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REMERCIEMENTS - ProFacility.be

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Cependant, les nuisances sonores en « Open Space » sont bien inférieures que sur des plateauxclassiques. Ces derniers sont en effet <strong>be</strong>aucoup plus ouverts car ils sont équipés d’étagères bassesqui ne filtrent pas les sons et ils ne contiennent pas de pièces prévues pour les activités bruyantes.En « Open Space », les plans sont conçus pour que les zones de travail ouvertes se situent entredeux « cocoons » ou autres installations qui isolent les bruits qui y circulent.Ensuite, on ne peut nier que le « flex office » permet une meilleure communication ainsi qu’unemeilleure collaboration entre les différents agents puisque ces derniers ne sont plus confinés dansleur bureau. Travailler sur un plateau qui utilise le « desk sharing » permet également à chacun dese placer là où cela lui plait et lui permet de rencontrer de nombreuses personnes. Les contactssociaux sont de ce fait encouragés.Dans le projet « Mobility » il semblerait pourtant que certains aspects posent problèmes, notammentau niveau du nombre de « cocoons » disponibles. Selon les propos d’un collaborateur de la société,ces petits espaces vitrés et fermés seraient très pratiques pour effectuer des activités un peu plusbruyantes mais il n’y en aurait pas suffisamment.Toujours selon lui, le concept est dans son ensemble intéressant mais il n’est pas adapté à tous lescorps de métier. Pour des développeurs ou des administratifs, le concept ne pose pas de problèmemais appliqué à des commerciaux, ce n’est plus pareil. Les commerciaux ont en effet <strong>be</strong>aucoup deréunions et téléphonent à longueur de journée. On remarque que les plateaux des commerciaux nedisposent pas d’assez de « cocoons » pour qu’ils puissent travailler dans le silence.Une autre faille a été soulevée par cette même personne. Elle concerne les Managers qui nerespecteraient pas le partage des espaces isolés et qui réserveraient les « cocoons » à l’année. CesManagers ne prendraient pas la peine de se connecter dans la zone de travail et iraient directementvers ces postes isolés.En tant qu’étudiante en communication, le concept du « flex office » me parait être le meilleurmoyen pour encourager les relations interpersonnelles et augmenter le sentiment d’appartenance àune société.Néanmoins, je comprends que des personnes puissent être réticentes à un tel concept. Surtout lescollaborateurs qui ont parfois des dizaines d’années d’expérience dans une même entreprise et quisont habitués à leur poste de travail fixe et personnalisé. Cet emplacement, souvent perçu commequelque chose de symbolique, assure une certaine reconnaissance dans l’entreprise. Perdre ceprivilège sans contrepartie est souvent vécu comme une sanction et amène les gens à se révolter ouà boycotter le concept.Le Facility Manager doit faire preuve de <strong>be</strong>aucoup de finesse et d’empathie pour faire prendreconscience à ces personnes de l’évolution positive de leur projet, sur tous les plans concernés par leschangements. Il doit également développer le sentiment d’appartenance des collaborateurs pourleur société afin qu’ils se sentent impliqués dans les changements et considèrent le projet en partiecomme le leur. Ils auront ainsi plus de facilités à accepter les nouveautés.Ceci est évidemment valable pour n’importe quel projet d’entreprise. Impliquer son personnel a pourbut de le faire accepter les changements sans trop de problèmes. C’est une technique de42

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