SANS FAMILLE

More documents

Recommendations

Info

voiture il nous dit de rester là et de tenir le cheval ; pour lui, ilallait voir si son frère n’était pas parti et si nous pouvions sansdanger nous embarquer à bord du navire de celui-ci.J’avoue que le temps pendant lequel Bob resta absent meparut long, très-long : nous ne parlions pas, et nous entendionsla mer briser sur la grève à une assez courte distance avec unbruit monotone qui redoublait notre émotion ; Mattia tremblaitcomme je tremblais moi-même.– C’est le froid, me dit-il à voix basse.Était-ce bien vrai ? Le certain, c’est que quand une vacheou un mouton qui se trouvaient dans les prairies que traversaitnotre chemin choquaient une pierre ou heurtaient une clôture,nous étions plus sensibles au froid ou au tremblement.Enfin, nous entendîmes un bruit de pas dans le cheminqu’avait suivi Bob. Sans doute, c’était lui qui revenait ; c’étaitmon sort qui allait se décider.Bob n’était pas seul. Quand il s’approcha de nous, nous vîmesque quelqu’un l’accompagnait : c’était un homme vêtud’une vareuse en toile cirée et coiffé d’un bonnet de laine.– Voici mon frère, dit Bob ; il veut bien vous prendre à sonbord ; il va vous conduire, et nous allons nous séparer, car il estinutile qu’on sache que je suis venu ici.Je voulus remercier Bob, mais il me coupa la parole en medonnant une poignée de main :– Ne parlons pas de ça, dit-il, il faut s’entr’aider, chacunson tour ; nous nous reverrons un jour ; je suis heureux d’avoirobligé Mattia.– 744 –
Nous suivîmes le frère de Bob, et bientôt nous entrâmesdans les rues silencieuses de la ville, puis après quelques détoursnous nous trouvâmes sur un quai, et le vent de la mernous frappa au visage.Sans rien dire, le frère de Bob nous désigna de la main unnavire gréé en sloop ; nous comprîmes que c’était le sien ; enquelques minutes nous fûmes à bord ; alors il nous fit descendredans une petite cabine.– Je ne partirai que dans deux heures, dit-il, restez là et nefaites pas de bruit.Quand il eut refermé à clef la porte de cette cabine, ce futsans bruit que Mattia se jeta dans mes bras et m’embrassa ; il netremblait plus.– 745 –
Page 1 and 2:
Édition du groupe « Ebooks libres
Page 3:
XIX Lise. .........................
Page 7 and 8:
IAu village.Je suis un enfant trouv
Page 9 and 10:
Pour trouver de beaux arbres, il fa
Page 11 and 12:
trais au pays il m’a demandé de
Page 13 and 14:
Mais ce n’était pas seulement no
Page 15 and 16:
Si j’avais osé, j’aurais deman
Page 17 and 18:
Alors mère Barberin décrocha de l
Page 19 and 20:
IIUn père nourricier.Je m’étais
Page 21 and 22:
Je n’avais pas osé quitter la pl
Page 23 and 24:
Comme cela se rencontre dans un gra
Page 25 and 26:
- Enfin je voulais faire ce que tu
Page 27 and 28:
- Peut-être. Mais ce qu’il y a d
Page 29 and 30:
- Je ne te gronde pas ; alors tu as
Page 31 and 32:
- Oui, tout ce que tu voudras. Mais
Page 33 and 34:
IIILa troupe du signor Vitalis.Sans
Page 35 and 36:
Celui-ci me prenant par l’oreille
Page 37 and 38:
- Lui-même.- Et vous croyez que l
Page 39 and 40:
- Allons, n’aie pas peur, petit,
Page 41 and 42:
- Enfin, dit le vieillard, tel qu
Page 43 and 44:
- Il est sûr que pour cela les jam
Page 45 and 46:
gravement six pas en avant puis apr
Page 47 and 48:
Il est vrai que si je refusais, je
Page 49 and 50:
J’aurais voulu l’interroger, ma
Page 51 and 52:
chassèrent les doutes qui s’agit
