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56 Alcin do Guanabara“Nous osons donc espérer que Votre Excel len ce vou dra biennous don ner par lettre l’assurance qu’Elle approuve entièrement ce plan,et aus si qu’Elle use ra de tou te son in flu en ce et de tou te son au to ri tépour que l’arrangement soit mis à execution dans tous se details, ce quiest non seulement né ces sa i re pour le réta blis se ment du crédit du Bré sil,mas il faut également que la plus grand écnomie soit pratiquée doréna vantdans tous les dé par te ments de l’Érat et, pour fa i re face à un en ga ge mentso len nel le ment pris, il faut savoir dès à présent trancher dans le vif etré du i re dans tou tes les sec ti ons gou ver ne men ta les les de pen ses quijus qu’à pré sent ont été en cou ru es sur une échel le bien au delà desres sources et des mo yens du pays.“En con clu si on nous ai mons à cro i re que Votre Excel len cevoudra bien nous donner l’assurance que nous avons demandée, en yajoutant que pendant tou te la durée de sa Pré si den ce. Elle fera de sonmieux pour que ces es pé ran ces so i ent réalisées. Cela nous don ne ra lecourage de faire appel aux obligataires du Brésil, d’autant plus que, mu nisdela lettre de Votre Elxcellence, nous se rons à même de leur prou verque nous n’avons rien né gli gé pour sa u ve gar der le urs in té rêts. Noussa isissons cet te oc ca si on pour renouveler à Votre Excellencel’expression de nos sen ti ments les plus dis tin gués les dévoués. – N. M.Rothschild and Sons.”A resposta do Sr. Cam pos Sales a esta car ta foi dis cre ta, masfir me: S. Exa. as se gu rou que a paz estava fir me men te es ta be le ci da e queera para a si tu a ção fi nan ce i ra que toda a sua aten ção se volveria. A suapró pria responsabilidade estava comprometida nes se acordo, pois que ohavia dis cu ti do e con se gui do emendá-lo: assumindo o governo, execu -tá-lo-ia em to dos os seus ter mos, jun ta men te com ou tras me di dascom plementares, entre as qua is figurava na pri me i ra li nha uma re gra deeconomia severa:“Londres, le 6 de Juin. – Messrs. N. M. Rothschild et Fils. –En ré pon se à vo tre let tre du 2 cou rant, que j’ai reçue avec la plus gran -de sa tis fac ti on, je dois avant tout vous re mer ci er, non se u le ment pourles félicitations que vous m’adressez au sujet de mon élec ti on à la dig ni -té de Pré si dent de la République du Brésil, mais aussi, et de la fa çon laplus spéciale, por votre franche et amicale reception à l’occasion de mavisite actuelle en Angleterre, distinction que j’apprécie au plus haut dégré,