SANS FAMILLE

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PREMIÈRE PARTIE– 6 –
IAu village.Je suis un enfant trouvé.Mais jusqu’à huit ans j’ai cru que, comme tous les autresenfants, j’avais une mère, car lorsque je pleurais, il y avait unefemme qui me serrait si doucement dans ses bras, en me berçant,que mes larmes s’arrêtaient de couler.Jamais je ne me couchais dans mon lit, sans qu’une femmevînt m’embrasser, et, quand le vent de décembre collait la neigecontre les vitres blanchies, elle me prenait les pieds entre sesdeux mains et elle restait à me les réchauffer en me chantantune chanson, dont je retrouve encore dans ma mémoire l’air, etquelques paroles.– 7 –
Page 1 and 2: Édition du groupe « Ebooks libres
Page 3: XIX Lise. .........................
Page 9 and 10: Pour trouver de beaux arbres, il fa
Page 11 and 12: trais au pays il m’a demandé de
Page 13 and 14: Mais ce n’était pas seulement no
Page 15 and 16: Si j’avais osé, j’aurais deman
Page 17 and 18: Alors mère Barberin décrocha de l
Page 19 and 20: IIUn père nourricier.Je m’étais
Page 21 and 22: Je n’avais pas osé quitter la pl
Page 23 and 24: Comme cela se rencontre dans un gra
Page 25 and 26: - Enfin je voulais faire ce que tu
Page 27 and 28: - Peut-être. Mais ce qu’il y a d
Page 29 and 30: - Je ne te gronde pas ; alors tu as
Page 31 and 32: - Oui, tout ce que tu voudras. Mais
Page 33 and 34: IIILa troupe du signor Vitalis.Sans
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Page 37 and 38: - Lui-même.- Et vous croyez que l
Page 39 and 40: - Allons, n’aie pas peur, petit,
Page 41 and 42: - Enfin, dit le vieillard, tel qu
Page 43 and 44: - Il est sûr que pour cela les jam
Page 45 and 46: gravement six pas en avant puis apr
Page 47 and 48: Il est vrai que si je refusais, je
Page 49 and 50: J’aurais voulu l’interroger, ma
Page 51 and 52: chassèrent les doutes qui s’agit
Page 53 and 54: C’était ce que je venais voir to
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Vitalis venait me chercher, et c’
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Ah ! la pauvre maison, il me sembla
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Soit illusion du souvenir, soit ré
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Mère Barberin ne resta pas longtem
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VEn route.Pour acheter les enfants
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Sans doute, tout cela était vrai ;
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- Voilà un cri du cœur, dit Vital
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ser entrer il nous imposa la condit
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Je l’entendis ouvrir son sac.- Je
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VIMes débuts.Le lendemain nous nou
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Comment une aussi belle chose que d
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J’ai entendu dire que c’était
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- Dans les comédies ils en ont. Tu
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- Cela t’ennuie-t-il ?- Non, cela
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ire.Ce que j’entendais me parut s
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La première partie de la représen
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Ce fut ainsi que jouant en sourdine
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Ah ! il savait se servir d’une se
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Je m’étais assez enhardi avec mo
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Il est vrai cependant qu’on m’a
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Comment lire sur cette planche, et
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Tout d’abord j’avais fait des p
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pleurer ou bien j’ai envie de rir
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Ce jour-là il ne fit pas claquer s
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VIIIPar monts et par vaux.Nous avio
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- Nous causerons de cela plus tard.
