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VERS UNE MEMOIRE QUANTIQUE AVEC DES IONS PIEGES

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tel-00430795, version 1 - 9 Nov 2009<br />

5.2. RENVOIS ET COMMENTAIRES 125<br />

Fig. 5.1 – Positions quadratiques<br />

moyennes radiales des ions créés par<br />

photoionisation TPPI et TSPI<br />

< rTSPI1 2 >=<br />

< zTSPI1 2 >=<br />

< rTPPI1 2 >=<br />

< zTPPI1 2 >=<br />

L<br />

−L<br />

L<br />

−L<br />

L<br />

−L<br />

L<br />

−L<br />

dz<br />

dz<br />

dz<br />

dz<br />

+∞ <br />

0<br />

+∞<br />

<br />

0<br />

+∞<br />

<br />

0<br />

+∞<br />

<br />

0<br />

2πrdr r 2 p1(r, z)<br />

2πrdr z 2 p1(r, z)<br />

2πrdr r 2 p2(r, z)<br />

Fig. 5.2 – Positions quadratiques<br />

moyennes axiales des ion créés par<br />

photoionisation TPPI et TSPI<br />

w 2 0<br />

2<br />

<br />

1 2<br />

1 + 3 L/zr<br />

w 2 0<br />

4<br />

L 2<br />

3<br />

L/zr<br />

arctan(L/zr)<br />

2πrdr z2p2(r, z) z2 L/zr<br />

r arctan(L/zr) − 1<br />

On considère maintenant le cas particulier du Strontium et on compare la méthode TPPI<br />

utilisant une longueur d’onde de 431 nm à la méthode TSPI utilisant une longueur d’onde de<br />

405 nm. On choisit la longueur L comme la longueur de la zone de confinement de 10 mm et<br />

on considère que le faisceau atomique est plus large que la zone de confinement. Les positions<br />

quadratiques moyennes sont comparées en fonction du waist du faisceau qui impose la longueur<br />

de Rayleigh. Les figures 5.1 et 5.2 représentent les positions quadratiques moyennes.<br />

On observe que la distance à l’axe pour un ion généré par TPPI est toujours plus faible<br />

qu’avec l’autre méthode. Cela s’explique par le fait que dans un plan transverse, la probabilité<br />

de créer un ion est plus piquée autour du centre pour la technique TPPI que pour l’autre<br />

technique.En revanche pour des faisceaux de waists supérieurs à 60 µm, la position axiale<br />

quadratique moyenne est très peu différente pour les deux méthodes, l’énergie associée sera<br />

alors similaire et on ne s’attend pas à de gain d’énergie. C’est ce que l’on observe sur la figure<br />

5.3 sur laquelle les énergies potentielles moyennes sont très proches au delà de 60 µm. On a<br />

choisi une raideur de 40 kHz dans l’axe et une raideur de 400 kHz pour le potentiel radial. On<br />

observe un gain d’énergie de plusieurs ordres de grandeur pour des waists inférieurs à 10 µm,<br />

et dans le cas d’un waist de 20 µm utilisés dans notre expérience, il y a bien un facteur six<br />

entre les deux énergies comme évoqué dans l’article.<br />

On peut noter que la valeur typique du waist pour lequel on gagne un ordre de grandeur (ici<br />

16 µm) correspond à zr = 2 mm, c’est à dire environ la valeur de L. Pour une focalisation plus<br />

importante zr diminue et le gain d’énergie est plus important encore. Cet effet s’explique par<br />

le fait que si zr est grand devant L, la probabilité de générer des ions sur l’axe loin du centre

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