Page 53 and 54:
C’était ce que je venais voir to
Page 55 and 56:
Vitalis venait me chercher, et c’
Page 57 and 58:
Ah ! la pauvre maison, il me sembla
Page 59 and 60:
Soit illusion du souvenir, soit ré
Page 61 and 62:
Mère Barberin ne resta pas longtem
Page 63 and 64:
VEn route.Pour acheter les enfants
Page 65 and 66:
Sans doute, tout cela était vrai ;
Page 67 and 68:
- Voilà un cri du cœur, dit Vital
Page 69 and 70:
ser entrer il nous imposa la condit
Page 71 and 72:
Je l’entendis ouvrir son sac.- Je
Page 73 and 74:
VIMes débuts.Le lendemain nous nou
Page 75 and 76:
Comment une aussi belle chose que d
Page 77 and 78:
J’ai entendu dire que c’était
Page 79 and 80:
- Dans les comédies ils en ont. Tu
Page 81 and 82:
- Cela t’ennuie-t-il ?- Non, cela
Page 83 and 84:
ire.Ce que j’entendais me parut s
Page 85 and 86:
La première partie de la représen
Page 87 and 88:
Ce fut ainsi que jouant en sourdine
Page 89 and 90:
Ah ! il savait se servir d’une se
Page 91 and 92:
Je m’étais assez enhardi avec mo
Page 93 and 94:
Il est vrai cependant qu’on m’a
Page 95 and 96:
Comment lire sur cette planche, et
Page 97 and 98:
Tout d’abord j’avais fait des p
Page 99 and 100:
pleurer ou bien j’ai envie de rir
Page 101 and 102:
Ce jour-là il ne fit pas claquer s
Page 103 and 104:
VIIIPar monts et par vaux.Nous avio
Page 105 and 106:
- Nous causerons de cela plus tard.
Page 107 and 108:
- Oh ! l’histoire du roi, je vous
Page 109 and 110:
qui chantent dans les arbustes accr
Page 111 and 112:
Lorsque nous arrivâmes au pont qui
Page 113 and 114:
laient sous la pression du vent, se
Page 115 and 116:
le, après tout, puisque Vitalis m
Page 117 and 118:
Mais si vite que j’allasse, la b
Page 119 and 120:
Puisqu’il parlait, comment avait-
Page 121 and 122:
C’étaient, pour le plus grand no
Page 123 and 124:
Il refusa donc d’obéir à l’ag
Page 125 and 126:
Vitalis encouragé par ces applaudi
Page 127 and 128:
Il ne me plaisait guère de m’en
Page 129 and 130:
Aussi en me voyant seul avec Joli-C
Page 131 and 132:
Il me sembla que, devant cette atti
Page 133 and 134:
une chose, tantôt sur une autre, s
Page 135 and 136:
Ce ne fut pas mon maître qu’on j
Page 137 and 138:
convaincu d’injures et de voies d
Page 139 and 140:
- Cent francs.- Deux mois, cent fra
Page 141 and 142:
- Ah ! tu m’ennuies à la fin. Je
Page 143 and 144:
- Vous prendrez bien un pain de deu
Page 145 and 146:
chef, mais je ne me croyais pas ass
Page 147 and 148:
chiffre de la recette, et je me dis
Page 149 and 150:
Je commandai à Zerbino et à Dolce
Page 151 and 152:
- Comme nous n’avons pas de permi
Page 153 and 154:
Il n’y avait donc qu’à marcher
Page 155 and 156:
une grande langue douce et chaude s
Page 157 and 158:
ant à toutes jambes nous fûmes bi
Page 159 and 160:
Justement l’endroit où je m’é
Page 161 and 162:
Bien que Zerbino fût coupable et n
Page 163 and 164:
- C’est pour faire travailler mes
Page 165 and 166:
- Arthur voudrait voir vos acteurs
Page 167 and 168:
Pendant que je parlais, Arthur joua
Page 169 and 170:
- Oui, sur ce bateau : mon fils est
Page 171 and 172:
XIIMon premier ami.La mère d’Art
Page 173 and 174:
lement, on avait conseillé un autr
Page 175 and 176:
presque toujours, une bonne litièr
Page 177 and 178:
elle s’étalait en nappes transpa
Page 179 and 180:
Elle me paraissait bien sévère, m
Page 181 and 182:
Comme ils ne regardaient pas de mon
Page 183 and 184:
- Oh ! non.- Ordinairement qui est-
