L'infection au virus du papillome humain (VPH) - Institut national de ...
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PREMIER QUESTIONNAIRE<br />
L’infection <strong>au</strong> <strong>virus</strong> <strong>du</strong> <strong>papillome</strong> <strong>humain</strong> (<strong>VPH</strong>)<br />
Question n° 1 Quelle serait l’approche la plus pertinente pour la surveillance <strong>de</strong> l’infection<br />
<strong>au</strong> <strong>VPH</strong>?<br />
Nos recommandations :<br />
• À l’heure actuelle l’approche la plus réaliste pour la surveillance <strong>de</strong> l’infection <strong>au</strong> <strong>VPH</strong> est la<br />
réalisation d’étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> prévalence et la mise sur pied <strong>de</strong> projets sentinelle (population cible et<br />
périodicité à déterminer).<br />
• L’inclusion <strong>de</strong> l’infection <strong>au</strong> <strong>VPH</strong> dans le groupe <strong>de</strong>s maladies à déclaration obligatoire n’est pas<br />
pertinente.<br />
Votre opinion :<br />
Question n° 2 Serait-il utile d’entreprendre <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s épidémiologiques sur l’infection <strong>au</strong><br />
<strong>VPH</strong> ou sur les lésions qu’elle c<strong>au</strong>se? Si oui, lesquelles?<br />
Nos recommandations :<br />
• Une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> prévalence dans la population générale serait relativement peu utile <strong>du</strong> point <strong>de</strong> vue<br />
<strong>de</strong> la santé publique.<br />
• Par contre, <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> prévalence seraient utiles chez certains groupes ciblés comme les<br />
femmes <strong>de</strong> 20 à 35 ans (pour la surveillance <strong>de</strong> la prévalence et pour évaluer l’efficacité <strong>de</strong>s<br />
mesures <strong>de</strong> prévention), les femmes <strong>de</strong> 35 à 45 ans (pour planifier l’implantation <strong>de</strong>s programmes<br />
<strong>de</strong> dépistage), les personnes vivant avec le VIH, les HARSAH, etc.<br />
• Une étu<strong>de</strong> sur la prévalence <strong>de</strong>s SIL serait d’utilité moyenne.<br />
• Une étu<strong>de</strong> sur l’évolution <strong>de</strong> l’inci<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> l’adénocarcinome serait d’utilité élevée/moyenne.<br />
Votre opinion :<br />
<strong>Institut</strong> <strong>national</strong> <strong>de</strong> santé publique <strong>du</strong> Québec 119