieillesse est synonyme de déchéance et de maladie d’Alzheimer. Sans doute faut-il s’interroger sur les principes et les valeurs humaines qui sous-tendent le travail en gérontologie et en gériatrie. Les professionnels sont eux aussi parfois démunis, l’organisation du travail ne leur permet pas toujours d’envisager leur action de manière empathique. Il s’agit donc d’aider les professionnels, à envisager et à mettre en œuvre un nouvel équilibre dans leurs relations avec les personnes accueillies ou aidées quelle que soit leur dépendance. Promouvoir une éthique et une approche humaniste de l’accompagnement <strong>des</strong> personnes hébergées en institution où accompagnées à domicile, nécessite d’être en accord avec soi-même, d’avoir suffisamment de sécurité intérieure et de confiance en soi. Il convient d’être dans le respect et la bienveillance de soi, de l’autre et d’avoir une attitude authentique d’empathie. q l Concept et définition, pré requis, culture du respect : Identifier les valeurs qui sous-tendent l’action <strong>des</strong> professionnels. Repérer les concepts de bientraitance, de situations de maltraitance. Comprendre et reconnaître les phénomènes vieillissement et du handicap et ses répercussions sur l’image de soi de la personne âgée. Repérer les situations mal traitantes au regard <strong>des</strong> recommandations de l’ANESM. Les outils d’accueils (contrat de séjour, livret d’accueil...) sont-ils explicites sur la question du risque et <strong>des</strong> libertés ? Appréhender la réalité de sa responsabilité dans le refus de soins. L’organisation du travail, la cohérence et l’esprit d’équipe comme outil de prévention à la maltraitance. l La prise en compte <strong>des</strong> liens familiaux : La personne âgée dans les relations avec la famille. La place de la famille dans l’accompagnement <strong>des</strong> soins. Le respect <strong>des</strong> cultures et <strong>des</strong> habitu<strong>des</strong> de vie de chacun. l Pour mieux communiquer, être à l’écoute <strong>des</strong> émotions : Être à l’écoute de ses propres émotions pour savoir entendre et mieux communiquer. l Soigner la relation par les outils de la communication non verbale : le toucher, le regard, les attitu<strong>des</strong> empathiques. l Penser une organisation du travail qui favorise la relation d’aide pour que l’acte technique soit accepté. q l Cette formation s’attache à aider les professionnels à prendre en compte l’environnement <strong>des</strong> personnes dépendantes et à construire de nouvelles relations basées sur l’expression <strong>des</strong> émotions avec les personnes accueillies ou aidées pour leur donner une place de partenaire dans l’accompagnement afin de leur offrir <strong>des</strong> conditions de vie en accord avec leurs besoins et leurs attentes. - Réfléchir sur la mise en application <strong>des</strong> notions de respect, droit, dignité. - Comprendre les concepts de bientraitance, bienveillance, compassion. - Reconnaître les différentes formes de maltraitances. - Identifier et prévenir les situations à risques. - Acquérir <strong>des</strong> attitu<strong>des</strong> individuelles et collectives de «bientraitance». - Comprendre l’importance <strong>des</strong> émotions dans la relation d’aide. q L’expérience professionnelle et ses mises en situation sont valorisées en complémentarité d’apports théoriques d’analyse <strong>des</strong> pratiques ou d’étu<strong>des</strong> de cas à partir de documents, de DVD et d’ouvrages «C.Rogers, P. Fustier...». q Une première évaluation «à chaud» est réalisée à la fin du stage, celle-ci permet de mesurer la satisfaction <strong>des</strong> stagiaires à l’égard de la formation. Une évaluation «à froid» est recommandée 3 à 6 mois après la fin de la formation, elle permet de mesurer l’impact de la formation sur les pratiques professionnelles. q Argumentaire Contenu Objectif Méthodologie Évaluation Intervenante cf p.2 u Marie Jeanne VERCHERAT q Dates : Du 27/06 au 01/07/11 Lieu : Saint-Etienne (42) Durée : 35 heures Coût : 968 e INTER ou INTRA Coordonnateur(trice) développement de réseau local - LICENCE PROFESSIONNELLE Inscrite au Répertoire National <strong>des</strong> Certifications Professionnelles q Objectif de la licence L’objectif de la licence professionnelle Coordonnateur développement de réseau local est de former <strong>des</strong> intervenants sociaux dans le domaine associatif à vocation sociale et de loisirs, et au sein <strong>des</strong> services enfance et jeunesse <strong>des</strong> communes. Ces professionnels devront être capables de participer à un réseau social local, de le gérer et de le développer en s’appuyant sur une double expertise : l La prise en compte et la dynamisation de réseaux urbains ou ruraux dans leurs dimensions historique, économique et sociale. l La conduite de projets adaptés au contexte dans une dynamique de développement local. La spécificité principale de l’assistant de développement local est d’être capable de fédérer dans l’action l’ensemble <strong>des</strong> partenaires, internes et externes. Il se situe dans une logique transversale vis-à-vis <strong>des</strong> intervenants <strong>des</strong> champs professionnels concernés. Cette formation se construit sur l’agencement de quatre fonctions à professionnaliser : - diagnostic local - conduite de projets - publics, communication et négociation - gestion et management. Des professionnels du champ de l’intervention sociale participe activement à la formation aux côtés <strong>des</strong> enseignants du département de sociologie. u Ce professionnel, occupant <strong>des</strong> positions intermédiaires dans l’organisation, peut prétendre aux métiers suivants : l Agent de développement local (23211) l Conseiller / conseillère en développement local l Responsable de projet d’animation et de développement l Chargé/chargée de mission développement, social, économique et culturel l Chargé/chargée de mission (développement local) l Animateur/animatrice de régie de quartier (chef de projet social) l Formateur-accompagnateur / formatrice accompagnatrice d’insertion (action sociale) l Formateur-accompagnateur / formatrice accompagnatrice d’insertion (à dominante action sociale) - 23151 l Coordonnateur social /coordonnatrice sociale - 23112 l Animateur social /Animatrice sociale maison de retraite l Animateur social /Animatrice sociale en foyer d’hébergement l Co<strong>des</strong> <strong>des</strong> fiches rome les plus proches : 23211 - 23112 - 23151 u Métiers actuels et futurs visés A quels publics d’étudiants la licence professionnelle s’adresse-t-elle ? La licence professionnelle Coordonnateur de développement de réseau local s’adresse essentiellement à <strong>des</strong> étudiants venant de : l DEUG Sciences Humaines et Sociales, Droit, AES, Sciences économiques. l DUT Carrières sociales, GEA, GACO... l DEUST options compatibles avec le champ de cette licence professionnelle. l BTS Economie sociale et familiale. l Etudiants issus d’autres filières de formation (de niveau DEUG, BTS ou DUT, ou pouvant bénéficier de validation d’acquis de l’expérience) et pouvant justifier d’une expérience associative bénévole ou salariée en lien avec <strong>des</strong> institutions sociales ou du travail social. l Titulaires d’un diplôme ou titre homologué par l’Etat au niveau III ou reconnu de même niveau par une réglementation nationale. Un stage d’une durée de 14 semaines est prévu. Pour les étudiants en formation continue, possibilité d’effectuer le stage selon <strong>des</strong> conditions fixées entre le tuteur de stage, le formateur référent et l’étudiant. Le projet tutoré devra obligatoirement se dérouler sur un autre terrain. A - une première période de 6 semaines B - une seconde période de 8 semaines www.afore-formation.com 50
Culture - Développement durable et Citoyenneté