Page 185 and 186:
En moins d’un quart d’heure il
Page 187 and 188:
Arthur s’était pris pour moi d
Page 189 and 190:
nous intéresser et que nous pouvio
Page 191 and 192:
joie, mais enfin je ne pourrais plu
Page 193 and 194:
Barberin. N’aimerais-je donc, ne
Page 195 and 196:
faudra étudier, prendre de la pein
Page 197 and 198:
les choses et je me résignerais, s
Page 199 and 200:
Alors, je lui racontai comment j’
Page 201 and 202:
Ce fut madame Milligan qui répondi
Page 203 and 204:
Mais je n’en entendis pas davanta
Page 205 and 206:
Plus d’une fois, dans nos longues
Page 207 and 208:
Qu’avait-il fallu ?Tout d’abord
Page 209 and 210:
Justement pour accroître mon dése
Page 211 and 212:
Nous partîmes néanmoins.Vitalis t
Page 213 and 214:
Les nuages qui venaient du nord-oue
Page 215 and 216:
Pour moi je regardais droit devant
Page 217 and 218:
qui, dans les circonstances où nou
Page 219 and 220:
Cependant, si frugal qu’eût ét
Page 221 and 222:
pieds, de sorte que lorsqu’on reg
Page 223 and 224:
Mais lorsque notre dîner fut termi
Page 225 and 226:
Je demeurai encore quelques instant
Page 227 and 228:
- Eh bien, quoi ? s’écria Vitali
Page 229 and 230:
La réverbération de la neige ne d
Page 231 and 232:
Nous primes une poignée de branche
Page 233 and 234:
Mais quelle espérance raisonnable
Page 235 and 236:
J’allais arriver à lui et déjà
Page 237 and 238:
Car je ne pouvais m’innocenter :
Page 239 and 240:
La couverture bien chauffée, Joli-
Page 241 and 242:
Il me semblait que Joli-Cœur avait
Page 243 and 244:
- Congestion, dit il.Et il secoua l
Page 245 and 246:
Bien entendu, je n’étais pas res
Page 247 and 248:
Mais nous n’étions pas dans une
Page 249 and 250:
parler qu’il n’eût assurément
Page 251 and 252:
Ce fut à moi de paraître le premi
Page 253 and 254:
À ce moment Vitalis qui, lui aussi
Page 255 and 256:
- Pardonnez-moi de vous avoir déra
Page 257 and 258:
Cette main était froide.À ce mome
Page 259 and 260:
Le silence m’était extrêmement
Page 261 and 262:
aussi à la couleur de la neige cou
Page 263 and 264:
Je tournai les yeux vers Vitalis. L
Page 265 and 266:
- Il est vrai.- Les gamins se moque
Page 267 and 268:
Je pouvais tomber sur un de ces ter
Page 269 and 270:
Où donc étaient mes passants vêt
Page 271 and 272:
Après avoir marché assez longtemp
Page 273 and 274:
que je le vois encore devant moi ;
Page 275 and 276:
L’enfant ne répondit pas à cett
Page 277 and 278:
- J’étais tout seul avec Garofol
Page 279 and 280:
« Voilà un enfant qui va mourir d
Page 281 and 282:
coup de bâton sur la tête. Pour c
Page 283 and 284:
Mais celui-ci, au lieu de donner ce
Page 285 and 286:
Lorsque Garofoli fut assis, un autr
Page 287 and 288:
- Il me manque un sou.- Ah ! il te
Page 289 and 290:
avec deux déjà condamnés aux lan
Page 291 and 292:
Tout cela s’était passé si rapi
Page 293 and 294:
XVIIILes carrières de Gentilly.Tan
Page 295 and 296:
Nous voilà donc en route dans les
Page 297 and 298:
- Ah ! si j’avais tes yeux ! dit
Page 299 and 300:
Vitalis regarda, mais bien que la l
Page 301 and 302:
Ce que je disais était facile à v
Page 303 and 304:
là chaudement dans leurs draps ava
Page 305 and 306:
À peine m’étais-je blotti contr
Page 307 and 308:
XIXLise.Quand je me réveillai j’
Page 309 and 310:
dans toute leur étendue les parole
Page 311 and 312:
Ils étaient assis devant une table
Page 313 and 314:
- Où veux-tu aller ? dit le père.