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- Oh ! l’histoire du roi, je vous
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qui chantent dans les arbustes accr
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Lorsque nous arrivâmes au pont qui
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laient sous la pression du vent, se
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le, après tout, puisque Vitalis m
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Mais si vite que j’allasse, la b
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Puisqu’il parlait, comment avait-
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C’étaient, pour le plus grand no
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Il refusa donc d’obéir à l’ag
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Vitalis encouragé par ces applaudi
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Il ne me plaisait guère de m’en
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Aussi en me voyant seul avec Joli-C
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Il me sembla que, devant cette atti
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une chose, tantôt sur une autre, s
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Ce ne fut pas mon maître qu’on j
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convaincu d’injures et de voies d
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- Cent francs.- Deux mois, cent fra
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- Ah ! tu m’ennuies à la fin. Je
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- Vous prendrez bien un pain de deu
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chef, mais je ne me croyais pas ass
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chiffre de la recette, et je me dis
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Je commandai à Zerbino et à Dolce
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- Comme nous n’avons pas de permi
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Il n’y avait donc qu’à marcher
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une grande langue douce et chaude s
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ant à toutes jambes nous fûmes bi
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Justement l’endroit où je m’é
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Bien que Zerbino fût coupable et n
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- C’est pour faire travailler mes
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- Arthur voudrait voir vos acteurs
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Pendant que je parlais, Arthur joua
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- Oui, sur ce bateau : mon fils est
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XIIMon premier ami.La mère d’Art
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lement, on avait conseillé un autr
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presque toujours, une bonne litièr
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elle s’étalait en nappes transpa
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Elle me paraissait bien sévère, m
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Comme ils ne regardaient pas de mon
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- Oh ! non.- Ordinairement qui est-
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En moins d’un quart d’heure il
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Arthur s’était pris pour moi d
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nous intéresser et que nous pouvio
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joie, mais enfin je ne pourrais plu
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Barberin. N’aimerais-je donc, ne
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faudra étudier, prendre de la pein
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les choses et je me résignerais, s
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Alors, je lui racontai comment j’
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Ce fut madame Milligan qui répondi
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Mais je n’en entendis pas davanta
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Plus d’une fois, dans nos longues
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Qu’avait-il fallu ?Tout d’abord
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Justement pour accroître mon dése
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Nous partîmes néanmoins.Vitalis t
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Les nuages qui venaient du nord-oue
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Pour moi je regardais droit devant
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qui, dans les circonstances où nou
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Cependant, si frugal qu’eût ét
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pieds, de sorte que lorsqu’on reg
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Mais lorsque notre dîner fut termi
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Je demeurai encore quelques instant
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- Eh bien, quoi ? s’écria Vitali
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La réverbération de la neige ne d
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Nous primes une poignée de branche
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Mais quelle espérance raisonnable
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J’allais arriver à lui et déjà
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Car je ne pouvais m’innocenter :
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La couverture bien chauffée, Joli-
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Il me semblait que Joli-Cœur avait
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- Congestion, dit il.Et il secoua l
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Bien entendu, je n’étais pas res
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Mais nous n’étions pas dans une
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parler qu’il n’eût assurément
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Ce fut à moi de paraître le premi
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À ce moment Vitalis qui, lui aussi
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- Pardonnez-moi de vous avoir déra
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Cette main était froide.À ce mome
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Le silence m’était extrêmement
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aussi à la couleur de la neige cou
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Je tournai les yeux vers Vitalis. L
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- Il est vrai.- Les gamins se moque
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Je pouvais tomber sur un de ces ter
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Où donc étaient mes passants vêt
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Après avoir marché assez longtemp
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que je le vois encore devant moi ;
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L’enfant ne répondit pas à cett
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- J’étais tout seul avec Garofol
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« Voilà un enfant qui va mourir d
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coup de bâton sur la tête. Pour c
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Mais celui-ci, au lieu de donner ce
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Lorsque Garofoli fut assis, un autr
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- Il me manque un sou.- Ah ! il te
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avec deux déjà condamnés aux lan
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Tout cela s’était passé si rapi
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XVIIILes carrières de Gentilly.Tan
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Nous voilà donc en route dans les
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- Ah ! si j’avais tes yeux ! dit
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Vitalis regarda, mais bien que la l
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Ce que je disais était facile à v
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là chaudement dans leurs draps ava
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À peine m’étais-je blotti contr
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XIXLise.Quand je me réveillai j’
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dans toute leur étendue les parole
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Ils étaient assis devant une table
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- Où veux-tu aller ? dit le père.
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aussi bien que Vitalis et faire pla
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- Bien certainement, j’aimerais m
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Cette jolie petite Lise serait ma s
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de trente-cinq ans, cependant avec
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ces de Garofoli, mais je me demanda
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XXJardinier.On devait enterrer mon
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Ma maladie fut longue et douloureus
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elles glissades en nous lançant su
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si peu à mon existence vagabonde d
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tout gagner le pain de chaque jour
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Adopté par le père Acquin et trai
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Ce ne fut point par ma faute, mais
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- Et qu’est-ce qu’elle disait ?
