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7. Dépuis M., Pestiaux D., Troclet R., ?, Le médecin face au malade, être ou ne pas être enbonne santé ? p***Q. soignantLa communication, c’est écouter autrui qui impose un renoncement à parler, à se justifier, àconvaincre, à répondre, c’est entendre, dire et ne pas dire. Les mots ne sont plus nécessaires,c’est l’empathie.ChiffresPourquoi le personnel soignant ne s’est-il pas prêté à cette démarche de réflexion sur leurssoins et un projet éducatif dans le service ?Quelques hypothèses : absence d’opinion ? désintérêt ? manque de conviction ? personnesnon concernées ? –« Encore un questionnaire ? et pourquoi faire ? » - un manque de temps oude disponibilité ? - « Dix années se sont écoulées », c’est peut-être une complication.Fct ds projet éducatifDans le travail d’éducation du patient, il ne faut pas négliger les compétences pédagogiquesspécifiques requises de la part des prestataires de soins.Diét. Pb pr patientLes autorités de santé ont mis en place des programmes visant à améliorer l’état de santé del’ensemble de la population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs : la manière demanger. Il s’agit du Plan National Nutrition Santé (P.N.S.S.) mis en place en 2001 sur lapériode 2001/2005.Patient notation de l’éq. soign« La maladie de Sachs » illustre bien que le médecin est examiné par le patient. Le patient vajuger son médecin sur des critères affectifs, émotionnels plus inconscients que raisonnés.Q patient contents équilib glycEn fait, beaucoup de patients sont convaincus du fait que leur diabète est bien équilibré. Ilspeuvent avoir développer des objectifs quelque peu différents de ceux de l’équipe soignante.123