Page 315 and 316:
aussi bien que Vitalis et faire pla
Page 317 and 318:
- Bien certainement, j’aimerais m
Page 319 and 320:
Cette jolie petite Lise serait ma s
Page 321 and 322:
de trente-cinq ans, cependant avec
Page 323 and 324:
ces de Garofoli, mais je me demanda
Page 325 and 326:
XXJardinier.On devait enterrer mon
Page 327 and 328:
Ma maladie fut longue et douloureus
Page 329 and 330:
elles glissades en nous lançant su
Page 331 and 332:
si peu à mon existence vagabonde d
Page 333 and 334:
tout gagner le pain de chaque jour
Page 335 and 336:
Adopté par le père Acquin et trai
Page 337 and 338:
Ce ne fut point par ma faute, mais
Page 339 and 340:
- Et qu’est-ce qu’elle disait ?
Page 341 and 342:
auraient été passées au moment d
Page 343 and 344:
- Déjà !Lise ne dit rien, mais el
Page 345 and 346:
temps des bruits de vitres cassées
Page 347 and 348:
Qu’aurait-il dit ?C’était un d
Page 349 and 350:
Mais d’un geste il me retint :- N
Page 351 and 352:
voulait pas se sauver, il pâlit co
Page 353 and 354:
C’était une maîtresse femme que
Page 355 and 356:
Je sentis bien qu’il n’y avait
Page 357 and 358:
Pour nous comprendre, c’était g
Page 359 and 360:
Au moment où le roulement de la vo
Page 361 and 362:
- Si tu veux rester, dit-il, je te
Page 363 and 364:
SECONDE PARTIE- 363 -
Page 365 and 366:
Moi je me disais : « Ah ! si j’a
Page 367 and 368:
- Cela n’était pas possible, mon
Page 369 and 370:
quand on s’était vu chassé de v
Page 371 and 372:
- Tu comprends que je n’ai pas be
Page 373 and 374:
Je la lui montrai ; il la regarda a
Page 375 and 376:
- C’est vous, dit-il, qui êtes v
Page 377 and 378:
- Et vous ? demanda Mattia, que fai
Page 379 and 380:
Quelle différence avec la journée
Page 381 and 382:
- plutôt que d’affronter un pare
Page 383 and 384:
- Sans doute : tu ne sais donc pas
Page 385 and 386:
- Pendant que je vais arranger mon
Page 387 and 388:
Fenesta vascia e patrona crudele…
Page 389 and 390:
On avait sorti une charrette de des
Page 391 and 392:
sans trop d’imprudence, me livrer
Page 393 and 394:
Ce que je voulais, ce n’était pa
Page 395 and 396:
- Allons à Varses, dit-il, les min
Page 397 and 398:
Mattia était presque aussi content
Page 399 and 400:
cend jusqu’à la rue : tout est n
Page 401 and 402:
Elle parlait avec une volubilité e
Page 403 and 404:
n’en fit rien et me répéta simp
Page 405 and 406:
- Nous t’attendions depuis longte
Page 407 and 408:
leurs ouvriers trouvent à prix de
Page 409 and 410:
un autre escalier, puis une autre
Page 411 and 412:
C’était là l’aspect de la min
Page 413 and 414:
IIIRouleur.Le métier de mineur n
Page 415 and 416:
- Pas trop lourd, puisqu’Alexis l
Page 417 and 418:
girent jamais, et même quand je fu
Page 419 and 420:
tarderait pas à être inondée. Au
Page 421 and 422:
petite pension, car cet accident lu
Page 423 and 424:
lui, n’en sois pas plus fier pour
Page 425 and 426:
feuilles de papier d’un herbier.