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auraient été passées au moment d
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- Déjà !Lise ne dit rien, mais el
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temps des bruits de vitres cassées
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Qu’aurait-il dit ?C’était un d
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Mais d’un geste il me retint :- N
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voulait pas se sauver, il pâlit co
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C’était une maîtresse femme que
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Je sentis bien qu’il n’y avait
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Pour nous comprendre, c’était g
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Au moment où le roulement de la vo
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- Si tu veux rester, dit-il, je te
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SECONDE PARTIE- 363 -
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Moi je me disais : « Ah ! si j’a
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- Cela n’était pas possible, mon
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quand on s’était vu chassé de v
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- Tu comprends que je n’ai pas be
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Je la lui montrai ; il la regarda a
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- C’est vous, dit-il, qui êtes v
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- Et vous ? demanda Mattia, que fai
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Quelle différence avec la journée
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- plutôt que d’affronter un pare
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- Sans doute : tu ne sais donc pas
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- Pendant que je vais arranger mon
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Fenesta vascia e patrona crudele…
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On avait sorti une charrette de des
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sans trop d’imprudence, me livrer
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Ce que je voulais, ce n’était pa
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- Allons à Varses, dit-il, les min
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Mattia était presque aussi content
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cend jusqu’à la rue : tout est n
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Elle parlait avec une volubilité e
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n’en fit rien et me répéta simp
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- Nous t’attendions depuis longte
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leurs ouvriers trouvent à prix de
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un autre escalier, puis une autre
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C’était là l’aspect de la min
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IIIRouleur.Le métier de mineur n
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- Pas trop lourd, puisqu’Alexis l
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girent jamais, et même quand je fu
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tarderait pas à être inondée. Au
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petite pension, car cet accident lu
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lui, n’en sois pas plus fier pour
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feuilles de papier d’un herbier.
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IVL’inondation.Le lendemain matin
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- Écoutez donc.Mon accent était t
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n’était pas une eau tranquille,
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Alors reprenant conscience de la vi
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- Pour sûr c’est une inondation,
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- Regarde ta lampe.- Eh bien, elle
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Le bruit de l’eau avait cessé, s
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- Il n’y a qu’à attendre, dit
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notre sauvetage ? Ceux-là seuls qu
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- Écoutez, dit le magister, puisqu
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utiles pour retenir nos déblais et
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VDans la remontée.Le silence s’
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Je fouillai dans ma poche où j’a
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Celui-ci demanda la lampe et regard
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- Ou bien dans la ville on croit qu
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- Jamais nous ne pourrions vivre hu
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- Tu es un bon garçon, dit-il.- Ma
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Mais il se dégage de leur étreint
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secouées par un tremblement de ter
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Le bruit des bennes d’épuisement
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Je n’avais pas pensé à cela qua
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- Il faut passer une veste à Rémi
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VISauvetage.Notre position était d
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Assurément, le magister s’était
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- Est-il bête avec sa sainte Vierg
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Je ne sais si c’était l’influe
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- Il est trop tard : tu te repens p
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Si tout ne marcha pas bien et vite
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Tous deux restèrent silencieux et
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l’inondation se trouvaient dans u
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tances où la lumière serait indis
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- Vous aviez le délire, dit l’on
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- Qu’est-ce ?- Je ne sais pas ; m
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- N’as-tu personne à embrasser ?
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Je voulus descendre au bas de notre
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De notre remontée aux échelles la
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- Arrive, arrive, me dit le magiste
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- Combien ont été sauvés ? deman
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le de me soulever sur le bras ; je
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Et il y en avait d’autres qui dé
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VIIUne leçon de musique.Je m’ét
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Pendant qu’on essayait de me rete
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Il fallait donc nous diriger vers C
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Alors, quand je ne savais pas ce qu
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Le maître, le vrai maître qu’il
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- Bien sûr ; il reçoit tout le mo
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Bientôt Espinassous eut fini de ra
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Et Mattia joua ainsi un morceau sur
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VIIILa vache du prince.J’aimais b
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À l’école de Garofoli, qui expl
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parer ? Cela était grave. Quelle r
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Sur six que nous étions alors deux
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Je ne savais comment remercier ce b
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Si le vétérinaire ne nous avait p
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- Voilà une vache du Rouergue qui
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D’un coup de coude le vétérinai
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Mais la joie d’avoir gagné ces s
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Naturellement nous eûmes fini de m
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À mesure que nous avancions, le no
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Alors ce fut à moi de le consoler
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pour savoir si nous ne mentons pas,
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J’en éprouvai bientôt une plus
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Aussitôt que le juge de paix fut p
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IXMère Barberin.Notre nuit sur le
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En passant par la rue de ce village
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- Mais nous irons à Lucca quand no
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À ce moment, un petit flocon de fu
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pour rentrer, tu auras le temps de
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- Si tu voulais, dis-je à mère Ba
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- Les bons garçons !Cela me fut un
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semblait-il, devait peiner celui-ci
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une idée qu’il n’était pas fa
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La troisième crêpe est rissolée,
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Rassurée elle revint vers moi et
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- Ce fut ce que je demandai comme t
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Ma famille !Quand le sommeil m’av
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que maçon revenant au pays : ces a
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- Je trouve, dit-il enfin, que les
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Nous voilà de nouveau sur les gran
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ment, parce que nous allons être s
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Si nous n’avions pas été oblig
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tante, tandis qu’un homme, son on
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XIBarberin.Si je n’avais pas eu h
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que celui au milieu duquel nous nou
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- Non.- Eh bien, moi, je n’ai pas
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- Oui à qui ; c’est à Garofoli.
