La L.D.F. (Ligue des Diabétiques de France), fondée en 1940, reconnue d’utilité publique en1984, défend <strong>le</strong>s intérêts des diabétiques, la promotion de <strong>le</strong>ur éducation permanente, ladiffusion de toutes informations susceptib<strong>le</strong>s d’y contribuer.Sa revue trimestriel<strong>le</strong> : Diabète et NutritionContact :1 rue Ségure64000 PAUTél. : 05 59 32 36 01Fax : 05 59 72 97 75Internet : pau.liguediabetiquesfrance@worldonline.frLe diabète en ligne• Glossaire de la Fondation pour la Recherche Médica<strong>le</strong>http://www.frm.org/Scientifique/Sujetsfond/glossair.htm• Site Web Diabsurfhttp://www.diabsurf.free.fr• Site Web Mellitishttp://www-sante.ujf-grenob<strong>le</strong>.fr/SANTE/alfediam/mellitis.html• Site Web Le diabètehttp://www.chcb.qc.ca• Site Web de l’Association Canadienne du Diabètehttp://www.diabetes.ca• Site Web AJDhttp://www.ajd-educ.org• Site Web Mellodiahttp://www-sante.ujf-grenob<strong>le</strong>.fr/SANTE/mellodia/mellodia.htmLe suivi glycémique des patients diabétiques de type IILes objectifs glycémiques se traduisent en objectifs d’HbA1C (ANAES - Stratégie de prise encharge des patients diabétiques de type II à l’exclusion de la prise en charge des complications– Recommandations et références professionnel<strong>le</strong>s mars 2000)Tab<strong>le</strong>au à insérerDéfinition de l’obésité et du surpoids chez l’adulte (International obesity task force. Aboutobesity London : IOTF ; 1999).Le suivi des facteurs de risqué cardio-vasculaire (Stratégie de prise en charge des patientsdiabétiques de type II à l’exclusion de la prise en charge des complications –Recommandations de l’ANAES, mars 2000 – annexe 1)Tab<strong>le</strong>au à insérer102
InformationCampagne de sensibilisation en faveur de la recherche en diabétologie :Dépassement dangereux : trop de sucre dans <strong>le</strong> sang = danger pour <strong>le</strong>s diabétiques (Campagne2002, presse, radio, télévision)BIBLIOGRAPHIE1. D’Ivernois J.F., Gagnayre R., 1995, Apprendre à éduquer <strong>le</strong> patient, Paris Vigo: 200 p2. Sandrin Berthon, B, 2000, Pourquoi par<strong>le</strong>r d’éducation dans <strong>le</strong> champ de la médecine ? :Sandrin Berthon, B, L’éducation au secours de la médecine, Paris, PUF 196 p3. Bury J.A., 1988, Education pour la santé : concepts, enjeux, planifications. Bruxel<strong>le</strong>s : DeBoeck-Wesmael : 235 p4. Sandrin Berthon, 2001, Eduquer un patient : comment être plus perfomant ? <strong>le</strong> rô<strong>le</strong> dupraticien – médecine généra<strong>le</strong> – tome 1 n° 549 p : 1727-17305. Albano M.J., D’Ivernois J.F., 2001, Quand <strong>le</strong>s médecins se font pédagogues, quel typepédagogique…6. Assal P.H., 1996, Traitement des maladies de longue durée : de la phase aiguë au stade dela chronicité. Une autre gestion de la maladie, un autre processus de la prise en charge,Encyclopédie médico-chirurgica<strong>le</strong> 25-005-A10, Paris Elsenier7. Dépuis M., Pestiaux D., Troc<strong>le</strong>t R., ?, Le médecin face au malade, être ou ne pas être enbonne santé ? p« Celui qui n’a pas de projets n’a pas d’avenir ». (André de Peralti)<strong>Mo</strong>ntaigne : « Je ne me souviens pas de ce que l’on m’a enseigné mais de ce que j’ai appris. »Antoine Prost : « Les savoirs ne se transmettent pas, ils se reconstruisent et chacun <strong>le</strong> fait pourson compte, à sa façon et suivant son propre rythme. » (éloge des pédagogues)Proverbe chinois : « Celui qui sait qu’il ne sait pas, éduque-<strong>le</strong>, celui qui sait qu’il sait, écoute<strong>le</strong>,celui qui ne sait pas qu’il sait, éveil<strong>le</strong>-<strong>le</strong>. »Confucius - proverbe chinois : « J’entends et j’oublie, je vois et je me souviens, je fais et jecomprends.»103
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