Page 427 and 428:
IVL’inondation.Le lendemain matin
Page 429 and 430:
- Écoutez donc.Mon accent était t
Page 431 and 432:
n’était pas une eau tranquille,
Page 433 and 434:
Alors reprenant conscience de la vi
Page 435 and 436:
- Pour sûr c’est une inondation,
Page 437 and 438:
- Regarde ta lampe.- Eh bien, elle
Page 439 and 440:
Le bruit de l’eau avait cessé, s
Page 441 and 442:
- Il n’y a qu’à attendre, dit
Page 443 and 444:
notre sauvetage ? Ceux-là seuls qu
Page 445 and 446:
- Écoutez, dit le magister, puisqu
Page 447 and 448:
utiles pour retenir nos déblais et
Page 449 and 450:
VDans la remontée.Le silence s’
Page 451 and 452:
Je fouillai dans ma poche où j’a
Page 453 and 454:
Celui-ci demanda la lampe et regard
Page 455 and 456:
- Ou bien dans la ville on croit qu
Page 457 and 458:
- Jamais nous ne pourrions vivre hu
Page 459 and 460:
- Tu es un bon garçon, dit-il.- Ma
Page 461 and 462:
Mais il se dégage de leur étreint
Page 463 and 464:
secouées par un tremblement de ter
Page 465 and 466:
Le bruit des bennes d’épuisement
Page 467 and 468:
Je n’avais pas pensé à cela qua
Page 469 and 470:
- Il faut passer une veste à Rémi
Page 471 and 472:
VISauvetage.Notre position était d
Page 473 and 474:
Assurément, le magister s’était
Page 475 and 476:
- Est-il bête avec sa sainte Vierg
Page 477 and 478:
Je ne sais si c’était l’influe
Page 479 and 480:
- Il est trop tard : tu te repens p
Page 481 and 482:
Si tout ne marcha pas bien et vite
Page 483 and 484:
Tous deux restèrent silencieux et
Page 485 and 486:
l’inondation se trouvaient dans u
Page 487 and 488:
tances où la lumière serait indis
Page 489 and 490:
- Vous aviez le délire, dit l’on
Page 491 and 492:
- Qu’est-ce ?- Je ne sais pas ; m
Page 493 and 494:
- N’as-tu personne à embrasser ?
Page 495 and 496:
Je voulus descendre au bas de notre
Page 497 and 498:
De notre remontée aux échelles la
Page 499 and 500:
- Arrive, arrive, me dit le magiste
Page 501 and 502:
- Combien ont été sauvés ? deman
Page 503 and 504:
le de me soulever sur le bras ; je
Page 505 and 506:
Et il y en avait d’autres qui dé
Page 507 and 508:
VIIUne leçon de musique.Je m’ét
Page 509 and 510:
Pendant qu’on essayait de me rete
Page 511 and 512:
Il fallait donc nous diriger vers C
Page 513 and 514:
Alors, quand je ne savais pas ce qu
Page 515 and 516:
Le maître, le vrai maître qu’il
Page 517 and 518:
- Bien sûr ; il reçoit tout le mo
Page 519 and 520:
Bientôt Espinassous eut fini de ra
Page 521 and 522:
Et Mattia joua ainsi un morceau sur
Page 523 and 524:
VIIILa vache du prince.J’aimais b
Page 525 and 526:
À l’école de Garofoli, qui expl
Page 527 and 528:
parer ? Cela était grave. Quelle r
Page 529 and 530:
Sur six que nous étions alors deux
Page 531 and 532:
Je ne savais comment remercier ce b
Page 533 and 534:
Si le vétérinaire ne nous avait p
Page 535 and 536:
- Voilà une vache du Rouergue qui
Page 537 and 538:
D’un coup de coude le vétérinai
Page 539 and 540:
Mais la joie d’avoir gagné ces s
Page 541 and 542:
Naturellement nous eûmes fini de m
Page 543 and 544:
À mesure que nous avancions, le no
Page 545 and 546:
Alors ce fut à moi de le consoler
Page 547 and 548:
pour savoir si nous ne mentons pas,
Page 549 and 550:
J’en éprouvai bientôt une plus