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- Nous n’avons pas ça ! connais
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Je remerciai et sortis, mais avant
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Lorsque je lui eus adressé ma ques
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- En vlà une histoire !En ce momen
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Ils ne savaient rien. Et bien évid
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eût caché à tous le nom et l’a
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Mattia ne tarda pas à paraître :-
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Si l’hôtel du Cantal était une
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l’adresse qu’on lui donnerait e
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- Rien, ou tout au moins peu de cho
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Il les connaissait si bien, les bon
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- Puisque la lettre de Barberin dit
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- Le jeune monsieur, - c’était m
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étranger à leurs yeux tant que je
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grands mouvements comme ceux d’un
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Au milieu du fleuve se tenait toute
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Il me semble que Mattia est bien lo
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comprends qu’il explique que je s
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- Ma famille, monsieur, habite l’
Page 637 and 638:
XIIILa famille Driscoll.Le clerc qu
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est opaque ; il commence à faire f
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Assurément, ce n’est pas là Bet
Page 643 and 644:
Il n’est pas bien difficile de de
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vieillard à barbe blanche, la têt
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connaissais pas, et que je ne pouva
Page 649 and 650:
esoin d’autre explication pour co
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Mais avant de s’asseoir, il pouss
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yeux, et je me mis à réfléchir
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Mon père aida les deux hommes à s
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Je n’osai le lui demander : ce n
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dans les maisons aussi bien que dan
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Et me jetant dans les bras de Matti
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avec toi, et ce que je te dis en ce
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- Mattia, ne dis pas cela.- Tu as p
Page 667 and 668:
celui que tu appelles ton père, et
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Je fis le récit qu’il nous deman
Page 671 and 672:
Mon père traduisit mes paroles en
Page 673 and 674:
Pour Mattia et pour moi, mon père
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Ce fut seulement au bout de plusieu
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XVILes beaux langes ont menti.À to
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Quand Mattia me voyait sous l’inf
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maintenant à mon aise ; je ne la v
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qui par cette précaution espérait
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XVIIL’oncle d’Arthur : - M. Jam
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- Ne dis donc pas cela : tu es plei
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me frappa le plus en lui, ce fut so
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Au bout d’un certain temps, mon p
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XVIIILes nuits de Noël.Nous ne par
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Il hésita assez longtemps :- Parce
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par des arguments auxquels nous n
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D’abord nous commençons par les
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XIXLes peurs de Mattia.M. James Mil
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tia, pas plus que je ne pouvais le
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- Si je la voyais je lui dirais que
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Cette idée ne s’était jamais pr
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marquaient la place et les limites
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pouvions pas nous lasser plus qu’
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prochai ; mais les belles voitures
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- Un homme et un enfant ont pénét
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- Bon courage, me dit-il à l’ore
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Me serait-il possible de lui démon
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ou deux entre l’arrestation et la
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sais à toutes sortes de choses abs
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Le juge alors, sans se tourner de m
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- Vous en êtes sûr ?- Quand je fa
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- Pas trop faible.- Combien de verr
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XXBob.Ce ne fut que longtemps aprè
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Un seul fait était clair et préci
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temps je vis une petite boule blanc
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- Vous parlez anglais ? me dit-il.-
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- Où sommes-nous ?- En voiture ; c
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c’est lui qui va nous procurer un
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- Il n’arrivera rien, va, sois tr
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Nous suivîmes le frère de Bob, et
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- Pauvre Mattia ! dis-je à mon cam
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est longue encore de Barfleur à Is
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- Rien : cependant, comme le Cygne
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vions, et promenant doucement ses e
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- Qui a eu raison ? criait Mattia.S
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- Je voudrais bien que madame Milli
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Elle nous regarde un moment avant d
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XXIILes beaux langes ont dit vrai.C
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Pauvre cher Mattia, il m’aide à
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d’une jeune fille muette, nous re
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Cona lancella oghi vennenno acqua.Q
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cousse d’une violente émotion, m
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Je courus au-devant d’elle et lui
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dans la chambre, le domestique éta
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- Vous n’avez rien à craindre, m
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est maintenant l’héritier d’un
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leçons, à vos exemples, ô mon vi
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que la prédiction d’Espinassous,
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- Cela est vrai, et j’avoue sans
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n’arriverai pas en Angleterre pou
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Le dîner nous réunit tous à la m
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eprésentation », il tient une sou
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À propos de cette édition électr
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SANS FAMILLE

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