Page 551 and 552:
Aussitôt que le juge de paix fut p
Page 553 and 554:
IXMère Barberin.Notre nuit sur le
Page 555 and 556:
En passant par la rue de ce village
Page 557 and 558:
- Mais nous irons à Lucca quand no
Page 559 and 560:
À ce moment, un petit flocon de fu
Page 561 and 562:
pour rentrer, tu auras le temps de
Page 563 and 564:
- Si tu voulais, dis-je à mère Ba
Page 565 and 566:
- Les bons garçons !Cela me fut un
Page 567 and 568:
semblait-il, devait peiner celui-ci
Page 569 and 570:
une idée qu’il n’était pas fa
Page 571 and 572:
La troisième crêpe est rissolée,
Page 573 and 574:
Rassurée elle revint vers moi et
Page 575 and 576:
- Ce fut ce que je demandai comme t
Page 577 and 578:
Ma famille !Quand le sommeil m’av
Page 579 and 580:
que maçon revenant au pays : ces a
Page 581 and 582:
- Je trouve, dit-il enfin, que les
Page 583 and 584:
Nous voilà de nouveau sur les gran
Page 585 and 586:
ment, parce que nous allons être s
Page 587 and 588:
Si nous n’avions pas été oblig
Page 589 and 590:
tante, tandis qu’un homme, son on
Page 591 and 592:
XIBarberin.Si je n’avais pas eu h
Page 593 and 594:
que celui au milieu duquel nous nou
Page 595 and 596:
- Non.- Eh bien, moi, je n’ai pas
Page 597 and 598:
- Oui à qui ; c’est à Garofoli.
Page 599 and 600:
- Nous n’avons pas ça ! connais
Page 601 and 602:
Je remerciai et sortis, mais avant
Page 603 and 604:
Lorsque je lui eus adressé ma ques
Page 605 and 606:
- En vlà une histoire !En ce momen
Page 607 and 608:
Ils ne savaient rien. Et bien évid
Page 609 and 610:
eût caché à tous le nom et l’a
Page 611 and 612:
Mattia ne tarda pas à paraître :-
Page 613 and 614:
Si l’hôtel du Cantal était une
Page 615 and 616:
l’adresse qu’on lui donnerait e
Page 617 and 618:
- Rien, ou tout au moins peu de cho
Page 619 and 620:
Il les connaissait si bien, les bon
Page 621 and 622:
- Puisque la lettre de Barberin dit
Page 623 and 624:
- Le jeune monsieur, - c’était m
Page 625 and 626:
étranger à leurs yeux tant que je
Page 627 and 628:
grands mouvements comme ceux d’un
Page 629 and 630:
Au milieu du fleuve se tenait toute
Page 631 and 632:
Il me semble que Mattia est bien lo
Page 633 and 634:
comprends qu’il explique que je s
Page 635 and 636:
- Ma famille, monsieur, habite l’
Page 637 and 638:
XIIILa famille Driscoll.Le clerc qu
Page 639 and 640:
est opaque ; il commence à faire f
Page 641 and 642:
Assurément, ce n’est pas là Bet
Page 643 and 644:
Il n’est pas bien difficile de de
Page 645 and 646:
vieillard à barbe blanche, la têt
Page 647 and 648:
connaissais pas, et que je ne pouva
Page 649 and 650:
esoin d’autre explication pour co
Page 651 and 652:
Mais avant de s’asseoir, il pouss
Page 653 and 654:
yeux, et je me mis à réfléchir
Page 655 and 656:
Mon père aida les deux hommes à s
Page 657 and 658:
Je n’osai le lui demander : ce n
Page 659 and 660:
dans les maisons aussi bien que dan
Page 661 and 662:
Et me jetant dans les bras de Matti
Page 663 and 664:
avec toi, et ce que je te dis en ce
Page 665 and 666:
- Mattia, ne dis pas cela.- Tu as p
Page 667 and 668:
celui que tu appelles ton père, et
Page 669 and 670:
Je fis le récit qu’il nous deman
Page 671 and 672:
Mon père traduisit mes paroles en
Page 673 and 674:
Pour Mattia et pour moi, mon père
Page 675 and 676:
Ce fut seulement au bout de plusieu
Page 677 and 678:
XVILes beaux langes ont menti.À to
Page 679 and 680:
Quand Mattia me voyait sous l’inf
Page 681 and 682:
maintenant à mon aise ; je ne la v
Page 683 and 684:
qui par cette précaution espérait
Page 685 and 686:
XVIIL’oncle d’Arthur : - M. Jam
Page 687 and 688:
- Ne dis donc pas cela : tu es plei
Page 689 and 690:
me frappa le plus en lui, ce fut so
Page 691 and 692:
Au bout d’un certain temps, mon p
Page 693 and 694: XVIIILes nuits de Noël.Nous ne par
Page 695 and 696: Il hésita assez longtemps :- Parce
Page 697 and 698: par des arguments auxquels nous n
Page 699 and 700: D’abord nous commençons par les
Page 701 and 702: XIXLes peurs de Mattia.M. James Mil
Page 703 and 704: tia, pas plus que je ne pouvais le
Page 705 and 706: - Si je la voyais je lui dirais que
Page 707 and 708: Cette idée ne s’était jamais pr
Page 709 and 710: marquaient la place et les limites
Page 711 and 712: pouvions pas nous lasser plus qu’
Page 713 and 714: prochai ; mais les belles voitures
Page 715 and 716: - Un homme et un enfant ont pénét
Page 717 and 718: - Bon courage, me dit-il à l’ore
Page 719 and 720: Me serait-il possible de lui démon
Page 721 and 722: ou deux entre l’arrestation et la
Page 723 and 724: sais à toutes sortes de choses abs
Page 725 and 726: Le juge alors, sans se tourner de m
Page 727 and 728: - Vous en êtes sûr ?- Quand je fa
Page 729 and 730: - Pas trop faible.- Combien de verr
Page 731 and 732: XXBob.Ce ne fut que longtemps aprè
Page 733 and 734: Un seul fait était clair et préci
Page 735 and 736: temps je vis une petite boule blanc
Page 737 and 738: - Vous parlez anglais ? me dit-il.-
Page 739 and 740: - Où sommes-nous ?- En voiture ; c
Page 741 and 742: c’est lui qui va nous procurer un
Page 743: - Il n’arrivera rien, va, sois tr
Page 747 and 748: - Pauvre Mattia ! dis-je à mon cam
Page 749 and 750: est longue encore de Barfleur à Is
Page 751 and 752: - Rien : cependant, comme le Cygne
Page 753 and 754: vions, et promenant doucement ses e
Page 755 and 756: - Qui a eu raison ? criait Mattia.S
Page 757 and 758: - Je voudrais bien que madame Milli
Page 759 and 760: Elle nous regarde un moment avant d
Page 761 and 762: XXIILes beaux langes ont dit vrai.C
Page 763 and 764: Pauvre cher Mattia, il m’aide à
Page 765 and 766: d’une jeune fille muette, nous re
Page 767 and 768: Cona lancella oghi vennenno acqua.Q
Page 769 and 770: cousse d’une violente émotion, m
Page 771 and 772: Je courus au-devant d’elle et lui
Page 773 and 774: dans la chambre, le domestique éta
Page 775 and 776: - Vous n’avez rien à craindre, m
Page 777 and 778: - 777 -
Page 779 and 780: est maintenant l’héritier d’un
Page 781 and 782: leçons, à vos exemples, ô mon vi
Page 783 and 784: que la prédiction d’Espinassous,
Page 785 and 786: - Cela est vrai, et j’avoue sans
Page 787 and 788: n’arriverai pas en Angleterre pou
Page 789 and 790: Le dîner nous réunit tous à la m
Page 791 and 792: eprésentation », il tient une sou
Page 793 and 794: - 793 -
Page 795 and 796:
- 795 -
Page 797:
À propos de cette édition électr
show all

SANS FAMILLE

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

Delete template?

Save as template?